Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

le temps Je viens de recevoir Mes papiers militaires Pour partir à la guerre Avant mercredi soir Monsieur le Président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens C'est pas pour vous fâcher II faut que je vous dise Ma décision est prise Je m'en vais déserter. Depuis que je suis né J'ai vu mourir mon père J'ai vu partir mes frères Et pleurer mes enfants Ma mère a tant souffert Qu'elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes

Les aurores Montréal : 1 : Gris et blanc· Petit appartement 1 pièce et demie· Mois de novembre, chemin vers la richesse = chemin froid· Parle à un chien « manu » · La beauté blanche « neige »2 : le passage · La chambre· Gaby 17ans · Voiture vieille renaud · Parent pas fière d’elle· Déménagement avec David (6 ans de plus qu’elle) dans un petit appartement étudiant science de la politique et sur le chômage.· Va à la recherche d’un emploi pour cinéma· Meurt à la fin?3 : jouer avec un chat· Bu espressos

| | |Cancres, hères, et pauvres diables, | | |Dont la condition est de mourir de faim. | | |Car quoi ? rien d'assuré ; point de franche lippée ; | |20

Exupéry – « Le Petit Prince » Année 2012-2013 MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE - ACADEMIE DE NANTES J’ai tant rêvé de toi J’ai tant rêvé de toi que l’amour n’est plus Tant vu ton visage doux comme un nuage Que je ne vois plus que dans la beauté le reflet De ton visage d’ange J’ai tant rêvé de toi qu’en face de ton corps Je me fais silence La timidité, c’est dur à cacher J’ai tant rêvé de toi que le temps qui court Au son de ta voix semble s’arrêter Emportés par le vent tes mots se

tlgniques la douleur de la crise denerfs sajoutait la honte dtre une attraction. Et en effet, la camra ne ddaignait pas les moments dhystrie. Elle ne les privilgiait pas non plus. Elle savait quil tait de lintrt de Concentration de montrer au maximum la beaut de cette humanit torture. Cest ainsi quelle lut trs vite Pannonique. Pannonique lignorait. Cela la sauva. Si elle avait pu se douter quelle tait la cible prfre de la camra, elle net pas tenu le coup. Mais elle tait persuade quune mission aussi sadique

y a en un pays, un homme ou une femme de grande valeur, ceux qui envient sa renommée, souvent le calomnie : ils veulent lui abaisser son mérite ; pour cela ils tiennent le rôle du chien méchant, lâche, perfide qui mord les gens traitreusement.Je ne veux pas pour autant renoncer à mon entreprise, même si les railleurs et les médisants veulent la faire échouer.C’est leur droit de dire du mal. Je vous raconterai birèvement les histoires dont je sais qu’elles sont veridictes et dont les bretons ont

suffirait-elle à faire sau- ter cette maison ? DORA Une seule, non. Mais elle l'endommagerait. Albert Camus, Les justes. Pièce en cinq actes (1949) 23 STEPAN Combien en faudrait-il pour faire sauter Moscou ? ANNENKOV Tu es fou ! Que veux-tu dire ? STEPAN Rien. On sonne une fois. Ils écoutent et attendent. On sonne deux fois. Annenkov passe dans l'anti- chambre et revient avec Voinov. [24] VOINOV Stepan ! STEPAN Bonjour. Ils se serrent la main. Voinov va vers Dora

place de ville. [modifier] Table des matières Acte I Acte II Acte III Acte IV Acte V [modifier] Acte I[modifier] Scène 1 Chrysalde, Arnolphe Chrysalde.Vous venez, dites-vous, pour lui donner la main ?Arnolphe.Oui, je veux terminer la chose dans demain.Chrysalde.Nous sommes ici seuls ; et l’on peut, ce me semble,Sans craindre d’être ouïs, y discourir ensemble :Voulez-vous qu’en ami je vous ouvre mon cœur ?Votre dessein pour vous me fait trembler de peur ;Et de quelque

grands arbres encor des feuilles dépouillés Dont le troupeau lassé cherchait l’abri naguère, Les verts épis de juin en gerbes reliés, Hirsutes et blanchis portés sur une bière, Alors sur ta beauté je rêve et j’aperçois Qu’il te faudra du Temps joindre l’empire sombre, Car douceurs et beautés, oublieuses de soi, Meurent dès qu’elles voient leurs soeurs sortir de l’ombre ; Et, sinon des enfants, qui te protègera Contre la faux du temps lorsqu’elle t’atteindra ? Will iam Shak

Les grands arbres encor des feuilles dépouillés Dont le troupeau lassé cherchait l’abri naguère, Les verts épis de juin en gerbes reliés, Hirsutes et blanchis portés sur une bière, Alors sur ta beauté je rêve et j’aperçois Qu’il te faudra du Temps joindre l’empire sombre, Car douceurs et beautés, oublieuses de soi, Meurent dès qu’elles voient leurs sœurs sortir de l’ombre ; Et, sinon des enfants, qui te protègera Contre la faux du temps lorsqu’elle t’atteindra ? Will iam Shak espe are (Ang