Je vais bien, ne t'en fais pas

problème au coeur aussi Guest_Lilian73Angel: 24ans Guest_BadboyOGC2: et tu endure à depuis combien de temps Guest_BadboyOGC2: endure çà* Guest_Lilian73Angel: bah en fait ca doit faire bien 2 ans, mais ca a été détecté y'a a peine un mois Guest_Lilian73Angel: t'es la ? Guest_BadboyOGC2: oui Guest_BadboyOGC2: t'en est a quel stade Guest_BadboyOGC2: ? Guest_Lilian73Angel: stade 2 Guest_BadboyOGC2: tu m'attend faut que j'aille boire un verre d'eau Guest_BadboyOGC2: *.* ^^" Guest_Lilian73Angel:

premiere et introduction Avant l'introduction de ma seconde chronique, je tiens a vous dire que celle ci est une histoire vraie. Il n'y a rien d'ajouté. La meuf de ma chronique, Rama je la connais bien mais j'ai pas parlé d'elle dans ma chronique parce que j'avais prévu avec son autorisation bien entendu, de faire une chronique sur son histoire que j'ai vraiment aimé. Donc je disais que j'ai pas parlé d'elle parce que je voulais pas vous donner une impression de déja connaitre l'histoire et pour

éclairs briller, Et tous ses compagnons tomber sous la muraille. Il dit à l'officier; Permettez-vous que j'aille Rapporter cette montre à ma mère chez nous ? ••'- - Tu veux t'enfuir ? - Je vais revenir. - Ces voyous Ont peur ! Où loges-tu ? - Là, près de la fontaine. Et je vais revenir, monsieur le capitaine. - Va-t'en, drôle ! - L'enfant s'en va. - Piège grossier ! Et les soldats riaient avec leur officier, •-• Et les mourants mêlaient à ce rire leur râle Mais le rire cessa, car soudain l'enfant pâle

Cléanthis lui met une claque. Je vais justement lire un extrait de la scène ou Sosie revoit sa femme pour la première fois: Acte 2 Scène 3 Cleanthis : Tu n'appelles donc rien le procédé,peut-étre, qu'avec moi a tenu ton cœur ? Sosie : Et quel ? C:Quoi ? Tu fais l'ingénu ? Est-ce qu'à l'exemple du maitre tu veut dire qu'ici tu n'es pas revenu ? S: Non : je sais fort bien le contraitre;Mais je ne t'en fais pas le fin : nous avions bu dee je sais quel vin qui m'as fais oublier tout ce que j'ai pu faire

l’obsession. Depuis mon premier jour de lycée, chaque option choisie, chaque devoir rendu le furent en vue de l’université. Et pas n’importe laquelle – ma mère avait décidé que j’irais à Washington Central, celle qu’elle avait fréquentée, bien qu’elle n’ait jamais terminé le cursus. Mais je ne réalisais pas que les études supérieures ne se bornent pas à l’enseignement qu’on y reçoit. Je n’imaginais pas que le choix de mes options pour le premier semestre me paraîtrait si

briller, Et tous ses compagnons tomber sous la muraille. Il dit à l'officier: Permettez-vous que j'aille Rapporter cette montre à ma mère chez nous ? - Tu veux t'enfuir ? - Je vais revenir. - Ces voyous Ont peur ! Où loges-tu ? - Là, près de la fontaine. Et je vais revenir, monsieur le capitaine. - Va-t'en, drôle ! - L'enfant s'en va. - Piège grossier ! Et les soldats riaient avec leur officier, Et les mourants mêlaient à ce rire leur râle Mais le rire cessa, car soudain l'enfant

pas une solution, il n'y a pas de solution. Je me maquille, j'essaie de bien m'habiller, je mets du fond de teint et du crayon et j'attrape le plus beau sourire que j'ai et je tache de le montrer a tout le monde, histoire qu'on pense que je suis une fille sans histoire, juste cool qui se prend pas la tête. Mais a l'intérieur de mon âme, de mon esprit, c'est noir. T'a peur de l'enfer ? Et bah moi je le vis tout les jours. J'ai bien compris que la vie est un enfer dont je n'en ressortirai pas vivante

«Monsieur, ramassez-moi, chez vous ramenez-moi Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade Si vous n'me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture» J'ai pris le p'tit bonheur, l'ai mis sous mes haillons J'ai dit : «Faut pas qu'il meurt, viens-t'en dans ma maison» Alors le p'tit bonheur a fait sa guérison Sur le bord de mon coeur, y'avait une chanson Mes jours, mes nuits

trop cabosses... Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l'amour -appelez ca comme vous voulez -, va se charger de les bousculer un peu. Leur histoire, c'est la theorie des dominos, mais a l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident a se relever. Anne Gavalda Ensemble, c’est tout A Muguette Clement (1919-2003) Corps non reclame. PREMIERE PARTIE 1 Paulette Lestafier n'etait pas si folle qu'on le disait. Bien sur qu'elle reconnaissait les jours puisqu'elle

Pour commencer, je me suis posé la question, qu’est-ce qui peut remédier au problème qu’on rencontre au cours de la vie, qu’est-ce qui peut nous rendre heureux, ou encore nous réconforté. J’ai fais une liste de plusieurs sujets qui peuvent répondre à cette question (la liberté, la nature, l’écriture, la solidarité, et les 5 qui suis), et j’en ai gardé 5 : L’amour ; L’amitié ; l’espoir ; la religion et la paix. Personnellement, je me suis surtout retrouvé dans les 3 premiers sujets, j’aurais aussi