J'ai lu

m'asseoir dans le trou-du-jardin. Et pendant des mois, peut-être plus d'un an, j'ai lu, j'ai lu, j'ai lu, sur les sacs, dans la terre ou au milieu des fagots. J'ai lu tout et n'importe quoi. Les romans sentimentaux m'ennuyaient, les grandes revues me passaient en grande partie au-dessus de la tête, mais je picorais partout, comme une poule qui fait son menu d'une graine, une sauterelle, un brin d'herbe, un escargot... J'ai emmagasiné en peu de temps une quantité et une diversité extraordinaires de bijoux

l’édition de Lilly, qui en a parlé il n’y a pas si longtemps. Bref, sans tergiverser plus longtemps, j’ai pris le livre (j’arrive bientôt à la chute de l’histoire, ne partez pas encore). Il y a de cela quelques jours, j’étais à la recherche de livres courts à lire en attendant de commencer un certain pavé et je voulais lire un livre de mon challenge ABC Classique, que j’avais un peu délaissé. J’ai donc commencé La Fille du capitaine, qui me semblait suffisamment court. Et pour cause !!! Au bout

n’apporte rien à la société mais ils permettent de passer un bon moment. Le roman nous fait voyager dans une autre époque que la nôtre ou dans un autre monde ce que je trouve intéressant. Je m’appelle Léo, d’Isabelle Landry-Chauvin est un roman que j’ai lu en classe de 6e. Ce roman m’a beaucoup plu pour une certaine raison. Dans ce roman, je m’identifiais, c’est-à-dire que l’histoire racontée m’appartenait aussi malgré quelques détails bien évidemment mais c’était impressionnant de voir sa vie écrite

Bonjour! Alors moi aussi j'ai eu cette diserte à faire. Je ne comptais pas m'aider de sites au début, mais j'ai tapé "monde romanesque définition" et je suis tombée sur ce site. Du coup j'ai lu vos plans et je m'en suis inspirée pour faire le mien. Je tiens à vous préciser que je suis d'accord avec A. Camus, donc je ne ferais pas d'antithèse. Problématique:"En quoi consiste le monde romanesque et ses héros?" I- Le monde romanesque a) Ne peut s'inspirer que du notre. (= "Car il s'agit

littéraire de la gazette national. J’ai lu l’article du 14 mars que vous avez publié dans la gazette national concernant mon livre, La Bête Humaine. Savez que je suis écrivain et que je connais mon métier ? J’ai écrit de nombreux livres qui ont tous fait un succès auprès des lecteurs. Je ne pense pas qu’une seule personne telle vous est capable de m’apprendre le métier que je pratique depuis des années. Savez-vous que je suis le chef de file du naturalisme ? J’ai notamment écris un livre sur les principes

Je pensais que lorsque mon recueil serait lu de tous, je serais compris et jugé sans explication préalable, mais il faut croire que tout le monde peut se tromper. Après de multiples accusations concernant mon recueil, et en particulier, après l’accusation d’un journaliste insistant qui se croit assez fort pour braver le dégoût des lecteurs, j’ai décidé de réagir en ne répondant pas seulement aux accusations que l’on m’a adresser, mais à tous ceux ayant lu mon recueil. On fait douter de mon état

 Philosophe : Après avoir lu plusieurs dialogue de Platon sur les discussions de Socrate, je me suis poser un question, et il me semble que puisque nous avons souvent des points de vue différents, tu pourrais m’éclairer sur celle-ci, si je me trompe. Sophiste : Et bien, moi aussi, j’ai lu plusieurs dialogues de Socrate. Je suis donc prêt à t’aider si cela relève de mes connaissances. Quelle est ta question mon ami ? Philosophe : Merci. Puisque tu as lu ces dialogue, peut-être as-tu

première fois que j’ai lu la pièce, je n’étais pas seul. Nous étions six et chacun découvrait son personnage, aidant ainsi à la compréhension du texte. Même si les contradictions des personnages pouvaient rendre parfois la compréhension confuse. Encore maintenant, à chaque répétition, j’ai l’impression de redécouvrir le texte, les intentions des personnages et les intentions de jeu malgré les indications fournies par Ionesco dans les paratextes. Avec les différentes pièces que j’ai pu lire au collège

dans un Espagne franquiste d'après-guerre, un Barcelone ravagé. Les quelques références à l'histoire que j'ai vérifiées semblait juste, mais je ne suis pas un grand connaisseur de Franco et de cette époque espagnol (ou plutôt basque). Le thème de l'ombre est très bien rendu par l'auteur. J'ai lu une critique, non pas sur ce site, mais ailleurs, qui disait que Zafón écrit platement. N'ayant pas lu d'autres livres de cet auteur (d'ailleurs, je n'ai pas réussi à trouvé d'autres traductions de lui...)

NOTE SYNTHETIQUE -Ce sujet nous a intéressé car c’est l’un des premiers long métrage, et le dessin nous rappelait aussi de bons souvenirs et nous le connaissions toutes les trois : Laura, Estere et moi. Ayant lu la psychanalyse des contes de fée de Bettelheim, et m’intéressant fortement a il me sembla intéressant de faire une partie expliquant les messages psychologiques que renferme le conte. Ce sujet m’a beaucoup appris sur la moralité des contes, leurs origines et leurs impactent. -Blanche-Neige