Jean de Broglie

désaccord à propos du trône - ils n'arrivent toujours pas à se mettre d'accord pour la personne qui va être sur le trône. Ils ont trouvé leur leader - l'ambassadeur en Angleterre du duc de Broglie, un chef il revient en France. Le duc de Broglie pense pouvoir combattre les républicains. Thiers s’étend avec Broglie. 3) L'attitude de Thiers. Thiers est réaliste. Il n'y a pas une monarchie qu'on peut lui proposer, les républicains impressionnent avec leurs succès. Dans un message du 13 novembre

untitledJ E A N E L G A M M A L L E S C O U R A N T S M O N A R C H I S T E S S O U S L A I I I e R É P U B L I Q U E DES MONARCHISTES ENTRE 1870 ET 1940, il a souvent été ques- tion, au travers d’épisodes parfois spectaculaires, d’engage- ments ou d’entreprises plus ou moins discrets, de filiations ou de tradi- tions politiques, ou encore de tentatives de renouveau ou de synthèse1. Le recul électoral de forces qui avaient obtenu une écrasante majorité en sièges lors du scrutin de février 1871

plaît. » Dans ce deuxième extrait Voltaire défend la liberté religieuse. « Traité sur la Tolérance » (1763) de Voltaire : Le Traité sur la tolérance est une œuvre de Voltaire publiée en 1763. Ce texte a été écrit après l’injustice subie par Jean Calas, protestant faussement accusé et exécuté pour le meurtre de son fils, qui s'est converti au catholicisme, afin de le réhabiliter. Dans ce Traité sur la Tolérance, Voltaire invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme

en soirée à son domicile, rue de la Mésange (entre la place de l'Homme-de-Fer et la place Broglie), Rouget de Lisle compose un Hymne de guerre dédié au maréchal Bavarois de Luckner qui commande l'armée du Rhin3. Cette scène est immortalisée, notamment dans le tableau d'Isidore Pils, présenté au musée des Beaux-Arts de Strasbourg. Le chant retentit ensuite publiquement pour la première fois sur la place Broglie, devant l'hôtel de ville de Strasbourg. L'historien strasbourgeois Claude Betzinger conteste

enthousiaste, et de nombreux Français s'embarquent pour les Amériques, aider les insurgés (Jacques Barbeu-Dubourg), motivés par l'occasion ou animés par les idéaux sincères de liberté et de modernité, tels Charles Tronson du Coudray, Pierre Charles L'Enfant, Jean Gaspard de Vence, Fanneau de Lahorie et La Fayette, engagés dès 1776. Si La Fayette donna une impulsion toute nouvelle à l'émigration des jeunes nobles français en Amérique, il faut aussi citer parmi ceux qui l'avaient précédé des officiers qui ne

Peuple de Jules Vallès. Toutes ces mesures font monter la tension à Paris au sein du petit peuple composé de "ce qui a produit la sans-culotterie en 1792-1794: ébénistes, tanneurs, coordonniers, tailleurs, maçons, charpentiers..."[10]. Comme l'écrit Jean-Jacques Chevalier, "la Commune était l'expression, chez ses meneurs, d'un républicanisme ultra rouge, antireligieux, jacobin, prolétarien, fouetté par la haine pour cette assemblée monarchiste"[11]. Certains historiens voient d'autres facteurs dans

du conseil qui est chargé d'assurer la présidence de la république en cas d'absence ou empêchement du président. Cette loi Rivet ne va pas suffire à réduire signifiquativement l'autorité de Thiers, donc il va y avoir la loi De Broglie, le 13 mars 1873. B) La loi De Broglie Cette loi rend les choses encore plus compliquer pour Thiers car réduit encore son pouvoir et il prévoit que désormais lorsque le président souhaite être entendu par l'assemblée il doit les informés par un message. A ce moment

(1914), Georges Clemenceau (1918), le maréchal Foch (1918), Paul Valéry (1925), François Mauriac (1933), Georges Duhamel (1925), Jacques de Lacretelle (1936), André Maurois (1938), Louis de Broglie (1944), Paul Claudel (1946), Marcel Pagnol (1946), Jules Romain (1946), Étienne Gilson (1946), Maurice Genevoix (1946), Jean Cocteau (1955), etc. L’Académie a su d’autre part développer au cours des siècles une mission de mécénat, rendue possible par l’administration des dons et legs qui lui ont été consentis

Évaluation : L’évaluation se fait par le biais d’un questionnaire à réponse unique comportant quarante questions portant sur le cours et sur les ouvrages de Michel Winock, La fièvre hexagonale, Les grandes crises politiques 1871-1968, Seuil, 1999, et de Jean-Jacques Chevallier, Guy Carcassonne, Olivier Duhamel, Histoire de la Ve république 1958-2009, Dalloz, 2009. Conseils : Faire des fiches chronologiques, des fiches biographiques, fiches par partis politiques et mouvements, fiches par crises/temps

plus tard la question du régime, et qualifiant la République de « régime qui nous divise le moins », Thiers déclare fin 1872 à l’Assemblée : « La République existe, elle est le gouvernement légal du pays. » Les droites s’unissent autour d’Albert de Broglie contre Thiers et le 24 mai 1873 une interpellation est adoptée par 360 voix contre 344. Thiers démissionne. La majorité royaliste le remplace par le Maréchal de Mac-Mahon, désigné par 390 voix sur 721 présents, compte tenu de l’abstention de toute