Je Voudrais Pas Crever

tard ! [Lynn et Sébastian] : Oui ! Ce soir-là, Maxime partit chercher cette fille. Il la trouva dans un parc assez sombre. Maxime aborda la discussion avec elle. [Maxime] Bonsoir, je me présente, je suis Maxime. Désolé de vous parler si tard… Je voudrais savoir si vous connaissez une certaine Lynn Darcy ? [Petite fille] : Lynn ?... Lynn ?! Vous la connaissez ? S’il vous plaît, amenez-moi à elle ! Je suis sa sœur ! Chapitre 4 : La vérité Après que cette fille nous dise qu’elle était la sœur

demandée par le conseiller Paul Faber, à qui Boris Vian répond par une lettre d’explication. Vian est par ailleurs l’auteur du roman L’écume des jours (1946), de la pièce de théâtre L’équarrissage pour tous (1950), du recueil de poèmes Je voudrais pas crever (publié en 1962) ainsi que des chansons « La complainte du progrès » (1956), « J’suis snob » (1954) et « La java des bombes atomiques » (1954). L’artiste meurt brutalement en 1959 lors de la projection du film tiré de son roman J’irai cracher

ZARAKAÏ : Boucle la ou je te dépiaute ! ENORIEL : c’est même un dépotoir pileux de restes culinaires… ZARAKAÏ : QUOI ?! ENORIEL :  y a du gras, de la morve, du pu, des tiques, des poux, des bestioles crevées... ZARAKAÏ : MAIS… C’EST TOI QUE JE VAIS CREVER… ENORIEL : ESSAYE TOUJOURS PAUVRE DEMEURE ! (sort son épée) ZEHIRMHANN : LA BARBE VOUS DEUX ! VOUS ALLEZ ARRETER CE BORDEL ! (en hurlant) ENORIEL : Mais euh... on parlait tranquillement... ZARAKAÏ : T’enflamme pas ZEHIR... on fait que discuter

passage un peu brouillé, une parenthèse pour faire mal à ma vie. Je ne suis pas brisée mon Amour même pas grisée. T'as le souffle faible qui empeste le wisky malboro même pas light. Casse toi dans les bras de ta pétasse, accroche toi à ses lèvres et crèves en. Meurs de m'avoir aimé trop vite, et quitté trop tôt. Et tu sais quoi ? Ton meilleur ami, je le pompe. Maman, Papa, Je sais, je vous fais pitié. Vous ne supportez pas que je sois différent de ma sœur. Que je ne sois pas une Sainte comme elle

La seule vie qui vaille vraiment la peine est celle du moment présent On ne peut pas dire que je tombais amoureux. Je ne tombais pas. En faite, je volais amoureux. Si tu veux voir l'âme de quelqu'un, demande lui à quoi il rêve. Je ne voudrais pas crever avant d'avoir usée sa bouche avec ma bouche. Son corps avec mes mains, le reste avec mes yeux.. Tout ce que l'on connaît c'est la distance. On se rapproche et ensuite on s'éloigne, comme un baiser qui se perd. - Les gens sont vraiment

thème : le désir de la satisfaction et du bonheur. Dans « La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Boeuf » une grenouille voulut ressembler à un Boeuf. Elle était tellement envieuse du poids de ce dernier qu'elle s'enfla jusqu'à finalement crever. Cette grenouille ne s'est donc pas contentée de ce qu'elle avait mais en a demandé plus. On peut donc remarquer la même situation dans « Les Grenouilles qui demandent un Roi ». Dans « Le Loup et le Chien » un loup maigre et sauvage rencontre un chien

bien plus qu'une fille. T'es une perle, un diamant. Tu ravis mon regard, tu sais. J'ai comme des étoiles dans les yeux quand ton foutu prénom s'affiche sur mon écran. T'es tout ce que les gens voudraient avoir. Mais en fait, t'es surtout ce que je voudrais avoir. Oh, oui, que j'aimerais t'avoir pour moi. Te dire à quel point je t'aime, et te serrer fort dans mes bras jusqu'à ce que mort s'en suive. J'voudrais traverser les champs de blés avec toi, et faire en sorte qu'on se retrouve toutes deux

thème : le désir de la satisfaction et du bonheur. Dans « La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Boeuf » une grenouille voulut ressembler à un Boeuf. Elle était tellement envieuse du poids de ce dernier qu'elle s'enfla jusqu'à finalement crever. Cette grenouille ne s'est donc pas contentée de ce qu'elle avait mais en a demandé plus. On peut donc remarquer la même situation dans « Les Grenouilles qui demandent un Roi ». Dans « Le Loup et le Chien » un loup maigre et sauvage rencontre un chien

deviendrait un souvenir qui tord le coeur Est-il possible de se faire tant de mal pour un homme ? Vous l'aimiez donc toujours ? Ma pauvre chérie. Tout à l'heure, vous étiez joliment montée contre lui. Et vous voilà, maintenant, à le pleurer, à vous crever le coeur... On finit toujours par partir en embrassant la mauvaise personne.  - Je te demande de m'excuser. J'ai eu peur. Peur de devenir l'ami.- Oh non! L'ami, c'est affreux ?- Oui, c'est affreux. Je ne veux pas devenir le confident à

libre, je veux rire à en pleurer, je veux pouvoir être aimé pour ce que je suis et non ce que j'ai ; Je veux regarder les étoiles toute la nuit, et voir plein d'étoile filante, je voudrais vivre ! J'veux voir des arc-en-ciel, je veux pas grandir, je veux celui que je n'aurais jamais.. Je veux qu'on me console; je voudrais pouvoir rêver encore et encore.. et exaucer mes rêves, je veux des nuits blanches et des fou rire avec les amis , je veux tes bras et ton odeur. Tu sens les frissons qui parcourent