Jean De Sponde 9 Sur La Mort

donc il parle de lui, il fait son portrait : "un squelette je semble", "je n'ose voir mes bras". Ensuite le narrateur fait allusion à Apollon et à son fils, il évoque ensuite le Soleil et enfin il parle d'un "amy", il parle de ses compagnons et de la Mort. Il passe donc de lui aux autres. La scène doit être reconstruite avec les lieux, les rites mortuaires de la dernière visite. Cette poésie est un sonnet et donc il est constitué de deux quatrains et de deux tercets. Ici la mise en scène est divisée

mouvement, la surcharge décorative, les effets dramatiques, la tension, l’exubérance et la grandeur parfois pompeuse. Utilisation de métaphores. Jean de Sponde (1557 Pays basques- 1595 Bordeaux) est un poète baroque du XVIème siècle. Il fut éduqué dans un milieu protestant. Etant un brillant élève, il reçoit une bourse de la mère d’Henri IV (Jeanne d’Albret). Suite à cette bourse : il étudie le grec et la théologie. La lecture de psaumes le marquera et le ferra rédiger ses œuvres majeurs tel que :

SPONDE Tout s’enfle contre moi, tout m’assaut…  Tout s’enfle contre moy, tout m’assaut, tout me tente, Et le Monde et la Chair, et l’Ange révolté, Dont l’onde, dont l’effort, dont le charme inventé Et m’abysme, Seigneur, et m’esbranle, et m’enchante. Quelle nef, quel appuy, quelle oreille dormante, Sans péril, sans tomber, et sans estre enchanté, Me donras-tu ? Ton Temple où vit ta Saincteté, Ton

Jean de Sponde, Sonnet sur la mort, XII • 12 sonnets : 2 séries -Platonicienne (« oubli d’un mort », « souvenir d’une éternelle vie », sonnet VI) -Dualité chrétienne et calviniste (dichotomie chair & esprit : énonciation de prédicateur (IV, VI), personnalité du pêcheur troublé (IX), combat perso contre les tentations mondaines et charnelles offertes par « l’ange révolté » s’ajoute à la mise en accusation) • Sonnet XII= conclusion qui résume les 11 précédents -Victoire à venir dans la force

cinquantaine d'années, il cherche à séduire Hélène de Surgères, dame d'honneur de Catherine de Médicis. Mais la jeune femme semble rester indifférente à ses avances. Charmé, il tente de séduire la jeune femme en lui rappelant que le temps passe vite… 1 5 9 14 Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant : « Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle. » Lors, vous n’aurez servante oyant1 telle nouvelle

apparences. L’esprit omet peu à peu qu’ils ne sont que des « spectres » représentant les aventures de Clindor et de ses compagnons, suivies assidûment par Adraste et Pridamant, dont le dernier croyant son fils mort, citera cette stance devenue en quelque sorte la maxime du baroque : « J’ai pris sa mort pour vraie et ce n’était que feinte ». Parmi eux, le personnage de Matamore qui vit dans un monde fait d’illusion et de rêves du paraître ainsi que de bravoure. Il se pense en effet un parfait don juan et

été constituée par l’Histoire littéraire du sentiment religieux en France (1915) de l’abbé Henri Bremond, dont le premier volume, consacré aux humanistes dévots, fait ressortir de l’oubli presque tous les poètes religieux de la future Anthologie de Jean Rousset : Brebeuf, La Ceppède, Le Moyne, Martial de Brives, Claude Hopil et bien d’autres. Célèbre pour sa défense de la « poésie pure », Bremond les lit pourtant avec une compréhension large. Au delà du « sentiment religieux », son essai met en lumière

Lecture analytique: L’œuvre étudiée est Sonnet V des Sonnets d'amour de Jean de Sponde (publication posthume, vers 1598). Ce poème est une œuvre de type Baroque qui montre la souffrance que peut causer l'amour quand la personne aimée est absente. En quoi ce poème est il lyrique ? Comment le poète exprime-t-il sa souffrance ? Tout d'abord, le poète veux exprimer sa souffrance due à l'absence de la femme aimée par de nombreuses marques de la première personne. Le « moi » du poète est alors

1,Humanisme - XVIe siècle2. La Pléiade - XVIe siècle3. Baroque - XVIe et XVIIe siècles4. Classicisme - XVIIe siècle5. Les Lumières - XVIIIe siècle6. Romantisme - XIXe siècle7. Réalisme - XIXe siècle8. Naturalisme - (1870-1890)9. Le Parnasse - (1855-1865)10. Symbolisme - (1870-1890)11. Surréalisme - XXe siècle12. Le nouveau roman - XXe siècle13. Le théâtre de l'absurde - XXe siècle - (1950-1980) 1. Humanisme - XVIe siècleL’humanisme est une attitude philosophique qui met l’Homme et

retour aux textes anciens (grecs, latins et hébreux), désir de connaissance, épicurisme indiscutable, renouvellement des formes et des thèmes en se distinguant de la littérature médiévale. La poésie compte comme auteur important Clément Marot, Jean de Sponde, Agrippa d'Aubigné, et les poètes de la Pléiade parmi lesquels figurent Ronsard et Du Bellay. Les romans les plus marquants sont ceux de Rabelais et de Marguerite de Navarre. Les Essais de Montaigne sont un important ouvrage situé entre la philosophie