Jeune Orpheline Delacroix

chante « un vieil  air ». Les Étrennes des orphelins dévoile l’injustice arbitraire que peut avoir la vie. Deux jeunes enfants perdent leur mère un jour de Fête qu’est Noel, un acharnement du destin. Les Effarés (1870) : « A genoux, cinq petits, - misère! » Arthur intervient notamment grâce au tiret qui montre son indignation. Les Etrennes des Orphelins : « Ils murmurent: "Quand donc reviendra notre mère ?" » E. Poèmes Anti-bourgeoisie. Le jeune Rimbaud se moque des fonctionnaires et autre gens

utilisé pour désigner l’évolution de la religion comme le christianisme puis dans les années 80, il y a eu une évolution de la terminologie. Orientaliste : occidental spécialiste de l’Orient (objet d’étude ou objet d’inspiration si l’on se réfère à Delacroix). Translittération : comment transcrire des noms arabes, berbères, turques : problème pour les éditeurs, les écrivains : il y a plusieurs transcriptions mais il existe une convention : exemple : la Mecque et la Mekke ; certains orientalistes ont

Alfred de Musset (1810-1857) Alfred de Musset est un auteur très brillant qui a écrit l’essentiel de son oeuvre très jeune : débuts éblouissants, vie courte et mouvementée qui se retrouve dans ses écrits, dernières années assez stériles. Son œuvre révèle une profonde originalité par rapport aux écrivains de son époque : certes il sait très bien dénoncer le mal du siècle, mais sa culture classique, voire aristocratique, réapparaît sans cesse. Sa vie La vie d’Alfred de Musset Il est né

définitivement la Pologne. Il s'installe à Paris en 1831 et y passe près de la moitié de sa vie. Cette ville est, à cette époque, l'une des plus importantes capitales culturelles. Le musicien y noue ses amours et ses amitiés les plus importantes : Sand, Delacroix, Liszt ou Pleyel. Il y rencontre tout le Paris artistique : Balzac, Berlioz, Thalberg, Kalkbrenner, Erard, Heine ainsi que l'aristocratie[21]. L'univers artistique et culturel dans lequel le compositeur a produit l'essentiel de son œuvre[22] n'est

«  « J’aperçois le Soleil quelle en est la figure ? / Ici-bas ce grand corps n’a que trois pieds de tour ».Dans la scène finale de la pièce de théâtre « Le Fils naturel » de Diderot, nous assistons à une scène de reconnaissance qui délivre Dorval, orphelin ignorant tout de ses origines, de ses doutes et de ses scrupules, l’assurant qu’il n’est pas le frère de Constance, dont il est amoureux, mais le frère de Rosalie. Ils retrouvent leur père.Dans cette pièce, les sens au niveau de la sensibilité et

narrateur (« Elle était là, debout, […] me regardant à travers deux boules de tendresse noire : ses yeux », p. 16). C’est une femme dévouée aux siens. Elle est orpheline et de ce fait n’a pas eu d’enfance : elle a été immédiatement placée dans une famille bourgeoise comme « bonne » (p. 21), elle n’a reçu aucune éducation, et a été mariée très jeune, « à l’âge de treize ans » (p. 21). Elle est alors 5 La Civilisation, ma Mère !…  Arrêt sur lecture 1 devenue la femme d’un homme riche, un « bourgeois

incarne parfaitement le héros romantique car … 20 Exaltation du moi La liberté guidant le peuple, Delacroix,1830 [pic] René, Chateaubriand, 1802 René raconte à Chactas, son père adoptif, et à un missionnaire, le père Souel, " les sentiments secrets de son âme ". Orphelin, ayant pour toute attache le tendre amour de sa sœur, le jeune homme vibre à l’unisson de la nature. L’automne me surprit au milieu de mes incertitudes ; j’entrai avec ravissement dans les

retraite deux ans plus tard et épouse le 9 septembre 1819 une jeune femme, qu’il a connue enfant, prénommée Caroline Dufaÿs, orpheline de père et de mère. De cette union naît le 9 avril 1821 le petit Charles, baptisé le 7 juin 1821 en l’église de Saint-Sulpice. Ses parrain et marraine sont Pierre Pérignon, tuteur de Joseph-François, et son épouse. En février 1827, alors que Baudelaire n’a que 6 ans, Joseph-François meurt. Le jeune Baudelaire pleure ce père chéri et son souvenir va le

comme son miroir. Nos jours ont séparé leur trame, Mais tu me rappelles ses yeux ; J'y regardais flotter mon âme : C'était mon petit amoureux ! De blonds cheveux en auréole, Un regard tout voilé d'azur, Une brève et tendre parole, Voilà son portrait jeune et pur : Au seuil de ma pauvre chaumière Quand il se sauvait de ses jeux, Que ma petite âme était fière ; C'était mon petit amoureux ! Cette ombre qui joue à ma rive Et se rapproche au moindre bruit, Me suit, comme un filet d'eau vive, A travers mon

Le poète transforme indifféremment la défaite en victoire, la victoire en défaite, empereur prénatal seulement soucieux du recueil de l'azur. (III Partage formel) Cette peinture de Delacroix illustre le poème car il transforme la victoire en défaite, en effet, la victoire est représentée par Marianne et la défaite par les nombreuses victimes , c’est-à-dire les corps. Strophes pour