Jankélévitch Vérité

(soins palliatifs hôpitaux et réseau externe de santé) Plan : 1. Un dilemme moral : doit-on toujours dire la vérité ? - rappel d'une polémique philosophique célèbre entre E.Kant et B.Constant - > analyse des enjeux 2. Paradoxes de l'annonce - qu'est-ce que la vérité dans le cadre de la relation soignant-patient ? - statut de l'annonce : où il n'est pas seulement question de vérité - y-a-t-il une bonne manière d'annoncer une mauvaise nouvelle ? Introduction : Face à la responsabilité d'annoncer

compris, de ne plus pouvoir faire partager ses propres pensées (au plan artistique pensez à Baudelaire). Le philosophe DAVID COOPER écrit : « la bonne folie c’est la conquête de l’autonomie & c’est pourquoi elle fait peur ». Le philosophe JANKELEVITCH disait : « la première vertu du philosophe c’est le courage : le courage de dire non à l’opinion, de la dérangée & d’affirmer les idées que l’on a formées par soi même. » → Penser par soi même n’est pas forcément être original. Nos pensées

anciennes opinions » de peur de ne pouvoir « éclaircir toutes les ténèbres des difficultés qui viennent d’être agitées » (Méditation première). Ne vaut-il pas mieux vivre dans le doute que de se bercer de certitudes illusoires ? Partir à la quête de la vérité et échouer n’est-ce pas préférable à s’accommoder sans réflexion d’idées reçues ? Certes, mais l’entreprise de Descartes est autrement exigeante. Elle fait intervenir l’hypothèse du malin génie. Je supposerai donc (et je cite) qu’un certain

L'Opinion, la Connaissance La Vérité Collection dirigée par Oscar Brenifier L’ Opinion, la Connaissance et la Vérité Oscar Brenifier Gilles Clamens Docteur en Philosophie et formateur (ateliers de philosophie et philosophie pour enfants) Professeur certifié de Philosophie en Terminale Joël Coclès Professeur certifié de Philosophie en Terminale Isabelle Millon Documentaliste Avant-propos Notre choix : la pratique philosophique Ce guide d’initiation au philosopher

Frankenstein partagent toutefois la particularité d’être devenus ce que l’on pourrait qualifier de mythes modernes. Lacan à la suite de Freud tient le mythe comme « la tentative de donner forme épique à ce qui s’opère de la structure 7 ». Le mythe mi-dit une vérité qui touche à l’inconscient : l’intuition de la structure de l’angoisse en ce qui concerne Dracula et de l’insatisfaction fondamentale du désir en ce qui concerne Alice. Les genres du fantastique et du merveilleux s’avèrent particulièrement aptes à

autonome ».L’individu se caractérise aussi comme cet être impuissant mais qui cependant ce place au centre du monde; qui le bombarde de flatteries et l’entretien dans cette croyance. Croyance prise pour la vérité, qu’il considère comme absolue et ou chacun vie dans l’idée de sa propre vérité au milieu de figurants. Eux aussi persuadés de détenir la leur. L’individu, l’homme de la modernité a pour caractéristique centrale d’être autonome dans le sens où il n’appartient à personne (peuple, nation

contradiction avec la vie sociale. Parce que ce principe d’action ne peut pas être considéré comme une règle valide pour tous les hommes, comme une règle universelle, il n’est pas de la forme d’un devoir. Inversement, je vois bien qu’être honnête, dire la vérité, tenir ses engagements sont des principes qui ont une portée universelle. C’est à partir de ce genre de règle qu’une vie sociale est concevable. Ils ont la forme de maximes qui peuvent valoir comme principe d’une législation universelle (R).    

LES LIMITES NATURELLES A LA CONNAISSANCE. ERREUR ! SIGNET NON DEFINI. II. LA CONNAISSANCE DES LIMITES : LA FORCE DE LA RAISON. ERREUR ! SIGNET NON DEFINI. III. LES AUTRES MODES DU SAVOIR*. ERREUR ! SIGNET NON DEFINI. SERIE 18 : DÉMONSTRATION ET VÉRITÉ ERREUR ! SIGNET NON DEFINI. LECON 1/ QU’EST-CE QUE L’OPINION ? ERREUR ! SIGNET NON DEFINI. I. L'OPINION AU SENS COURANT ERREUR ! SIGNET NON DEFINI. II. COMMENT SORT-ON DE LA SPHERE DE L’OPINION ? ERREUR ! SIGNET NON DEFINI. III. LE SAUT

constante de nous avec nous mêmes (je ne serai plus jamais l’enfant que j’étais). Dévalorisation du point de vue de la connaissance : Monde du devenir= monde l’éphémère sur lequel on ne peut fonder aucune vérité. Platon : dévalorisation ontologique du temps. L’esprit ne peut accéder à la vérité (qui est éternelle) qu’en dépassant le monde du devenir pour s’élever à la connaissance de ce qui est permanent : l’Etre qu’aucun changement, aucune dégradation n’affecte. Ce qui est=/= ce qui paraît (subit

Extraits tirés du paradoxe de la morale de Jankélévitch. Collection Point Philosophie n°203 Seuil Chapitre I n La philosophie morale apparaît comme le comble de l’ambiguïté et de l’insaisissable ; elle est l’insaisissable de l’insaisissable. n La moralité est co-essentielle à la conscience, la conscience est toute entière immergée dans la moralité ; il s’avère après coup que l’a priori moral n’avait jamais disparu, qu’il était déjà là, qu’il était toujours là, apparemment endormi, mais à tout