Je me souviens

Réfléchis bien ma chérie, cela sera décisif pour ton avenir. Non vous ne pouvez pas me faire ça, vous savez que je suis incapable de faire un choix ! Nous sommes désolés mais tu n’as plus le choix désormais. » A partir de ce moment, je ne me souviens de rien, je sais juste que les deux semaines qui ont suivies cette annonce ont été les plus difficiles de mon adolescence. Et puis un jour, ma mère m’a appelé en me disant qu’une maison de disque très populaire voulait me faire signer un contrat

tiens devant vous pour défendre une cause qui m'est importante: la lutte contre le racisme. En effet, le racisme a traversé les siècles. Je me souviens de l'esclavage en Grèce antique, Je me souviens des autochtones, Je me souviens de la traite des Noirs, de la ségrégation raciale Je me souviens du nazisme, Je me souviens aussi de l'Apartheid, Je me souviens du génocide du Rwanda, du génocide arménien... Et vous ? Vous en souvenez vous ? Mais aujourd'hui aussi, le racisme est d'actualité. En France

représente-t-il le Temps qui passe? Et en quoi ce poème suit la chronologie d’une vie marquée par le Spleen?L’Horloge Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit :  » Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d’effroi Se planteront bientôt comme dans une cible, Le plaisir vaporeux fuira vers l’horizon

fin de ce mois de mai, j'étais bien loin de m'imaginer que deux mois plus tard, je marcherai sur ces bas-côtés en chantant à tue-tête cette chanson que tu aimes tant, Souviens-toi de cette lettre que Renan Luce a reçu, celle qu'il n'aurait peut-être pas du ouvrir, et bien je suis dans ce cas-là moi aussi. Souviens-toi de cette lettre que je t'ai écrite, celle où je te dévoile mes sentiments, où je t'ai ouvert mon coeur. Tout depuis ce 2juillet 1991 a changé, Rien n'était plus comme avant:

les devoirs. Je me souviens Je me souviens des parents qui nous filmaient moi et mon frère, entrain d'ouvrir nos coûteux cadeau pour Noël. Je me souviens de mes 5ans, mon parrain m’avais offert un magnifique lapin alors que je n'avais pas le droit d'avoir d'animaux. J'étais vraiment heureuse. Je me souviens des rigolades au Super Marché avec ma mère et mes parcours en chariot entre les rayons. Je me souviens de mes cauchemars qui se répétai sans cesse, toujours

son café, il lui demande solennellement : - Tu te souviens, il y a 20 ans, quand on s'était donné rdv, tu n'avais alors que 16 ans ? - Oui je m'en souviens, répond-elle. Le mari fait une pause, les mots lui viennent difficilement... - Te souviens-tu que ton père nous a surpris en train de faire l'amour à l'arrière de la voiture ? - Oui, je m'en souviens, dit la femme en s'asseyant a ses côtés. Le mari continue : - Te souviens-tu quand il a pointé son flingue sur ma tempe et qu'il

dit : " Souviens-toi !Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroiSe planteront bientôt comme dans une cible,Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizonAinsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ;Chaque instant te dévore un morceau du déliceA chaque homme accordé pour toute sa saison.Trois mille six cents fois par heure, la SecondeChuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voixD'insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois,Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !Remember ! Souviens-toi,

et mon coeur transparent Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule lessait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore, Comme ceux des aimés que la vie exila a) Les champs lexicaux : ce rêve étrange, chaque fois, est-elle. b) L’énonciation : Verlaine parle d’unefemme qu’il aime, une inconnue. c) L’histoire racontée : - Il décrit l’image

effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible ; Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix D'insecte, Maintenant dit : Je suis

vermeilLes souvenirs ressurgissent, l’équinoxe s’apparente à un jour de solstice.Je me souviens d’avoir dirigé un radeau, que dis-je ? Un bateau sur ces mers de selAccompagné de mes équipiers, des matelots prêts à naviguer pendant des heuresJe me sentais libre au vent, et de là-haut, je domptais les eaux postées sur ma nacelleJ’étais moussaillon, au milieu de la cour, le navire dominait la parcelle de fleursJe me souviens d’avoir joué beaucoup de rôles, parfois pompier, parfois fermierJe jouais aussi avec