Jeune Orpheline Delacroix

a deux partis, Gillette qui est la femme réelle et Catherine Lescault qui est la femme rêvée, irréelle. Catherine n’est pas réelle mais à travers des descriptions, il l’a fait réelle. Elle est un personnage d’un tableau. Nicolas Poussin est un jeune homme qui veut devenir un bon peintre, il aime fort l’art et est incompatible. Porbus est la deuxième peintre réelle, flamand qui a travaillé par la Cour. Frenhofer est imaginaire, un héros. On peut voir la présence d’un oxymore : gloire/malheur

de La Montée des haines, 2004 Les Italiens (photographies de Bruno Barbey) La Martinière, 2002 Amours sorcières nouvelles Seuil, 2003 et « Points », no P1173 Maroc : les montagnes du silence (photographies de Philippe Lafond) Chêne, 2004 Delacroix au Maroc (avec des textes de Pédro de Alarcon, Edmondo de Amicis, Pierre Loti)Ricci, 2005 Partir roman Gallimard, 2006 et « Folio », no 4525 Giacometti, la rue d’un seul suivi de Visite fantôme de l’atelier Gallimard, 2006 Le Discours du chameau

l'ouest, c'est le pavillon Mollien qui va retenir notre attention quelques instants. Sur la droite de la façadc nord, un bas- relief montre une jcune femme à demi-nue, fbulant au pied une épée et jouant de la lyre pour accompagner la danse de sa jeune compagne. Aux pieds de la danseuse) un ouroboros s'appuie sur un livre fermé, symbole universel de la connaissance ésotérique. Sous la protection du serpent qui se mord la queue, maître des cycles et détenteur de la connaissance secrète, Erato et

Saint-Germain). Appartenant à une famille de toute petite noblesse, il était le fils du vicomte Victor-Donatien de Musset-Pathay, chef de bureau au ministère de la guerre, et d’Edmée-Claudette-Christine Guyot-Desherbiers. Il avait un frère aîné, Paul, et une jeune sœur, Charlotte-Amélie-Hermine. Un premier enfant, Louise-Jenny, née en 1802, était morte en 1805, et en 1814, allait naître Oscar, qui allait décéder en 1818. Enfant nerveux, à I'intelligence précoce, Alfred fut aimé et protégé par ses parents. Sa

«détails sur les fromageries» de la région, afin de lui suggérer d’y chercher un emploi. On apprend quel fut son passé. Né en 1769 dans une famille de pauvres paysans de Faverolles, dans la Brie, il n’avait pas, dans son enfance, appris à lire. Devenu orphelin, il avait soutenu de son travail sa sœur, qui était restée veuve avec ses sept enfants. Suivant la saison, il se louait comme moissonneur, manœuvre, bouvier, homme de peine, émondeur. Vint, en 1795, un hiver plus rude que les autres où il n’eut plus

Saint-Germain). Appartenant à une famille de toute petite noblesse, il était le fils du vicomte Victor-Donatien de Musset-Pathay, chef de bureau au ministère de la guerre, et d’Edmée-Claudette-Christine Guyot-Desherbiers. Il avait un frère aîné, Paul, et une jeune sœur, Charlotte-Amélie-Hermine. Un premier enfant, Louise-Jenny, née en 1802, était morte en 1805, et en 1814, allait naître Oscar, qui allait décéder en 1818. Enfant nerveux, à I'intelligence précoce, Alfred fut aimé et protégé par ses parents. Sa

affronter et vaincre des obstacles pour s’affirmer. 2) Le besoin d’exister (II) La suite de la naissance est le besoin d’être identifié par la mère (désir de reconnaissance). Mais Zucco se heurte à un refus (Doc p 3) de celle-ci (il devient dès lors orphelin de père et de mère). Zucco rejeté par la mère marque son refus de cette indifférence par le meurtre (comme Œdipe, il acquiert son identité d’adulte en tuant sa mère, après avoir tué son père : Cf p 27 : il est normal de tuer ses parents). III. Le

affronter et vaincre des obstacles pour s’affirmer. 2) Le besoin d’exister (II) La suite de la naissance est le besoin d’être identifié par la mère (désir de reconnaissance). Mais Zucco se heurte à un refus (Doc p 3) de celle-ci (il devient dès lors orphelin de père et de mère). Zucco rejeté par la mère marque son refus de cette indifférence par le meurtre (comme Œdipe, il acquiert son identité d’adulte en tuant sa mère, après avoir tué son père : Cf p 27 : il est normal de tuer ses parents). III. Le

(Il crie.) Tais-toi pauvre crétin, si tu crois que je peux être partout ! C'est insensé ! (Il s'habille.) Arrive Athéna, robe rouge déchirée, bardée de cartouchières ; elle plie son drapeau ; elle a l’aspect de « la Liberté guidant le Peuple » de Delacroix. ZEUS. Ah ! Athéna ma fille ! Tu tombes bien ! Ils recommencent ! ATHÉNA. Qui, père ? ZEUS. Comment, qui ? Mais toujours les mêmes... les hommes, les hommes !... Tu ne crois pas que ce sont les tortues de mer qui me mettent dans cet état-là !

n'y paraît. Si « le « Moi je » n'est pas poli », Claude Roy, il est « parfois utile pour apprendre enfin à dire nous. ~ Ce que cet « essai d'autobiographie ~ veut surtout montrer c'est le passage du « je ~ au « nous ~, ou encore, la façon dont un jeune homme qui se prend pour le centre du monde finit par insérer sa « petite histoire personnelle :. dans « la grande liistoire des hommes ~. Nous sommes conviés à accompagner le récitant dans la première étape de son voyage. av~rtit L'omoier et la postière