Je Me Révolte Donc Nous Sommes

qu'il le sait , il ne l'est plus" ainsi, la conscience, qui peut être justement vue comme cette chose qui sait qu'elle est, qui permet à l'homme de se représenter le monde, mais aussi d'agir sur ce dernier est donc que qui définit l'homme car il est le seul à la posséder. La conscience serait donc le propre de l'homme , et cette différence que met en lumière HEGEL entre l'homme et l'animal, est par ainsi fondamentale. Pour autant, cette conscience rend-t-elle l'homme libre ? Le mot liberté ne peut être

devrait infliger bien plus de monde que ça.Ajourd'hui il n'y a pas assez de gens qui s'interresse à la survie de certains d'entre nous qui sont en train de mourir quelque part dans ce monde. Nous sommes tous né sur cette meme terre et nous devons rester unis quoiqu'il arrive, nous sommes conserner qui que nous sommes . impliquer ou conserner critique qui d Vous dites que ce débat politique n'est pas une priorité seulement L'immigration en france est un des sujets politique les plus ancien. Jusqu'a

I- Un récit neutre qui ne fait qu’accentuer l’horreur de la scène 1.L’esclave semble accepter son sort Ex : « j’attends mon maître » -->Aucune signe de révolte, il semble avoir été « apprivoisé » et reste passif face à cette inégalité 2.L’esclave explique en toute neutralité sa condition Il raconte sans sentiment, d’une façon purement didactique ses conditions de vie, ce qui doit horrifier le lecteur face à cette telle absence d’humanité. Ex : « On nous donne un caleçon de

------------ PROPOSITION DE PLAN DÉTAILLÉ EN DESSOUS ------------ I-  Un récit neutre qui ne fait qu’accentuer l’horreur de la scène 1.L’esclave semble accepter son sort Ex : « j’attends mon maître » -->Aucune signe de révolte, il semble avoir été « apprivoisé » et reste passif face à cette inégalité   2.L’esclave explique en toute neutralité sa condition Il raconte sans sentiment, d’une façon purement didactique ses conditions de vie, ce qui doit horrifier le lecteur face à

l'inversion des rôles on pressent un questionnement plus philosophique. Nous étudierons donc les caractéristiques de la scène d'exposition puis nous verrons que ce renversement de situation augure une certaine progression dramatique. 1. UNE SCENE D'EXPOSITION . Des repères spatiaux temporels - Nous sur une île "Que deviendrons-nous dans cetteîle?" Cela éloigne des normes sociales habituelles. C'est donc un huis-clos qui s'annonce. Cet espace restreint, propice à un espace théâtral va être utilisé

l'individualisme) condamnation de leur démission dans le premier dizain => 3 verbes : retourne, prend ses sandales, s'en va 3 imprécations (malheur en anaphore + Honte) enchaînées dans une gradation ternaire => image de l'automutilation (l'utilité est donc intrinsèque à sa nature) opposition frère / désert, sandales / scandales renforcée par la rime riche et la paronymie - un élu : début et fin de l'extrait : Dieu le veut / mène à Dieu (origine et fin) pareil aux prophètes + opposition voit / végètent

l'écriture, comment et dans quel but elle est utilisée. Lorsque nous écrivons, et que nous publions, nous sommes obligatoirement lus, par les autres. Le but premier est donc, que ce que nous écrivons arrive aux autres, pour les autres. Comme le dit si bien Anaïs Nin , «  Nous écrivons pour nous apprendre à parler avec les autres » .On peut donc voir l'écriture, le fait d'écrire, comme un rapprochement, un contact. L'écriture peut , en effet

témoignage, roman historique, bande dessinée, poème) en rapport avec la première guerre mondiale. Repérer les caractéristiques de ces différents genres, la visée des différents textes (écrire pour témoigner, dénoncer l’absurdité de la guerre, crier sa révolte face à la religion…) et des procédés d’écriture mis en œuvre. S’exercer au différents sujets d’écriture proposés au brevet (changement de point de vue, suite de texte, article de journal). - public visé : classe de 3ème (de ZEP)

nombreux écrivains dressent le constat d’un monde absurde. A la tentation du désespoir, ils réagissent par l’exigence de l’action. " Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie" ( Malraux) : à l’homme de "nier le néant", par l’art ou par la révolte. Ce courant, qui aboutit à l’existentialisme, s’inspire certes de la philosophie, il cherche à rapprocher l’écriture et le vécu. Mais le mot "absurde" a pris un sens plus précis dans la pensée moderne : à la suite de Kierkegaard et Kafka, il en

ce que cherche le peuple et ce qui constitue le peuple ». C’est à dire que si le peuple ne se pense pas et ne se veut pas libre il ne peut pas être peuple et nous avons donc des esclaves et des maîtres. Nous sommes amener à nous demander si nous ne devons pas nous tenir sur nos gardes vis à vis du peuple par crainte de révoltes et d’insécurité dans la mesure où l’expression ne s’accompagne pas d'une série d’encadrement et de démarches. La revendication du peuple peut être très dangereuse.