Jamais plus jamais

se finirait jamais. Maintenant que je me mets à y penser tous me reviens, chacun des moments que j'ai passé auprès d'elle ainsi que tout l'amour que je lui ai donné et que j'avais à lui donner pour le reste de mes jours... La vie est longue je le sais, tout peut changer et cela peut frapper à n'importe quel moment parfois même quand on s'y attend le moins. Peu importe la force de l'amour que l'on croit être indestructible, nous sommes incapables de penser qu'un beau jours tous les plus beaux rêves

pourrions même nous dire « Comment n’y ai-je pas penser plus tôt ? » Mais en s’y intéressent de plus près, on remarque vite que certaines lacunes s’y trouvent. Globalement, en effet, l’être humain à la faculté de s’habituer à tout changement, à s’y adapter sans trop se poser de questions. Mais est-ce réellement le cas ? Suffit-il d’un peu de temps pour que chaque coup de théâtre possible ou chaque péripétie qu’il nous arrive au quotidien ne soit plus que souvenir le lendemain ? Pour commencer, on

Je n’avait jamais eu beaucoup d’affinités avec lui et bien nous aimions passer un peu de temps ensemble, nos discussions restaient principalement centrées sur mes résultats scolaires. Quand j’étais plus jeune, mon père me donnait toujours l’impression de ne pas être le garçon qu‘il désirait avoir. J’ai toujours été pleurnichard, peu manuel et surtout beaucoup plus attiré par les jeux de ma sœur que par les voitures qu’il s’obstinait à m’offrir. Avec le temps, il ne se donna même plus la peine de

donner aucun choix. C'est ne plus sentir ses battements de la même façon. Aimer, c'est vivre pour quelqu'un, c'est tout donner pour elle. Aimer, c'est respirer pour cette personne, la rendre vivante dans sa vie, dans son coeur. Aimer, c'est pourrir sa vie, de sentiments utopiques. Aimer, c'est aussi déchainer les moments seuls. C'est aussi démolire ses pensées, c'est tuer les amitiées. Aimer, c'est mal.. Aimer, rend fou, faible, et aveugle. Aimer, c'est la chose la plus difficile au monde, mais quand

rencontre, toi. Louis, Je ne t'oublierais jamais, quoi qu'il arrive, sois en sur. Tu aura toujours cette place qui t'es réservée, là, tout au fond de mon cœur, parmi les gens qui comptent le plus pour moi. Tu dois sans doutes être une des personnes à qui je tiens le plus dans ce monde. Je t'aime. Je ne te le dirais jamais assez pour que tu comprennes à quel point c'est fort. On a appris petit à petit à se connaître, on s'est rapprochés, un peu plus chaque jour, on s'est confiés l'un à l'autre

vous êtes jamais découragés , vous avez lutté pour le bien le plus précieux qu’est VOTRE MARIAGE .Vous l’avez aidé à survivre en l’entretenant chaque jour , en n’ayant jamais hésité à vous dire JE T’AIME ainsi qu’à vous demander pardon en premier. Vous avez beaucoup donné de votre temps , de votre patience , de votre amour à Adeline , Marine , Amandine , ainsi qu’à vos proches et vos amis sans jamais regardé en arrière … sans jamais regretté tout ce que vous avez fait ou donné … sans jamais critiqué

l'oublie pas! Une larme coule Sur mon visage Une journée s'écoule Sans voir ton image Je ne sais pas pourquoi Ca c'est terminé comme ça La vie l'a voulue ainsi C'est belle et bien fini J'ai du mal a l'accepter Malgré mes airs, je suis blessée Au plus profond de mon cœur Cette blessure me fais peur Je pensais t'avoir oublié Mais je ne cesse de penser A nos moments passés A notre bonheur inachevé A nous, mais c'est terminé. -Dis, tu penses à lui ?-Oui.-Et ça te fait quoi ?-Très mal.-Tu pleures

Professionnel Sacré Cœur à Béziers Tuteur du mémoire : M. Georges BONNET Assesseur : M. Roger LAIRE Année universitaire : 2003-2004 Résumé « qu’est-ce que la phobie scolaire ?» Ils ne sont ni paresseux, ni émules du chemin buissonnier. S’ils ne vont plus à l’école, c’est parce que l’angoisse est trop forte. Ces élèves qui aiment les études, sont victimes de « phobie scolaire ». Un trouble encore méconnu qui peut avoir des conséquences dramatiques. (48 mots) Mots clés : ??phobie scolaire, ??refus scolaire

Debout devant l’enclos du loup, le garçon ne bouge pas. Le loup va et vient. Il marche de long en large et ne s’arrête jamais. « M’agace, celui-là… » Voila ce que pense le loup. Cela fait bien deux heures que le garçon est là, debout devant ce grillage, immobile comme un arbre gelé, à regarder le loup marcher. « Qu’est ce qu’il me veut ? » C’est la question que se pose le loup. Ce garçon l’intrigue. Il ne l’inquiète pas (le loup n’a peur de rien), il l’intrigue. « Qu’est ce qu’il me veut ?

quittait jamais d'une semelle et qui, lui, ne pensait précisément qu'à cela. C'est pas aux Allemands qu'il en voulait, le capitaine de gendarmerie. Nous dûmes donc courir les embuscades pendant des nuits et des nuits imbéciles qui se suivaient, rien qu'avec l'espérance de moins en moins raisonnable d'en revenir, et celle-là seulement et aussi que si on en revenait, qu'on n'oublierait jamais, absolument jamais, qu'on avait découvert sur la terre un homme bâti comme vous et moi, mais bien plus charognard