Je me souviens

Description : La je devais être en train de planter de la vigne avec mon père. Je ne me souviens plus quel age j’avais, je devais avoir entre 4 et 6 ans car j’étais en maternelle. Cette photographie a été pris a Villenauxe. Là nous mettions des protèges en plastiques qui nous servaient à empêcher les animaux de manger la vigne. Je ne me souviens plus de se moment mais je pense que c’était m’a mère qui à pris cette photographie. Ce que j’aime et ce que je n’aime

écrire mon autobiographie ? C'est un peu ridicule de vouloir écrire un bouquin sur sa vie alors que l'on a que 15ans, non ? Mais je ne suis pas éternel et même si je suis optimiste par nature, je peux mourir demain ! Et comme je voudrais qu l'on se souvienne de moi, pourquoi ne pas commencer à écrire ma vie maintenant ? J'ai, certes, peu d'expériences dans ce domaine, mais mes enfants et petits-enfants seront peut-être un jour ravis de lire mon histoire , leur histoire ?... Je vais essayer d'être le

une « voix ». En effet, afin de rendre encore plus concrète l’image de l’horloge, le poète lui donne la parole à travers une prosopopée dès le vers 2 où elle parle et s’adresse à l’homme directement : « Dont le doigt nous menace et nous dit :  « Souviens-toi !... ». Elle s’adresse encore à l’homme du vers 13 à la fin, « (Mon gosier de métal parle toute les langues)… ». Puis ce sont les notions de temps qui se mettent à parler, au v.9 « la Seconde Chuchote : » et au v.11 « Maintenant dit : ». Ainsi

évènements de mon existence. Il me suffit, par exemple, de me rappeler simplement qu’à quatorze ou quinze ans j’espérais déjà quitter mes études pour aller travailler.  Est-il important de préciser que c’était en septembre 1950 ou 1951 ? Je me souviens par contre très bien de la date à laquelle débuta mon premier emploi : le 17 décembre 1953 ; j’avais 17 ans plus quelques semaines et j’entrais au Crédit Lyonnais. Cette date là était bien trop importante pour que je l’oublie, elle marquait

le bras     Le fleuve est pareil à ma peine     Il s'écoule et ne tarit pas     Quand donc finira la semaine Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine             Et nos amours        Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   Les mains dans les mains restons face à face             Tandis que sous        Le pont de nos bras passe Des éternels regards

racontait sa vie en 1914. Je me souviens de ce regard qu'elle avait, cette lueur dans ses yeux. Je me souviens de la vie qu'elle me décrivait : elle était des plus précaire. La grande majorité de la population était pauvre, et l'accès au confort et aux soins souvent réservé aux plus riches. Et pourtant, la lueur percue dans ses yeux exprimait la nostalgie d'un bonheur perdu. Un bonheur qui fût, puis disparu, emporté par les horreurs de la guerre. Oui je me souviens parfaitement cette discussion que

A George Sand (V) Toi qui me l'as appris, tu ne t'en souviens plus De tout ce que mon coeur renfermait de tendresse, Quand, dans nuit profonde, ô ma belle maîtresse, Je venais en pleurant tomber dans tes bras nus ! La mémoire en est morte, un jour te l'a ravie Et cet amour si doux, qui faisait sur la vie Glisser dans un baiser nos deux coeurs confondus, Toi qui me l'as appris, tu ne t'en souviens plus. Alfred de Musset A George Sand (VI) Porte ta vie ailleurs, ô toi qui fus

lune. Ira Feloukatzi Je me souviens Je me souviens de vos rires, De vos paroles qui me font souffrir... Je me souviens de vos regards, De vos regards si noirs à mon égard... Le passé ne me quitte pas, Il me suit à chaque pas... Vous m'avez mise dans la dépression Et surtout dans l'automutilation... Je n'arrive pas à tourner la page, La peur se lit sur mon visage... Je ne peux pas oublier mon passé, Il me hante chaque journée... Je me souviens de vos mots Qui m'ont donné envie

à 44 ans. Je me souviens de toutes ces fêtes ou avec tous tes amis tu savais partager ces moments magiques et uniques. Je me souviens du commando pernot, c’est le nom que tu avais donné à ta voiture avec cette k7 des berruriers noir que tu passais et repassais pour accompagner tous tes voyages. Le Berru, je me souviens du son de ta voix quant tu me disais « A mardi » pourquoi à mardi je ne le sais toujours pas c’était ton expression pour dire au revoir. Je me souviens des weekends 4x4 ou

sinistre, effrayant, impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi !
Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi
Se planteront bientôt comme dans une cible,

Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon
Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ;
Chaque instant te dévore un morceau du délice
A chaque homme accordé pour toute sa saison.

Trois mille six cents fois par heure, la Seconde
Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix
D'insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois