Je sais tout

La seule chose qui m'ait attaché à toi, je ne sais même pas si tu pourras le comprendre, car, pour cela, il faudrait que tu aies des tripes. L'unique raison, c'est ton odeur. L'odeur de ta peau, de ton corps, de ta bouche. Je n'en avais jamais senti de pareille. Une douceur inimaginable. Aussi fâché que je sois, il suffisait que je m'approche. A un mètre de toi, je frémissais déjà. Je posais mes mains sur ton cou pour t'étrangler et ton parfum me désarmait. L'inquiétude, c'est stupide. C'est comme

difficile, les miliciens ne m’on pas ménagé, un coup de bâton par ci, un coup de bâton par là. Et tout ça pour un chat pas assez brun ! J’ai mal partout maintenant et je me suis fais jeter dans un cachot ou quelque chose comme ça. Malgré tout, je suis rassuré, un bonhomme dort, je ne distingue pas la silhouette (il fait toujours nuit ici), mais il ronfle dans un coin opposé de notre prison. Je ne sais pas si je fais bien de lui adresser la parole mais je le réveille : - Qu’est-ce que tu as fais

aussi l'auteur de plusieurs ouvrage tels que «Les formes élémentaires de la pauvreté (2005)», « Repenser la solidarité ( 2007)» ou bien «Le lien social (2008)». Référence de l’ouvrage: Serge Paugam, «Le lien social», éditeur: PUF, Collection:. « Que sais-je ? », 2009 deuxième éditions ,128 pages, ISBN: 978-2-13-057830-7. ÉTUDE DE L'OUVRAGE : Dans cette ouvrage, Serge Paugam analyse l'évolution du lien social dans sa forme et sa fragilité, grâce aux différentes théories de sociologues

mes larmes, je bats des ailes un peu trop souvent, buvant trop de café, fumant trop de cigarettes, une vie bien trop courte, car il ne reste qu’une seconde avant la fin, plus qu’une seconde tachée de coulures noires.  Oui je pleure, oui je verse toutes les larmes de mon corps, dans les bras du vide, j’écoute cette musique, ces notes et cette voix, sa voix, si particulière, une voix de fumeur on m’a dit. J’ai une barre sur le front, un mal de tête aigu, j’ai besoin de sommeil, la fatigue me fait

c’est… Moi. Je ne sais plus quoi penser. Tout ce dont je suis sûre, c’est que Drew a besoin de moi. Je veux être là pour lui. À jamais. Prologue Jour 6, 23 heures Grisée. Ce mot résonne sans relâche dans mon crâne. Il décrit parfaitement mon état émotionnel du moment. Grisée par tes mots tendres qui me brisent le cœur, tes bras musclés et experts et tes douces lèvres délicieusement tièdes. Grisée… par cette vie d’illusions dans laquelle j’ai plongé à corps perdu. Et tu sais quoi ? J’aime ça. J’adore

commencer a vivre: Papa est rentrer dans maman et un tout petit être microscopique est rentrer dans l’œuf de ma maman. C’est a partir de ce moment la que j’ai commencer a exister. Maman ne le sais pas encore mais je me suis installer dans son nid. 15 jours plus tard mes artères et mes veines commencent a apparaître et mon petit corps se forme doucement. Ma bouche est formée, petit à petit mon cœur se met a battre de plus en plus fort. Je ne sais pas pourquoi mais maman est soucieuse et très triste

européenne au cours des deux derniers mois? … Oui … Non … Je ne sais pas Dans quelle branche des médias avez-vous été en contact avec cette campagne? … … … … … … … … Quelles sont les images de la campagne dont vous vous rappelez? De quels éléments de la campagne vous souvenez-vous ? Question ouverte Télévision Radio Presse quotidienne Magazines Internet Panneaux d’affichage Autres Je ne sais pas Question ouverte Interprétation de la campagne: Quelle est

« - Regarde autour de toi, lui dit Jonas en démarrant. Essaie de te rappeler. » Elle regarde, tout l’étonne, elle ne se souvient de rien. Jonas la conduit depuis un mois. En vain. Et puis elle le voit. Le garçon qui promène un chien. Sans qu’elle s’y attende, les larmes lui viennent aux yeux. « - Que se passe-t-il Véra ? Tu reconnais cet homme ? Parle, dis moi quelque chose…lui demande Jonas. Je ne sais pas, peut-être. En fait je ne peux traduire ce que je ressens. Les larmes sont venues d’elles

pleureras jamais sur un banc seul pour une fille. Parce que toi t'aime les belles nanas qui veulent être populaires, celles qui sont comme tout le monde, belle mais un peu cruche tu vois. Mais rend toi compte des choses un peu ! Tu divague là c'est pas bon tout ça.. Moi j'aimerais que si tu m'aimes alors que tu m'aimes sincèrement  et que tu réfléchisses bien à toutes les minutes qui passent entre nous. Un jour on m'a dit que la vie n'avait de sens. C'est vrai. †  Si j'avais pu, je t'aurais offert

vingtième siècle est un changement de taille, j'ai beaucoup évolué: à moi s'offre plastiques et métal. Tout comme leur palais, les rois m'ont couvert d'or, je représente leur pouvoir, soutient leur opinion. Avec mes boiseries sculptées je suis un soleil autour de la table. Je sais aussi être moderne, je suis une femme d'affaire excellente au cœur des plus grandes entreprises, je suis la clef de voûte de toutes les décisions. Je suis à la fois robuste aux charges et fragile aux flammes. Toujours accompagnée