Je vais bien, ne t'en fais pas

sourit méchamment et lui dit : - tu as détruit ma réputation, je vais te tuer !! - Vous me tuer même si je deviens votre femme ?? - Euh ... - Dites nan s'iou plaît ! -elle fait les yeux doux- Wolfrun l'attrape et la jette par la fenêtre. Foutu fenêtre pense t-elle juste avant de mourir dans d'atroce souffrance. -Wolfrun! C'est quoi ce bordel?! T'avais un chance d'avoir une femme et tu la jette par la fenêtre -tu va pas t'y mettre... -je fais ce que je veux! Je suis le maître des terres de Septenrion MOUAHAHA

tu te tiendras derrière pour mieux déguerpir SAMSON Ne crains rien de moi. GRÉGOIRE De toi ? Non, morbleu. SAMSON Mettons la loi de notre côté et laissons-les commencer GRÉGOIRE Je vais froncer le sourcil en passant près d’eux, et qu’ils le prennent comme ils le voudront. SAMSON C’est-à-dire comme ils l’oseront. Je vais mordre mon pouce en les regardant, et ce sera une disgrâce pour eux, s’ils le supportent. ABRAHAM, à Samson Est-ce à notre intention que vous mordez votre pouce, monsieur ? SAMSON

sourire narquois. -Je n’ai pas le droit de t’en faire ? Lui lança-t-il avec un clin d’œil pour cacher sa gène. -Sinon ça va ? Lui répondit-elle en levant les yeux au ciel. -Très bien et toi ? -Ça peut aller mieux, un des gardes de ma mère a repéré de la poudre de phœnix vers le nid des dragons. -Comment ça les phœnix ne viennent jamais voir les dragons. -Je sais mais je pense qu’il a manqué un indice. Je voulais aller voir dans cette zone-là. - Très bien votre majesté. Dit-il en effectuant une révérence

ADAPTATION CINÉMATOGRAPHIQUE : DISSERTATION « JE VAIS BIEN NE T’EN FAIS PAS » Depuis l’apparition du cinéma et de ses techniques, plusieurs réalisateurs ont tentés d’adapter au mieux les grands romans déjà publiés. Le film de Philippe LIORET « Je vais bien ne n’en fais pas », sorti en 2007, est-il une bonne adaptation cinématographique du roman d’Olivier ADAM paru la même année ? Il n’y a pas de définition exacte d’une adaptation cinématographique réussie. Cependant une adaptation réussie

exagération.Lilia tu représente quelque chose pour moi que tu ne sais pas encore, je vais tout t’expliquer dans ce cas-là. Tu as toujours attiré mon esprit même quand tu étais petite je t’aimais amoureusement parlant, tu m’as toujours touché le cœur je ne sais pas pourquoi. Quand tu es revenu à l’étrier je t’observais et je faisais attention à toi même avant qu’on se reparle avec ta culotte rouge, tu aimais bien t’assoir dans le gazon en face du clubhouse. Après on c’est parler pas mal de temps

pourquoi elle te plait tant que ça. Pour toi j'aurais décroché la lune. Je t'aime tellement si tu savais. Mais il faut croire que tu préfère les filles qui ce foutent de toi qui n'en n'on rien à faire de toi. Je crois qu'au fil du temps quand elle t'aura bien fait souffrir tu comprendra peut être. Tu es à la fois mon plus beau rêve et mon pire cauchemar. Quoi que je fasse, tu ne m'aimeras jamais. J'aurais voulu être la fille de tes rêves mais je ne suis qu'une étrangère à tes yeux. Ecoute ce que te dis

malheureusement tu fais sylphide  GEORGES : Je fais sylphide ?  ALBIN : Moi, j'ai du poids quand je marche  GEORGES : Même quand tu ne marches pas  ALBIN : Toi c'est « mon truc en plumes »  GEORGES : Mon quoi ?  ALBIN : « Mon truc en plumes ». Toi, c'est zizi, c'est tout zizi !  GEORGES : En tout cas, zizi ou pas zizi, moi je suis le père. Alors, un, ça peut aller, le doute peut flotter. Deux, ce n'est pas possible. Chlac ! Voilà ce qu'elle vous envoie la sylphide !  ALBIN : Ecoute-moi bien, Georges, si

raison qu’il voulait changé de vie. Qui peut croire à ce genre d’excuse ? Et bien pas moi. J’ai été élevée seul, rien que moi et ma mère. Mon père nous versais une pension alimentaire, et heureusement, car on aurait sûrement pas tenu. Et le fait que ma mère boive, ne me donne pas une bonne réputation envers le monde de la sociétés, car elle connaît tout le monde dans le quartier et est même passer à la télé. Elle à fais un scandale mais pas comme vous le penser. Elle était inviter à vivement dimanche

de ton acte tout le travail d’une vie en ruine, une politique flanquée par terre, personne pour me remplacer, le Parti condamné peut-être à ne jamais prendre le pouvoir... HUGO : Je vous dis que je n’y penserais pas! HOEDERER : Tu ne pourrais pas t’en empêcher. Et ça vaudrait mieux parce que, tel que tu es fait, si tu n’y pensais pas avant, tu n’aurais pas trop de toute ta vie pour y penser après. (Un temps.) Quelle rage avez-vous tous de jouer aux tueurs? Ce sont des types sans imagination. Ça

de terre, Afin qu'il soit bien reçu des morts qui y reposent. Quant à la malheureuse dépouille de Polynice, L'on a fait savoir, à ce qu'on dit, qu'il était interdit à tout citoyen De le cacher dans un tombeau et de se répandre en lamentations ; On doit le laisser là, sans larmes ni sépulture, une aubaine Pour les oiseaux qui guettent toute occasion de faire bombance. Voilà ce que la noble Créon, à ce qu'on dit, a fait proclamer, Cela te concerne autant que moi, je dis bien moi. Il vient ici pour faire