Jamais plus jamais

l’audace de me faire entendre une seconde fois un pareil langage j’en instruirai mon mari. Elle sort. COELIO, entrant — Eh bien ! Ciuta, qu’a-t-elle dit ? CIUTA — Plus dévote et plus orgueilleuse que jamais elle instruira son mari, dit-elle, si on la poursuit plus longtemps. COELIO — Ah ! Malheureux que je suis, je n’ai plus qu’à mourir ! Ah ! La plus cruelle de toutes les femmes ! Et que me conseilles-tu, Ciuta ? Quelle ressource puis-je encore trouver ? CIUTA — Je vous conseille d’abord de sortir d’ici

Oublie le, c'est mieux pour toi. - Comme si c'était facile.. - Je sais que ce n'est pas une chose facile à faire, mais essaie au moins. On nous dit toujours que les choses dur a vivre nous rende plus fort après. Après tout ça tu devrais être plus forte que tout, pourtant tu ne m'en donne pas l'impression. - Peut-être parce que j'y arrive pas tout simplement.. - Pourtant tu nous montre souvent ton sourire.. - Je sais, comme on dit, toujours cacher ses émotions derrière un autre visage.

ce qu'elle ressent. Celle qui gâchera toutes ses histoires « d'amour » par peur de souffrir. Oui, je serai toujours ce genre de fille... - À quoi sert la vie si on ne peut plus voir celui qu'on aime ? À quoi bon avoir des mains si on ne peut plus caresser, si on ne peut plus le serrer dans ses bras ? Si son parfum n'est plus dans l'air, à quoi bon même respirer ? - Et puis peu m'importe le prix que ça coûte de vouloir t'aimer, de suivre ta route, ce que pensent les autres j'en ai rien à foutre

femme sale, alcoolique, avare, assassine de son propre mari mais surtout méchante. Au début, les deux petits doivent quitter la ville rendue bien trop dangereuse en raison de la guerre (Seconde Guerre Mondiale). Leur grand-mère, qu’ils n’avaient jamais vue auparavant accepte de les prendre chez elle. Puis, les deux jumeaux réalisent que leur grand-mère n’est pas très gentille et qu’une vie de misère s’annonce pour eux jusqu’à la fin de la guerre. Alors, ils apprennent seuls les lois de la vie

sommes est apparu tout simplement parce que les conditions étaient réunies pour qu'il apparaisse. Une autre thèse découle alors de cette affirmation gratuite: la matière est éternelle. Le monde n'a donc jamais commencé. Le monde a toujours existé. La matière est donc éternelle. L'univers, en plus d'être le fruit d'un hasard, s'est constitué à partir d'une matière primitive qui aurait existé de toute éternité. La matière se serait constituée par elle-même et serait donc indépendante d'une Cause première

Solide comme l'acier, mais plus souple qu'une lame, je ne suis rien de plus que des trous liés à d'autres. Une chaîne Si cela cache, ce n'est que pour mieux révéler. Cela bloque autant que cela permet de passer. La réponse est dans la question. Qui suis-je ?

Vous n’avez jamais été une flèche en orthographe, mais pas totalement une brêle non plus. Disons que vous êtes dans la moyenne: vous vous débrouillez, et parfois vous improvisez un peu avec ces fichus accords du participe passé, ou bien vous contournez le problème en tournant la phrase autrement. Sauf que ce que vous ne savez pas, c’est que même quand vous croyez vous en sortir haut la main, vous faites des erreurs, sans même vous en douter. La preuve en 10 fautes très moches, que vous commettez

moi-même. OCTAVE. - Ou tu es amoureux, ou je le suis moi-même.COELIO. - Plus que jamais de la belle Marianne.OCTAVE. - Plus que jamais de vin de Chypre.COELIO. - J'allais chez toi quand je t'ai rencontré.OCTAVE. - Et moi aussi j'allais chez moi. Comment se porte ma maison ? il y a huit jours que je ne l'ai vue COELIO. - J'ai un service à te demander.OCTAVE. - Parle, Coelio, mon cher enfant. Veux-tu de l'argent ? Je n'en ai plus. Veux-tu des conseils ? Je suis ivre. veux-tu mon épée ? voilà une batte

tu te sens supérieur à n'importe qui.Quand tu n'as pas ta clope à ta porter, que tu ne sens pas l'odeur, tu te sens inférieurement nul.   Excuse moi de ne plus être la même, d'être devenue quelqu'un de détestable. Mais j'en pouvais plus, de me détruire de jour en jour. Le bonheur c'est sans doute pas pour moi, l'auto destruction non plus mais il y a que dedans qu'il se passe quelque chose. Ouais, ouais, je sais, t’es désolé, j’suis désolé, tout l’monde est désolé ! Tu m’aimes puis tu m’détestes

imaginaire, Molière Acte II, scène 5 I/ La stupidité de Thomas Diafoirus 1) Ridiculisé par son père • Thomas est bête, stupide, son père le dit sans détour ( «il n’a jamais eu l’imagination bien vive »(l.98, 99), « ni ce feu de l’esprit que l’on remarque chez quelques uns »(l. 99) , « il n’a jamais été ce qu’on appelle mièvre et éveillé »(l.102). Des hyperboles « on eut toutes les peines du monde à lui apprendre à lire »(l.105, 106), « il avait neuf ans, qu’il ne connaissait pas