Jean Jacques Rousseau Du Contrat Social Chapitre

qui vont juger bon de remettre en cause la légitimation du pouvoir par Dieu. L'un des premiers fut Hobbes (1588-1679) Un nouveau problème apparaît : la nature humaine est-elle bonne ou mauvaise ? « L’homme est un loup pour l'homme ». Premier contrat social : nous cédons tous spontanément notre part de souveraineté à un gouvernant qui possède tout le pouvoir. John Locke (1632-1704) va parfaire le processus de la remise en cause de la légitimation divine du pouvoir. John Locke pose le principe de

roi car la nation est attachée au roi et à la monarchie. Mais en 1792 le roi sera guillotiné. A) Les fondements de l’Etat monarchique. Le mot absolu vient d’absolutisme. En 1576, dans son ouvrage  les six livres de la République , Jean Bodin définit la souveraineté à travers certains caractères : - Inaliénable. - Imprescriptible. - Indivisible. - Absolue. La souveraineté est dans l’Etat. En démocratie elle appartient au peuple, en aristocratie elle est dans les

Les organisations syndicales ont des listes pour élire des délégués prud’homales pour trancher tous les litiges individuels liés au contrat de travail. Ils participent aux négociations des conventions collectives. conventions collectives : texte qui encadrent les conditions de travail dans une branche (1919). Elles se situent entre la loi et le contrat. On a des accords de branche lors de ces conventions collectives. Les syndicats font remonter des réclamations par le biais : – de rapport

Conseil constitutionnel Logo du Conseil constitutionnel Création 4 octobre 1958 Type Conseil constitutionnel de la République française Siège Drapeau de la France Palais-Royal, Paris Langue(s) Français Membre(s) 9+2 personnalités Président Jean-Louis Debré Personne(s) clé(s) Léon Noël, premier président du Conseil constitutionnel Site Web www.conseil-constitutionnel.fr Droit constitutionnel en France Histoire constitutionnelle * … de 1791 · texte · Monarchie constitutionnelle

sera établie une nouvelle Constitution. Elle se réunit pour cela après avoir pris les décrets des 4 et 11 août 1789 sur la suppression des droits féodaux, qu’elle reprendra dans l’article premier. La discussion débute le 9 juillet avec le rapport de Jean-Joseph Mounier présentant un ordre de travail pour la rédaction d'une Constitution débutant par une déclaration des droits[A 2]. Le 4 août 1789, la Constituante décrète que la constitution sera précédée d'une déclaration des droits. La Déclaration

è1- est approximative : « ………………. » ; è2- nous ramène au temps de l’histoire/ de la jeunesse ; è3- est probablement antérieure au triple événement qui a servi d’argument, d’élément modificateur/ déclencheur à l’intrigue dans les 3ers chapitres : 2- Ironie et réalisme de Sylvie, roman d’apprentissage Le caractère rétrospectif du récit est sensible dans l’ironie, qui mine le récit et le remet en perspective, grâce à un recul critique qui instaure une discordance

:Le droit couvre tous les domaines de la société. Le droit, c’est la norme applicable (droit positif = sources formelles du droit). Ce droit nait toujours dans un contexte précis, il est donc toujours le fruit des objectifs (politique, économiques, sociaux…) du moment. Il faut l’analyser dans son contexte. Ce n’est pas seulement une norme applicable, il peut être un idéal, une projection d’une société idéale, une éthique… mais ce qui compte ici, c’est l’humain à travers le droit. La crise de la société

pouvoir ? Problématique de la construction sociale du politique………………………………………………………………………. III- Comment un fait social devient-il politique ?........................................................... IV- Construire et prendre en charge les problèmes publics……………………………………. V- Que signifie « faire de la science politique » ?............................................................ Encadré n° 1 : Jean Leca « Le politique comme fondation »…………………………………… Chapitre I : L’Etat : un cadre institutionnel d’expression

L’innovation en formation à l’enseignement, Jean Loiselle, Louise Lafortune et Nadia Rousseau (dir.), ISBN 2-7605-1428-5 • D1428N Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés © 2006 – Presses de l’Université du Québec Édifice Le Delta I, 2875, boul. Laurier, bureau 450, Québec, Québec G1V 2M2 • Tél. : (418) 657-4399 – www.puq.ca Tiré de : L’innovation en formation à l’enseignement, Jean Loiselle, Louise Lafortune et Nadia Rousseau (dir.), ISBN 2-7605-1428-5 • D1428N Tous

la souveraineté nationale est la souveraineté populaire. Chaque individu détient une part de la souveraineté, même si c’est une parcelle infime comme le décrivait Jean-Jacques Rousseau pour qui un suffrage pouvait être réduit en un « cent-millième », dans un Etat de 100 000 habitants. Il ajoutait d’ailleurs (Du contrat social, chapitre I, livre III) : « … d’où il suit que plus l’Etat s’agrandit, plus la liberté diminue ». Pour y remédier, le peuple ne peut avoir des représentants mais des mandataires