Jeremy Rifkin

pour le travail mais aussi pour le capital. C’est d’autant plus vrai quand il s’agit d’activités nouvelles, qui présentent les risques d’une demande incertaine et parfois de financements initiaux considérables. Ces évolutions induisent, selon Jeremy Rifkin, moins de revenus, moins de consommation, une perte d’employabilité pour les travailleurs, réduisant donc la capacité de l’économie à croître et ceci d’autant plus que le monde a changé par rapport à celui décrit par Sauvy. B2- …, effets qui seraient

dans un district de Shanghai, Les Villes intelligentes brossent, avec humour, le portrait de ces villes régulées par des algorithmes, tels des mécaniques précises à la recherche de leur fonctionnement optimal. Des économistes renommés, tels que Jeremy Rifkin, auteur de La Troisième révolution industrielle et des urbanistes contestataires, comme le new-yorkais Adam Greenfield, s’affrontent pour imaginer cette nouvelle urbanité. Que nous promet cette gestion informatique de notre vie collective ? Car

fruit de progrès techno-économiques antérieurs. Il y a peu de temps encore, la problématique du temps de travail s’inscrivait dans le cadre d’une réflexion globale sur le progrès technique et ses incidences sur la raréfaction de l’emploi (cf. Jeremy Rifkin, La fin du travail, 1997). La question était de savoir si, compte tenu de l’ampleur des mutations technologiques en cours, une réduction du temps de travail, à 35, voire 32 heures, ou moins, serait suffisante pour rétablir durablement une cohérence

entendons de ceux qui sont supposés injecter du fondamental dans l'analyse de la question sociale, dans la compréhension de l’évolution des structures sociales tout en autorisant le chiffre d’affaires, les grands tirages. La fin du travail de Jeremy Rifkin, ou encore Le travail, une valeur en voie de disparition de Dominique Méda, entrent dans cette catégorie, bien plus, par exemple et en opposition, que l’excellent Travail et philosophie, convocations mutuelles, écrit par Yves Schwartz, ou encore

abolir le travail dans une société qui le glorifie. 2. Explication 2.1. Première partie Le futur proche permet, permet vraiment, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, d’imaginer une « fin du travail » (selon l'expression de Jeremy Rifkin) de manière réaliste. L’automatisation de la production rend vraisemblable la possibilité d’une société dans laquelle la totalité de la production des biens manufacturés sera assurée par des machines. Plus de travail pour produire les vêtements

et sanitaires négatifs des énergies carbonées, à la dangerosité et au coût du nucléaire et à la difficulté de traiter ses déchets ou à son manque d'acceptabilité après les grands accidents de Tchernobyl et Fukushima. Des prospectivistes, tel Jeremy Rifkin, annoncent pour le début du XXIe siècle une possible « troisième révolution industrielle » issue de la convergence du secteur de l'énergie et de celui de l'informatique. Si l'on développe des systèmes de stockage des énergies irrégulières (via

Sociale apparaîtra très vite marginalisée, cantonnée dans le secteur non-marchand, celui que les américains appellent le Tiers Secteur qui repose largement sur des ressources publiques et le recours massif au bénévolat. C'est ainsi que l'a décrit Jeremy RIFKIN dans son livre « La fin du travail ». Or, dans le débat sur les moyens de faire face à « la fin du travail », l'idée de développer un tiers secteur intermédiaire, lieu d'hybridation de ressources publiques et privées, de mélange d'activités salariées

prône un nouveau partage du travail et des revenus, dans une société où le travail reste une valeur solide, mais non dominante. À cet égard, il est intéressant de considérer les positions de quelques auteurs reconnus sur la question. Pour Jeremy Rifkin (La fin du travail) et Dominique Méda (Le travail, une valeur en voie de disparition), l’évolution économique et technique condamne le travail à sa disparition progressive, par une réduction progressive de sa durée et par une réduction globale

Fabian Gyula, Drept instituţional comunitar, Edit. Sfera Juridică, Cluj-Napoca, 2006 40. Tudorel Ştefan, Introducere în dreptul comunitar, Edit. CH Beck, 2006 41. G.Gornig.I.E.Rusu, Dreptul Uniunii Europene, Edit. C.H.Beck, Bucureşti, 2006 42. Jeremy Rifkin, Visul European. Despre cum, pe tăcute, Europa va pune în umbră „visul american”, Edit.Polirom, Iaşi, 2007 43. Raluca Bercea, Drept comunitar. Principii. Edit. C.H.Beck, Bucureşti, 2007 44. Steven O. McGiffen, Uniunea Europeană, Ghid critic

et sanitaires négatifs des énergies carbonées, à la dangerosité et au coût du nucléaire et à la difficulté de traiter ses déchets ou à son manque d'acceptabilité après les grands accidents de Tchernobyl et Fukushima. Des prospectivistes, tel Jeremy Rifkin, annoncent pour le début du XXIe siècle une possible « troisième révolution industrielle » issue de la convergence du secteur de l'énergie et de celui de l'informatique. Si l'on développe des systèmes de stockage des énergies irrégulières (via