Jean Baptiste Say Et La Répartition

la population Croissance démographique : misère économique (différentiel entre croissance démographique et celle économique) * David Ricardo (1772-1823) Théorie de la valeur Théorie de la répartition Théorie du commerce international Les Néoclassiques (19ème siècle) * Jean Baptiste Say (1767-1832) La loi de débouchés : les produits s’échangent contre les produits L’offre crée sa propre demande et la surproduction est impossible (production revue demande) * Léon Walras (1767-1832)

habileté dans ce domaine, un ouvrier ne pourrait faire qu’un seule épingle seul en une journée, alors que la division du travail permet une production journalière supérieure. -David Ricardo (1722-1823) économiste britannique : « La dynamique de la répartition» : Cela repose sur la représentation qu’il a sur la société anglaise de l’époque. Il existe selon lui trois types d’agents économiques : -Les ouvriers qui offrent leur force de travail en échange d’un salaire. Ce salaire doit être fixé au salaire

14/09/2013 Chapitre 1 - Histoire de la pensée économique Le courant fondateur des classiques La branche anglaise, pessimiste, avec notamment Smith (A) Malthus ( B) et Ricardo ( C). La branche française, optimiste, avec Say (D). Le courant marxiste ( E ) 1 14/09/2013 A. ADAM SMITH (1723-1790) La richesse d’une nation repose sur le travail Création de richesse grâce au facteur travail Valeur des biens = quantité de travail Le profit rémunère l’accumulation de capitaux détenus

même temps, le peuple et le souverain » Jean Batiste Say présente la même conception dans son « Traité d'économie politique » soit « connaissance des lois qui président à la formation, à la distribution et à la consommation des richesses. » Dès le début du XIXe siècle on s'interrogait de quelle richesse il s'agissait. On ne prend en compte que les richesses matérielles, les services sont exclus. Dans son cours complet d'économie politique, Jean Baptiste corrige cette conception restrictive :

avec le courant précédent attaché au libéralisme économique. Son fondateur : Smith avec le désormais célèbre La richesse des nations (recherche sur la nature et la cause de la richesse des nations) de 1776, il se poursuit par les idées de Ricardo, Say ou encore Malthus considéré comme le dernier vrai classique. Cependant, on attribue à Marx un penchant « classique » qui en font pour certains le dernier de la lignée, bien que de nombreuses divergences l’éloignent de ce courant. On parlera par la suite

Les problèmes économiques fondamentaux * Le problème de l’allocation des ressources (cad déterminer l’emploi de celles-ci en fonction de plusieurs productions possibles) * La répartition des ressources (cad déterminer les agents éco qui recevront les fruits de la croissance et comment se fait la répartition) L’objet des sciences économiques est de tenter de diminuer l’écart qui peut exister entre nos besoins illimités et les biens économiques qui sont le résultat du travail de l’homme et

MACROÉCONOMIE 1 – Le point de vue des classiques: la loi de l'offre de J.B.Say a) – L'offre crée sa propre demande 1. Les « économistes classiques » libéraux (Adam Smith, David Ricardo, Jean-Baptiste Say…) partent de la production (l’offre) pour analyser le circuit macroéconomique. En 1803, Jean-Baptiste Say élabore sa « Théorie de l'offre » selon laquelle « l'offre crée sa propre demande » ou encore « les produits s'échangent contre des produits ». Autrement dit, la production engendre un montant

1992. Jean-Baptiste Say (1767-1832) Sa pensée Vulgarisateur d’Adam Smith sur le continent, Jean-Baptiste Say fut incontestablement un grand pédagogue. Mais son apport théorique personnel se limite à la loi des débouchés que les Américains dénomment loi de Say : globalement, toute offre engendre sa propre demande, si bien qu’il n’est pas envisageable que des désajustements autres que sectoriels (pas assez de ceci, trop de cela) se produisent au sein du système économique. En particulier, Say écarte

Pourquoi fais t-on de l’histoire économique ? -Parce que c’est une discipline jeune. >2nd moitié du XVIIIe siècle. Jean Baptiste Say : Quand une science est ancienne on ne s’occupe pas de son histoire (par exemple la physique qui remonte aux grecs..) Cet économiste avait réalisé un cours complet d’économie politique pratique. Il avait pour idée de donner une économie disponible aux praticiens. « l’histoire d’une science est une narration d’évènement elle ne peut être que l’exposé des

Grande-Bretagne (1760-1830) p. 4 • Les classiques • Adam Smith (1723-1790) p. 5 • David Ricardo (1772-1823) p. 6 • Thomas Robert Malthus (1766-1834) p. 8 • Karl Marx (1818-1883) p. 8 • Les marginalistes ou néoclassiques • Jean-Baptiste Say (1767-1832), précurseur des néoclassiques p. 11 • Les néoclassiques p. 11 • La situation du Royaume-Uni après 1918 p. 19 • La crise de 1929 p. 20 • John Maynard Keynes (1883-1946) p. 21 • Le New Deal p. 23 • Les crises pétrolières