Jean Baptiste Say Et La Répartition

richesse . Toutefois, le capital est nécessaire . Il s'agit de formaliser comment on va tenir compte de tout ce travail en amont de cette production . Pour Adam Smith, le travail provient de l'épargne . L'épargne est une vertue pour lui. - la répartition des revenus avec les salaires (il existe un salaire en dessous duquel on ne peut pas descendre , le salaire doit être supèrieur au salaire de subsistance pour lui. Un travail mieux payé va être plus productif pour lui. )

cela, il est en rupture avec la doctrine physiocratique selon laquelle l'agriculture est la seule source de richesse. En revanche, son raisonnement revient à rejeter les services dans le travail improductif, ce en quoi il a été critiqué par Jean-Baptiste Say. Second facteur, l'abondance ou l'insuffisance de richesse dépend aussi du "pouvoir productif du travail" (productivité moyenne du travail). Smith montre au travers du fameux exemple de la manufacture d'épingles, tiré de l'Encyclopédie de Diderot

économiques : PLATON et ARISTOTE dans l’Antiquité, et S.T. D’AQUIN et IBN KHALDUN au Moyen-âge ;  Entre les deux premiers, deux questions concernant l’économie vont faire débat : La propriété : collective (PLATON), ou privée(ARISTOTE) ? La répartition de la richesse : égalitairement (PLATON), ou proportionnellement à l’effort de chacun (ARISTOTE) ?  Le prêt à intérêt est toujours condamné et méprisé. 17/04/2012 Cours de Omar TIJANI 11 Chapitre 1 : Développement de la pensée économique

* 4.3.1 En Grande-Bretagne * 4.3.1.1 Thomas Malthus (1766 - 1836) * 4.3.1.2 David Ricardo (1772 - 1823) * 4.3.1.3 Cobden et le Libre-Echange (1838) * 4.3.2 En France * 4.3.2.1 Jean Baptiste Say (1767-1832) * 4.3.2.2 Frédéric Bastiat (1801-1850) * 4.3.2.3 Paul Leroy-Beaulieu (1843-1916) * 4.3.3 Aux États-Unis : Henry Charles Carey (1793-1879) * 4.3.4 L'effort de synthèse : John Stuart Mill

monnaie plus abondante favorise toutes les ventes et la reproduction de nouvelles valeurs » (Say, 1828-9, t. 1 : 465) JEAN-BAPTISTE SAY ET LA THÉORIE QUANTITATIVE DE LA MONNAIE Alain BÉRAUD THÉMA Université de Cergy-Pontoise La théorie monétaire de Say découle de sa théorie de la valeur. Ricardo et son école pensaient que les coûts de production des métaux précieux expliquent la valeur des lingots. Say soutient, contre eux, que l’offre et la demande déterminent aussi bien le prix de l’or et

attributions naturelles. la théorie classique est une théorie macro-économique, l’analyse se fait au niveau national. L’analyse des classiques est dynamique. Les classiques vont analyser les trois grands thèmes de l’économie politique : valeur et répartition, croissance démographique et l’évolution économique 1. La valeur : Pour analyser la théorie de la valeur chez les classiques, on doit poser la question, comment mesurer la valeur ? Tout d’abord, on va faire une distinction entre deux types

classique Sommaire Introduction 1 I . Les doctrines de Malthus 1 a) Les politiques malthusiennes 1 b) Limites de la théorie de la surpopulation 1 II . Le rôle de la Demande Effective 1 a) La demande effective et la contestation de la loi de Say 1 b) La notion de Surproduction Générale 1 III . Valeur travail et Théorie des prix 1 Conclusion 1 Introduction Thomas Robert Malthus est un économiste britannique du 19° siècle de l’école classique. Il est révélé par son Essai sur le

recherche du profit mais soumise à la loi du marché, lieu où s’affrontent les intentions d’une multiplicité de décideurs. Pour assurer les trois fonctions économiques fondamentales répertoriées par Musgrave, soit l’allocation des ressources rares, la répartition du revenu et la régulation du système, on s’en remet essentiellement à la concurrence qui émerge de la confrontation permanente entre les offreurs d’une part, entre les demandeurs de l’autre, sur chaque marché (des biens, du travail et des capitaux)

1 : La loi de Say et sa critique par Marx à travers les schémas de reproduction TD de Théories économiques comparées : croissance et crises Licence 2 Sciences Economiques - Université Paris 1 Thibault Darcillon thibault.darcillon@univ-paris1.fr http://www.parisschoolofeconomics.eu/fr/darcillon-thibault/enseignements/ Thibault Darcillon (Université Paris 1) Dossier 1 - TEC 2011-2012 1 / 43 Références bibliographiques Références fondamentales Say, Jean-Baptiste [1803], Traité

* Qu’est ce que l’on produit ? Le consommateur fait son choix et sanctionne l’entreprise en n’achetant pas son produit, l’entreprise est constamment informée des aspirations et goûts des consommateurs. * Comment produire ? Pour Jean-Baptiste Say, le rôle de l’entrepreneur est d’adopter les combinaisons des facteurs de production les plus efficaces, voir les plus rentables. * Pour qui produire ? Le marché répond à la demande solvable. En étudiant le revenu de marché d’un individu