Jean Baptiste Say Et La Répartition

vérité économique. Tous ces courants expriment simplement une « Weltanschauung ». Quels sont les principales écoles de penser ? Leçon 1 : LES MERCANTILISTES (1500 – 1750) → Colbert, Antoine de Montchrestien, Williams Petit, Jean Baudin, … Le mercantilisme est coïncide avec la colonisation du nouveau monde, l'apogée de la monarchie absolue et l'apparition de l'état moderne. Le terme mercantiliste n'existe pas avant le XVIII è siècle, c'est le marquis de Mirabeau qu'il

l'impôt" parue en 1917. Il s'oppose à l'intervention de l'Etat surtout fans le secteur sociale et même contre les mesures qui ont pour but de relever les salaires car selon lui celà va provoquer l'augmentation de chômeurs --> déséquilibre dans la répartition de la richesse sociale (mondial). Il encourage le libre échange, l'ouverture des barrières = la théorie "des avantages comparés." Il encourage aussi la spécialisation international, il appel à une division international de l'activité économique

car on ne peut plus faire ne sorte que la rémunération de chacun soit proportionnel à sa contribution. Mettre tout en commun est, pour l’Homme, une entreprise difficile entre toute. Dans beaucoup de ses ouvrages, il développe une théorie de la répartition qui qu’articule parfaitement avec la notion de propriété privée. Il considère que l’égalité ne consiste pas à donner la même chose à chacun mais à faire en sorte que chacun reçoive une part proportionnel à ses efforts. C’est ce qu’il appelle la

La Révolution industrielle voit se développer une économie politique d'inspiration britannique avec Adam Smith, Thomas Malthus, David Ricardo et Jean-Baptiste Say qui prônent le libéralisme économique même si l'on peut observer entre ces différents auteurs des divergences sur le problème de la valeur des marchandises, celui de la nature de la répartition des revenus et celui des crises et de la croissance : l’auteur différencie chez l’attitude doctrinale (commune) et l’attitude économique, qui présentent

Thomas Robert MALTHUS (1766-1834) : Essai sur les principes de population, 1798. (Loi de la population). * David RICARDO (1772-1823) : Des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817. (Théorie de la valeur, de la répartition des revenus). * Jean-Baptiste SAY (1767-1832) : Traité d’économie politique, 1803. (Loi des débouchés). * Les néoclassiques : * Les fondateurs, le marginalisme (unité marginale) : * Stanley JEVONS (1835-1882) : Théorie de l’économie politique, 1871

des sentiments moraux. Cet ouvrage connait un grand succès, il devient le précepteur d’un jeune duc. Il voyagera avec ce duc, jusqu’à se retrouver en France, il rencontrera les encyclopédistes, et surtout il rencontre un économiste du nom de Jean Baptiste SAY, il découvre l’économie, il retourne en Ecosse et publier 1776, La richesse des nations. Il devient douanier à la fin de sa vie. I) La vie en société. 1. Première problématique qui se pose : L’intérêt général suppose-il un comportement marqué

rejoignent l'économie et lui servent de matière à réflexion. Les grandes questions auxquelles les théories économiques s'efforcent de répondre [modifier] Qu'est-ce que la richesse ? Comment est-elle répartie ? Pourquoi ? Comment faire évoluer cette répartition ? Comment augmenter les richesses ? Quelle est la valeur des choses ? La valeur du travail ? Comment mesure-t-on la production ? La consommation ? Qui produit ? Comment ? Qu'est-ce qu'une ressource ? Comment assurer la continuité de production

La Révolution industrielle voit se développer une économie politique d'inspiration britannique avec Adam Smith, Thomas Malthus, David Ricardo et Jean-Baptiste Say qui prônent le libéralisme économique même si l'on peut observer entre ces différents auteurs des divergences sur le problème de la valeur des marchandises, celui de la nature de la répartition des revenus et celui des crises et de la croissance.Des réactions apparaissent cependant : elles viennent tout d'abord du socialisme utopique incarné

moins mauvais résultats. Il travail aussi sur la répartition des revenus : il pense que les profits des entreprises ont tendance à baisser parce que les prix des produits et des salaires augmentent et il pense ainsi que le capitalisme peut se gripper, se bloquer. Il se pose également la question de l’impôt : il pense qu’il ne faut pas que l’imposition soit trop lourde car si l’imposition est trop forte on investira moins. 4- Jean-Baptiste Say (1767-1832) Français, lyonnais, à travaillé dans l’assurance

accumuler plus de richesses. On a toujours intérêt à se spécialiser et échanger pour créer plus de richesse. Mais comment faire pour répartir les richesses supplémentaires ? Trois grandes lois importantes. * La loi des « débouchés » de Jean-Baptiste SAY Entrepreneur. Découvre les travaux de Smith. Participe à un certain nb de publication en particulier sur la liberté de la presse au moment de la Révolution. C’est l’idée que l’offre crée sa propre demande. Cela signifie que lorsque l’on augmente