Je me souviens

de l'homme mais à être toi-même. Ne revendique pas tes droits en tant que femme, mais vis-les directement. Vis ta féminité, vis ta liberté et vis ta beauté avec toute la vitalité dont tu es capable. Vis tes droits plutôt que de les réclamer. Je me souviens encore de tes questions enfantines, de tes angoisses et de tes émotions quand tu te révoltais contre tout ce -et tour ceux- par quoi tu étais réduite au rang d'être inférieur. Tes rébellions folles et ta passion débordante me font sourire. Les images

effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : ” Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d’effroi Se planteront bientôt comme dans une cible, Le plaisir vaporeux fuira vers l’horizon Ainsi qu’une sylphide au fond de la coulisse ; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix D’insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois

je me souviens ». Retour inopiné de l’enfantin. Je me souviens du cimetière des mouches tuées à coups de torchons et qu’on aligne sur le plancher, bleues, un peu sanglantes. Je me souviens de l’oiseau trouvé blessé dans un coin de jardin et qu’on achève, plus par curiosité anxieuse que par compassion, en lui maintenant la tête dans l’eau du bassin. Je me souviens des yeux ouverts dans la nuit noire et de la porte du placard restée entrouverte par laquelle la chose va surgir. Je me souviens de ce

 Malgré mon jeune âge, j’ai choisi, aujourd’hui, d’écrire mes souvenirs. En effet, j’en ai tellement qu’il faut que je me souvienne de chacun d’entre eux. C’est la raison pour laquelle je vais parler de mes nombreux voyages, ces quinze années que mes parents ont nourri de multiples découvertes. Voyager c’est existant et enrichissant. J’ai beaucoup de chance car mes parents adorent voyager : aller dans de nouveaux pays, visiter de nouvelles villes. Mon but est de fixer mes souvenirs, me dire

effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : « Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d’effroi Se planteront bientôt comme dans une cible ; Le Plaisir vaporeux fuira vers l’horizon Ainsi qu’une sylphide au fond de la coulisse ; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote Souviens-toi ! – Rapide, avec sa voix D’insecte, Maintenant dit : Je suis

futures Et de tous ces regrets de tous ces repentirs Te souviens-tu Vagues poissons arqués fleurs surmarines Une nuit c'était la mer Et les fleuves s'y répandaient Je m'en souviens je m'en souviens encore Un soir je descendis dans une auberge triste Auprès de Luxembourg Dans le fond de la salle il s'envolait un Christ Quelqu'un avait un furet Un autre un hérisson L'on jouait aux cartes Et toi tu m'avais oublié Te souviens-tu du long orphelinat des gares Nous traversâmes des villes

Une déesse Toi, toi que j’ai vue proche d’une rivière, tes cheveux volaient dans le vent, ta robe brillait au soleil et ton odeur arrivait jusqu'à mes sentiments. C’était magnifique, un moment gravé dans mon cœur à tout jamais. Je me souviens de ce premier jour, le premier jour de tout, le jour où ça commençait. Au début c’était facile, nous apprenions à se connaître, à s’écouter, on s’amusait tout simplement. Tu étais ce que tu étais, la personne que j’aimais follement. Je

sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit: "Souviens-toi! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible;   Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote: Souviens-toi! - Rapide, avec sa voix D'insecte, Maintenant dit: Je suis Autrefois

DAL Dns de lecture cursive - Français Marine Sobibor - Jean Molla 3°L Sobibor Je me souviens que la grand-mère d'Emma (Mamouchka) s'était endormie lorsque sa petite fille lui rendait visite. Elles s'adoraient! Mamouchka rêvait de deux personne lors de son sommeil : Jacques et Eva. Sa petite fille se posait de multiples questions car elle n'en avait jamais entendu parler. Lors du réveil de sa mamie, la fillette essayant d'en savoir d'avantage sur ces deux, demanda a sa grand-mère

quand ça marche trop pour moi, Ça les dérange ... Souviens toi De tout ce que tu me dis De tout ce que tu me fait subir Tu me fait souffrir Sache le Tu me dis des choses Et le lendemain Tu oublis tout ... Souviens toi ... Le souvenir est une rose au parfum discret que l'on arrose avec les larmes du regret A trOp prendre sur sOi On finit tOujOurs par s'écrOuler Je voudrais tant que tu te souviennes des jours heureux où nous étions amies L'erreur