Jeu Amour Hasard Social

l’amour est une pièce écrite par Mariaux en 1727. L’auteur, connu pour ses comédies parlant d’amour comme  Les jeux de l’amour et du hasard ou encore Les fausses confidences défend sous couvert d’un théâtre fluet, des causes engagées comme la lutte des classes et l’égalité sociale. La pièce parle du déni de l’amour. En effet, deux personnages, une veuve et un amoureux « congédié », habitent l’un en face de l’autre. Ils

marqué par l'esthétique sobre propre au grand siècle classique (en dépit de l'enchevêtrement des intrigues secondaires), se passe au 16ème siècle à la cour d'Henry II. Mme de Lafayette y raconte l'amour de la Princesse de Clèves et du Duc de Nemours, amour impossible de par son caractère adultère et que s'interdit l'héroïne éponyme par conscience morale, même après la mort de son mari. Situation du passage: Notre passage constitue la célèbre scène de première rencontre des deux personnages principaux

fonctions sont souvent intimement mêlées. L’émotion pure existe rarement au théâtre : cependant un théâtre essentiellement gestuel comme la commedia dell’arte (très en vogue dans les mises en scène contemporaines) peut susciter le rire par le simple jeu de la farce. Par sa forme, et son esthétique, le théâtre est un art immédiat où le récepteur, directement en contact avec l’œuvre incarnée, ne peut qu’éprouver des émotions : - le décor, les costumes, la lumière jouent un rôle prépondérant

dont il tombe aussitôt passionnément amoureux. Cet extrait constitue donc une scène attendue du roman, celle de la rencontre amoureuse. Dans cette scène inaugurale, le lecteur peut déjà imaginer la destinée de ceux qui ne sont pas encore amants. Le hasard d’un évènement met en présence Des Grieux et Manon qui débarque du coche d’Arras. Ce récit du premier souvenir est placé tout entier sous l’éclairage des suites fatales de l’aventure. Questionnement : Nous verrons comment ce texte renouvelle le

milieu qu'il décrit avec précision. Dans la Curée, Zola, Renée et Maxime ont une liaison quasi incestueuse, le jeune homme est le fils de Saccard, mari de Renée. Cette liaison s'inscrit dans la peinture de la décadence de l'Empire par Zola. Leur amour s'explique par la dépravation morale d'un Paris dégénéré. 2. Par les personnages Les personnages sont caractérisés d'abord par leur portrait Le romancier peut donc par un personnage, incarner un point de vue sur la société. Madame de la Fayette

bourgeois est un genre théâtral né au XVIIIe siècle sur un concept élaboré par Diderot et Beaumarchais. Le drame bourgeois est l’intermédiaire entre la comédie et la tragédie, il met en scène des personnages de la bourgeoisie, dont les contraintes sociales engendrent leurs malheurs. Il veut surpasser la tragédie qui commence à être délaisser au XVIIIème, mais également ne pas susciter le rire qui est l’ingrédient principal de la comédie et notamment de la farce. Son but final est d’émouvoir le spectateur

amoureux veut être accepté et remarqué, il se doit de respecter les usages tout en s’essayant à l’originalité.
Est-il donc possible d’innover en poésie lorsque l’on doit exprimer un sentiment amoureux ?
Nous examinerons d’abord si les conventions sociales et l’effet des modes ont pu contrarier l’expression originale des déclarations passionnées, pour nous intéresser ensuite aux procédés utilisés pour atténuer ces contraintes et finalement nous attacher à la puissance du langage lyrique. Les conventions

Paris, après la rupture de la liaison destructrice avec Georges Sand. Tout le texte vibre des échos de cette liaison et fait entendre dans les dialogues des protagonistes les paroles mêmes de l’échange épistolaire privé : « On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois ; mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et

dans tous les domaines de la vie au Sénégal. En tout et pour tout, la femme, jeune ou mature soit-elle, est vouée au  silence en dépit de la gravité de ses peines. Ses droits sont taillés à la hauteur de la volonté de l’homme. Il en est de même en amour. On le verra avec le cas des foyers de Ramatoulaye et de celui d’Aïssatou, deux amies de très longue date dont les maris s’étaient engagés en de nouvelles aventures amoureuses contre toute attente de leurs épouses respectives. Ni la coutume ni la religion

pour chasser l’ennuie. Elle va à Paris, puis à Monte Carlo. Pour retourner dans les anciennes habitudes de son mari, elle visite le Casino. [Elle s’amuse à regarder les gens d’une « façon spéciale » (les mains). Les personnes qui jouent des jeux de hasard ont appris à maitriser l’expression de leur visage mais ils oublient leurs mains. Les mains font des mouvements imposés par l’instinct primitif. Regarder des mains est plus passionnant que le théâtre ou la musique … Les mains vous démasquent. (Sauf