Je l'aimais

Contre la mémoire rebelle. Oh ! ses cheveux livrés au vent ! Ses yeux, crépuscule d'automne ! Sa parole qu'encor souvent J'entends dans la nuit monotone. C'était la plus belle, à jamais, Parmi les filles de la terre... Et je l'aimais, oh ! Je l'aimais Tant, que ma bouche doit se taire. J'ai honte de ce que je dis ; Car nul ne saura ni la femme, Ni l'amour, ni le paradis Que je garde au fond de mon âme. Que ces mots restent enfouis, Oubliés, (l'oubliance est douce) Comme

Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais me marier avec elle. J’ai dit que cela m’était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. « Pourquoi m’épouser alors ? » a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n’avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D’ailleurs, c’était elle qui le

revenue chez lui. À deux différentes reprises, Marie demande à Meursault comment il se sent envers elle. La première fois, c’est au courant du troisième chapitre. « Quand elle ri, j’ai eu encore envi d’elle. Un moment après, elle m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu’il me semblait que non. Elle a eu l’air triste. » (Camus, p. 59) De plus, deux chapitres plus tard, Marie lui demande encore comment il se sent envers elle, et sa réponse est encore négative

Meursault en mariage, celui-ci présente sa réponse de son point de vue : «  J’ai dit que cela m’était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas ». Alors que Marie interroge Meursault sur une question grave concernant son avenir, celui-ci demeure indifférent, à distance. Si Camus donne accès à la subjectivité de son personnage

Marie est venue me chercher et m’a demandé si je voulais me marier avec elle. J’ai dit que cela m’était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. « Pourquoi m’épouser alors ? » a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n’avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier. D’ailleurs, c’était elle qui le

Ah ce bal je l'aimais André il était beau , charmant , tout ce qu'il faut quoi mais lorsque j'ai vue cet homme Baptiste si je me souviens avec sa vieilles bouffardes c'est chemise a fleur j'ai tout de suite craqués . On a pas entendue longtemps avant de se marier au début c'était la vie de rêve je l'aimais il m'aimais on allais au champs en ce donnant la main , j'aurais bien aimée aller a Lourdes mais il ne voulais pas , j'ai dû me contenter de processions télévisées . Puis je me suis très vite

copain», que cela m’a frappé. Il a répété sa phrase et j’ai dit: «Oui» Cela m’était égal d’être son copain et il avait vraiment l’air d’en avoir envie» ,à l’amour «Elle a voulu savoir alors si je l’aimais. J’ai répondu comme je l’avais déjà fait une fois, que cela ne signifiait rien mais que sans doute je ne l’aimais pas. «Pourquoi m’épouser alors?» a-t-elle dit. Je lui ai expliqué que cela n’avait aucune importance et que si elle le désirait, nous pouvions nous marier.» ainsi qu'à la société où il vit

pour me souhaiter Joyeux Noël. Je l’aimais tellement mon père. Il avait toujours été là pour moi malgré la jeune enfance difficile que j’ai eue. Je vis qu’un nouveau paquet était en-dessous du sapin. Il m’intrigua, il était long et plat. Je me souvins des Noëls quand j’avais trois ans avec ma mère. Elle ne s’occupait pas vraiment de moi et n’avait pas les moyens de nous faire de gros cadeaux, car elle n’avait plus d’argent à cause qu’elle était alcoolique. Je l’aimais beaucoup quand même, même si je

son café tout les matins juste a la bonne température voilà comment il est mort. Je me suis défendu de Baptiste je vous l'ai peut-être pas dis mais il me battait, et au fils des années j'en ai eu marre, je n'arrivais pas a partir de chez lui car je l'aimais comme une folle. Il y a maintenant 1semaine que j'ai tué mon mari et j'en pleure jours et nuits, je me suis venger de tout ce qu'il a pu me faire, mais on m'as forcé. André mon ancien mari ma convaincu de le tué car il me voulait pour lui a nouveaux

Contre la mémoire rebelle. Oh ! ses cheveux livrés au vent ! Ses yeux, crépuscule d'automne ! Sa parole qu'encore souvent J'entends dans la nuit monotone. C'était la plus belle, à jamais, Parmi les filles de la terre... Et je l'aimais, oh ! je l'aimais Tant, que ma bouche doit se taire. J'ai honte de ce que je dis ; Car nul ne saura ni la femme, Ni l'amour, ni le paradis Que je garde au fond de mon âme. Que ces mots restent enfouis, Oubliés, (l'oubliance est douce) Comme