Je suis bien content

« Je me suis quelquefois proposé un doute : savoir s’il est mieux d’être gai et content, en imaginant les biens qu’on possède être plus grands et plus estimables qu’ils ne le sont, et ignorants ou ne s’arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d’avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu’on ne devienne plus triste. Si je pensais que le souverain bien fût la joie, je ne douterais point qu’on en dût tâcher de se rendre joyeux, à quelque

lui certains hommes possèdent des facultés élevées et une curiosité intellectuelle plus grande donc des désirs nombreux et complexes à satisfaire et au contraire il existe des hommes qui ont peu de facultés et dont les désirs sont plus simples à contenter. Mais ces derniers sont-ils réellement plus heureux ? Et les

tâchez de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous. J’aurais du chagrin si vous n’étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, dit la Belle. Je vous avoue que je suis bien contente de votre bon coeur : quand j’y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh ! dame, oui, répondit la Bête, j’ai le coeur bon, mais je suis un monstre. - Il y a bien des hommes qui sont plus monstres que vous, dit la Belle ; et je vous aime mieux avec votre figure que ceux qui, avec

regardait les grandes personnes en faisant de grands yeux comme s’il était en colère, comme s’il boudait. Sa tignasse blonde toute hérissée ne semblait jamais coiffée, il mettait toujours ses mains dans ses poches, et il tirait la langue très souvent bien que Maman lui ai dit que ce n’était pas poli. Sa maman espérait que Romain dise autre chose que : non ! Elle était triste qu'il ne veuille pas parler, car à son âge, se disait-elle, il devrait savoir beaucoup plus de mots. Elle essayait de lui lire

Les carnets Louisette On a répété pour le ministre Je fume Le petit poucet Le vélo Je suis malade On a bien rigolé Je fréquente Agnan M. Bordenave n’aime pas le soleil Je quitte la maison Rex En sortant de l’école, j’ai suivi un petit chien. Il avait l’air perdu, le petit chien, il était tout seul et ça m’a fait beaucoup de peine. J’ai pensé que le petit chien serait content de trouver un ami et j’ai eu du mal à le rattraper. Comme le petit chien n’avait pas l’air d’avoir tellement envie

tâchez de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous ; et j'aurais du chagrin, si vous n'étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, dit la Belle. Je vous avoue que je suis bien contente de votre cœur ; quand j'y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh dame, oui, répondit la Bête, j'ai le cœur bon, mais je suis un monstre. - Il y a bien des hommes qui sont plus monstres que vous, dit la Belle, et je vous aime mieux avec votre figure, que ceux qui avec la figure

avez pu réaliser l’impact de ce résultat auprès du public… J’étais fier, on a vu des Français heureux qui ont vraiment vibré derrière leur écran. J’étais content parce que j’ai vu les dernières compétitions en vacances. J’étais à côté des Français et ils restaient sur leur faim. Là, le fait de prendre ces transports, j’ai vu qu’ils étaient contents, avec une équipe de France qui allait de l’avant avec de belles valeurs et des vertus. Un seul match suffirait pour changer l’image de l’équipe de France

de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous ; et j’aurais du chagrin si vous n’étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, lui dit la Belle ; je vous avoue que je suis bien contente de votre cœur ; quand j’y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh ! Dame, oui, répondit la Bête, j’ai le cœur bon, mais je suis un monstre. - Il y a bien des hommes qui sont plus monstres que vous, dit la Belle, et je vous aime mieux avec votre figure que ceux qui, avec

qui vise à un enseignement. Il n’est pas nécessaire de lire les six derniers vers pour comprendre la fable, cependant la fable donne des enseignements didactiques et politiques : * Les lois sont soumises au caprice du peule * Il faut se contenter de ce qu’on a Il utilise le mot « fourmis » pour montrer l’absence de réflexion. Les grenouilles ont un caractère inconstant, elles ne font que changer d’avis, elles deviennent la proie du chef d’état. II- La portée didactique Vers 2 ->

individus insensés puissent désirer l'impossible. Il vient à l'esprit que la raison impose une certaine restriction aux désirs des Hommes. Il semblerait que, grâce à la raison, tout Homme aurait la capacité de se dominer, de se contrôler et de discerner le bien du mal. Il vient à l'esprit qu'il suffirait que les Hommes fassent preuve de réflexion en ce qui concerne l'objet de leur désir pour se rendre compte qu'il est vain d'espérer pouvoir l'atteindre. Néanmoins, il semblerait que des individus sensés peuvent