Jean Baptiste Say Et La Répartition

(texte 34 : L'origine de l'épargne, ibid., pages 84-85). A fortiori, il suggère que l’équilibre entre l’épargne (texte 33) et l’investissement (texte 35 : La notion d'investissement, ibid., pages 95-96) n’est pas donné ex ante, les choix dans la répartition du revenu se portant avant tout sur les d épenses de consommation. En fait, selon lui, l’accumulation de l’épargne s’obtient ex post, à travers le mécanisme bien connu du multiplicateur. Dès lors, peut s’exprimer le sens le plus profond de la «

et l’analyse macroéconomique (qui appuie ses théories et raisonnements sur l’échelle globale de tous les agents). INT-01-04-01-J1-FO 3  CFPB ■ Les principales théories économiques ou courants de pensée Le courant classique Adam SMITH, Jean Baptiste SAY, David RICARDO. Pour une période couvrant la fin du XVIIIe et la première moitié du XIXe, avec la révolution industrielle et les évolutions d’une économie d’artisans vers une économie d’industriels et d’ouvriers. Le courant néo-classique Léon

pour la satisfaction des besoins des humains vivnat en société Science en interconnexion avec la sociologie, le droit, les sciences politiques, l'histoire... Il y a 3 temps dans l'activité économique : Production : travail, capital Répartition : partage des revenus Epargne ou dépense Les économies de marché s'appuient sur les échanges marchands pour résoudre 3 questions fondamentales de l'économie : Quels biens produire et en quelle quantité ? Comment produire ? Pour

et il a consacré une grande partie de la Richesse des nations à examiner les fonctions que l'Etat doit assumer dans les économies. Il estimait que, dans les conflits de travail, les patrons avaient un avantage indu sur les travailleurs. C'est avec Say, Malthus, Ricardo et Mill que se constitue ce que Marx, puis Keynes désigneront plus tard comme l'"économie politique classique". On considère généralement que cette école de pensée aurait dominé la réflexion économique, principalement en Angleterre

variables économiques. Exemples : les lois d’Engel selon lesquelles la part du revenu consacrée à la dépense alimentaire diminue quand le revenu augmente, la loi de Gresham selon laquelle la mauvaise monnaie chasse la bonne, la loi des débouchés (loi de Say), la loi des rendements décroissants, la loi de l’offre et de la demande… Les lois sont fondées sur des hypothèses + ou – contraignantes. Une hypothèse est une simplification de la réalité qui rend possible la formulation de théories. Un

courants Les mercantilistes (15è au 17è siècle) Mercantilisme bullioniste (Esp) - Richesse = Or et Argent Mercantilisme commercial (Ang) - Richesse = Commerce Mercantilisme industriel (Fr) - Richesse = travail dans l’agriculture et l’industrie - Jean Bodin (1530-1596) FPL Introduction à l’Économie Omar Belkheiri © 2009 Petite Histoire de la pensée économique : les principaux courants Période Principaux Traits… Economie féodale L’or de l’Amérique / Richesse des princes Classe d’hommes

L’analyse classique 11 1. Division du travail 11 2. Valeurs et prix 11 3. Salaires, profits et rente 12 4. Eléments de richesse d’une nation 13 5. Théorie de l'état stationnaire 13 6. Loi des débouchés 13 7. Neutralité de la monnaie 14 8. La répartition 15 C) L’essor du capitalisme européen de 1830 à 1914 16 2. Les théories marxistes 17 A) Les concepts fondamentaux de la problématique marxiste 17 b) L’analyse des crises 17 1. Les théories de l’exploitation et la baisse tendancielle du taux

Frédéric Bastiat, économiste, politique et polémiste libéral 7 Ses débuts 7 Sa pensée 8 Son influence aujourd’hui 9 IV. Malthus, économiste pessimiste 9 Présentation de l’auteur 9 La loi de la population 9 Remise en cause de la loi de Say 11 Conclusion 13 Sources 14   Introduction Souvent, on attribue la naissance de la pensée économique aux classiques. Avec la révolution industrielle, ainsi que la naissance de l’économie, on a le sentiment de la naissance d’une pensée nouvelle

richesse est imaginée comme à peu près fixe. Il expose de cette façon une forme d’organisation sociale basée sur la communauté des biens et propose même dans Les Lois un partage égalitaire de la terre. L’économie platonicienne cherche ainsi à régir la répartition des ressources, et ce à une fin politique et philosophique. Moins qu’un art, l’économie pour Platon se rapprocherait donc plutôt de ces savoir-faire décrits dans Gorgias ; il n'en demeure pas moins que ses tentatives d'organisation d'une cité parfaite

monnaie dans un pays? 1) Définition de l'économie : Aristote : « La science économique est la science d'acquérir des richesses, c'est-à-dire un trésor de ressource nécessaire ou utile à la vie dans toute association civile ou domestique » Jean-Baptiste Cay : « L'économie enseigne comment se forme, se distribue, et se consomme les richesses qui satisfaisant aux besoins des sociétés » John Stuart Mill : « L'économie est la science qui traite de la production et de la distribution des richesses