Jean Donneau de Visé

– though no text was sacrosanct, a finished creation, but an exploitable resource. Any work could be continued, augmented and even buried beneath the weight of new accretions. Le Roman de la Rose was begun by Guillaume Lorris, but became the work of Jean de Meun, who expanded it beyond recognition. By projecting the vision of the rose garden as his own dream, Lorris set an early example of how a narrator might be identified with an author. In the same way, the first person dits which emerged in the late

quelques textes du manuel où se manifeste la lumineuse présence du divin, notamment les romans ayant trait à la légende du Graal, reproduits dans la section « Variations ». 2. Les trois portraits de Jean le Bon, Charles VII et François Ier Daté de la deuxième moitié du XIVe siècle, le portrait de Jean le Bon constitue le premier portrait connu au Nord des Alpes qui soit autonome et affranchi de tout contexte religieux ou cérémoniel. L’homme n’est plus ici, comme par le passé, une figure abstraite

2002. Macqueron (A.), Histoire des obligations, le droit romain, Publications du centre d’histoire institutionnelle et économique de l’antiquité classique, série Mémoires et travaux, n°1,. Aix-en Provence, 1975. Ourliac (Paul) et de Malafosse (Jean), Histoire du droit privé, les Obligations en droit romain et en droit français, Thémis, tome 1, 1957. Robaye René, Le droit romain, tome 2, Collection Pedasup, Bruylant Academia, 1995. Vigneron Roger, Droit romain, Syllabus, Université de Liège

qu’il trouve contraire à la bienséance dans un roman. Cet avis est largement partagé par les Anciens et on accuse l’auteur d’avoir voulu ne pas ressembler aux autres romans avant tout. On relève aussi la cruauté de l’aveu pour le mari. (Donneau de Visé) D’autres font l’éloge du procédé, les modernes que sont Perrault et Fontenelle, qui y voit lui « un trait admirable et très bien préparé ». Au XVIIIe siècle on partage encore l’avis des Anciens, mais surtout au nom de l’authenticité. On ne

- " le Grand coutumier de France " rédigé à la fin du 14 ème s par Jacques dAbleiges. Jacques d'Ableiges était baillis de la ville d'Evreux, donc le grand coutumier de France contenait les coutumes de l'ile de France - "La somme rural" écrit par Jean Boutier qui était baillis. La caractéristique de cette somme c'est que c'est la première tentative de synthèse du droit coutumier du nord de la france, le droit romain, et le droit canonique (volonté de dépasser la simple retranscription des coutumes)