Je me souviens

Je me souviens du jour où ma mère et moi avions retapissé ma chambre l'été dernier. J'étais heureux. Pendant ce temps, magrand-mère cuisinait comme à son habitude. Ce jour-là elle avait préparé des crêpes fourrées au jambon pour le repas de midi. Je les adore. Nous devions être peut être six ou sept personnes, je nem'en souviens plus ... Le repas se déroula normalement, tout le monde dégustait les crêpes, j'en mangeais deux ... je les trouvais tellement bonnes ! A la fin du repas, je remontais

lui que je l'aime.. plus que tout, plus que ma propre vie .. la preuve , arriva t-il a plaisanter. Tu te souviens toi de ta vie avant ici ? Tu te souviens encore des visages des membres de ta famille ? Dit-moi que oui ou que tu vas essayer de t'en rappeler. Tu te souviens des moments où tu te moquais de moi parce-que je m'accrochais aux souvenirs de mes proches comme à ma vie ? Tu te souviens hein ? Ryan, je veux pas mourir sans me rappeler leurs visages,leurs façons de sourires. Tu comprends maintenant

effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible ; Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix D'insecte, Maintenant dit : Je suis

sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit: "Souviens-toi! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible; Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote: Souviens-toi! - Rapide, avec sa voix D'insecte, Maintenant dit: Je suis Autrefois

3 L’horloge, Charles Baudelaire, Les fleurs du mal (XIXème) L’Horloge, évoque le fait que les aiguilles tournent et ainsi ce qui est présent Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : ” Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d’effroi Se planteront bientôt comme dans une cible, maintenant devient passé une seconde après, la mort arrive à grand pas. Ce poème, est à mon gout car c’est ici une autre vision du temps qui

pas non plus si elle devait attendre quelqu'un ou non, si ses parents reviendrait la chercher ou non."Bonjour ma chérie, tu dois prendre tes médicaments, on t'emmène au ruisseau comme tous les matins depuis maintenant 2 ans... Même si tu ne t'en souviens pas... Tes habits sont sur la chaise." C’est ce que sa mère lui avait dit ce matin quand elle s'est réveillée, dans un lit, qui était placé dans une chambre qui lui était inconnue.Elle s'arrêta dans sa réflexion quand elle entendit des bruits de

l’envie de retourner chez elle, dans une petite ville au nord du Québec, s’est fait sentir. Un retour marqué par un nouveau défi professionnel, supporter des entreprises dans leur développement sur les marchés internationaux.D’aussi loin qu’elle se souvienne, la décoration, la mode, les bijoux, les billes et les objets fabriqués à la main l’ont passionnée. Interpellée depuis longtemps par la création de sa propre entreprise et par l’envie de vivre de grands changements elle a décidé de créer sa propre

 Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur  Du sang que nous perdons croît et se fortifie ! Texte n° 5 : « Le pont Mirabeau » Alcools, G. Apollinaire. Sous le pont Mirabeau coule la Seine             Et nos amours        Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure   Les mains dans les mains restons face à face             Tandis que sous        Le pont de nos bras passe Des éternels regards

effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : "Souviens-toi !" Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d’effroi Se planteront bientôt comme dans une cible ; Le plaisir vaporeux fuira vers l’horizon Ainsi qu’une sylphide au fond de la coulisse ; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison Trois mille six cents fois par heure la Seconde Chuchote : Souviens-toi !- Rapide, avec sa voix D’insecte, Maintenant dit : Je suis

 Prologue une saison en enfer rimbaud ,avril-aout 1873 "Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient.       Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. − Et je l'ai trouvée amère. − Et je l'ai injuriée.      Je me suis armé contre la justice.      Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié!      Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie