Je Voudrais Pas Crever

supporte plus tout ça, pourquoi j'ai peur de tout perdre? Dis-moi pourquoi je me souviens de tout comme si c'était hier? Pourquoi j'ai toujours cette envie de tout recommencer depuis le début pour tout pouvoir revivre & en profiter comme je le voudrais? Dis-moi pourquoi je ressens tout ça? Pourquoi tu es encore trop présent? Pourquoi, pourquoi ... » Je ne suis pas amoureuse de lui, tu sais... Enfin, je pense pas, j'ai pas envie qu'il soit à moi, j'ai pas envie qu'on nous regarde en disant "C'est

brisé avec l'ami dont on ne partage pas le point de vue ? Qu'attendons nous de nos amis ? Qu'attende-t-il de nous ? Marc dit à Yvan : « Tu vois Yvan, ce que je ne supporte pas en ce moment chez toi c'est ton désir de nous niveler. Egaux tu nous voudrais. Pour mettre ta lâcheté en sourdine. Egaux dans la discussion, égaux dans l'amitié d'autrefois. Mais nous ne sommes pas égaux, Yvan. Tu doit choisir ton camp. ». Ces propos sont approuvés par Serge. Yvan est alors pris , malgré lui, dans un conflit

suis pas ambitieuse, je ne demande pas grandchose... Mon idéal, ce serait de travailler tranquille, de manger toujours du pain, d'avoir un trou un peu propre pour dormir, vous savez, un lit, une table et deux chaises, pas davantage... Ah ! je voudrais aussi élever mes enfants, en faire de bons sujets, si c'était possible... Il y a encore un idéal, ce serait de ne pas être battue, si je me remettais jamais en ménage ; non, ça ne me plairait pas d'être battue... Et c'est tout, vous voyez, c'est

moment ! Vos omoplates se déboîtent, Ô mes amours ! Une étoile à vos reins qui boitent, Tournez vos tours ! Et c'est pourtant pour ces éclanches Que j'ai rimé ! Je voudrais vous casser les hanches D'avoir aimé ! Fade amas d'étoiles ratées, Comblez les coins ! − Vous crèverez en Dieu, bâtées D'ignobles soins ! Sous les lunes particulières

puisqu'il en a le profit. Argan Qu'on ait soin de me tenir un bouillon prêt, pour l'autre que je dois tantôt prendre. Toinette Ce monsieur Fleurant-là et ce monsieur Purgon s'égayent sur votre corps ; ils ont en vous une bonne vache à lait, et je voudrais bien leur demander quel mal vous avez, pour faire tant de remèdes. Argan Taisez-vous, ignorante ! ce n'est pas à vous à contrôler les ordonnances de la médecine. Qu'on me fasse venir ma fille Angélique : j'ai à lui dire quelque chose. Toinette

façon que je t'aime. Peut-être qu'un jour je te manquerais de la même façon que tu me manques. Peut-être qu'un jour, tu penseras à moi de la même façon que je pense à toi. Peut-être qu'un jour tu voudras de moi, mais peut-être que ce jour moi je ne voudrai plus de toi.. Si tu m'entends, sache que rien n'a changé, même avec le temps, tu sais. Oui, c'est pour les autres que je fais semblant d'être bien sans toi. Oui, c'est pour ces autres que je fais comme si t'existais pas. Je me tairai, je te

sont pour la grande part des gens mentalement malades (schyzophrénie, lésions cérébrales, traumatismes...etc, et la plupart ayant eu une enfance difficile (abus sexuel, maltraitance...etc), qui ont besoin d'être soignés et non tués. Pour finir,je voudrais dire que les gens qui passent 20 ans ou plus de leur vie en prison ne sortent pas ensuite et ne se refont pas une "petite vie tranquille" , leurs vies sont gâchées. Je ne dis pas qu'il ne le méritent pas, mais je dis simplement qu'il est faut de

bon ne peut advenir désormais. Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire, et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d'armé et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d'en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d'avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire davantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n'es pas là et que tu es Dieu sais où. Mais je hais surtout de ne pas

vie au lycée, sans elle... Mais sûrement que ça n'aurait jamais été si beau. Mes secrets, c'est à elle que je les confie, & c'est avec plaisir que j'écoute le moindre de ses conseils. Aujourd'hui elle a gagné ma confiance et toute mon amitié, et je voudrais la remercier d'être là, à chaque instant, et j'espère sincèrement qu'elle le sera pour encore longtemps… · L’amour d’une mère est comme l’air, c’est tellement banal qu’on n’y prête presque pas attention. Jusqu’à ce qu’on en manque. · Les animaux

des allées ; et, aux premières rouilles de septembre, la chute des feuilles des platanes, transparentes et jaunes comme de l'ambre, sur l'étain figé des pièces d'eau ! Comme tout cela est loin et m'est présent encore, combien de tout cet hier je voudrais faire l'emploi de mes lendemains ! Ces heures lourdes de la sieste en été, des excursions en automne, je les passais, moi, en pérégrinations sournoises, en véritables voyages de découverte à travers les coins inexplorés de cette propriété dont