Joachim Gauck

qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Joachim du Bellay, Les Regrets 746626355820(1558)16490583445552Van Gogh, Le champ de blé avec cyprès vert Van Gogh, Le champ de blé avec cyprès vert II. J’ai longtemps voyagé, courant toujours fortune J'ai longtemps voyagé, courant toujours fortune

XVI (16) : Humanisme / Pléiade : Humanisme : Doctrine qui a pour objet le développement des qualités de l’homme par les livres et par le sport. Les Humanistes croient au progrès de l’homme. Ex : Montaigne, Les essais Pléiade : Groupe de 7 poètes français.(Baïf, Ronsard, Du Bellay, Peletier, Belleau, Jodelle, Pontus de Tyard) Ex : Ronsard, Les amours XVII (17) : Le Baroque / Le Classicisme : Baroque : Il s’applique d’abord aux arts plastiques à la fin du XVIème siècle, pour traduire un jugement

Le poète fait référence au memento mori: l'évocation de l'éphémère de la vie. Il décrit aussi sa condition physique lamentable, expliquée par sa mort proche. De plus, j'ai aussi sélectionné "Le chant du désespéré" publié en 1558 dans le recueil de Joachim du Bellay Les Regrets. Dans cet extrait, le poète décrit l'absence de bonheur dans sa vie. Il énumère les malheurs qu'il subit et exprime clairement son impatience pour succomber. Ces deux poèmes à deux perceptions de la mort contraires évoquent bien

Veltman Louise 1L Vénus au fil des siècles Vénus de Willendorf, statuette en calcaire du paléolithique Sommaire  Page 3 : Joachim Du Bellay « À Venus » Divers jeux rustiques (1558). Page5 : Sully Prudhomme « Naissance de Vénus » Stances et Poèmes (1865). Page 7 : Shocking blue, Robert Van Leeuwen “Venus” At Home (1969). 1 A Vénus, Divers jeux rustiques (1558) Ayant après long désir  Pris de ma douce ennemie  Quelques arrhes du

Commentaire Ode à Cassandre, Pierre de Ronsard Intro : Pierre de Ronsard, célèbre poète français du XVIe siècle et représentant du mouvement littéraire de la Pléiade, tout comme Du Bellay, a écrit « Mignonne, allons voir si la rose » en 1552, c’est une Ode adressée à Cassandre Salviati qu’il a rencontré lorsqu’il n’avait que 20 ans. Il y décrit ses souvenirs amoureux avec la jeune fille qui n’avait que 13 ans et sa jeunesse passée trop vite. Ce poème sera l’un des plus célèbres de Ronsard.

L’Amour, plus souvent malheureux qu’heureux, est à l’origine de nombreux poèmes. Ainsi mon anthologie propose six poèmes de l’Antiquité au XXème siècle. Elle a pour but de montrer un ensemble de poètes qui ont écrit l’amour, présenté sous différentes formes, mais appartenant à des mouvements littéraires différents. Les Géorgiques IV de Virgile est un poème antique racontant la descente aux Enfers pour y chercher sa bien aimée Eurydice. On peut relever plusieurs éléments pouvant mettre en évidence

L’époque de la Renaissance, courant d’humanistes qui projettent l’écriture de sonnets aux tonalités lyriques, aux thèmes de voyage, de regret, de nostalgie, d’appartenance et de mythologie. Joachim Du Bellay (1522-1560) écrivain important du XVI siècle sans oublier un des fondateurs de la Pléiade (1556) et qui donna aussi sa contribution à Défense et illustration de la langue française (1549). Un de ses poèmes intitulé, «Heureux qui comme Ulysse…» paru en 1558 illustre très bien ces thèmes qui se

gouverner la majeure partie de l’Europe continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Louis sur celui de Hollande, Jérômesur celui de Westphalie et son beau-frère Joachim Murat à Naples. Il crée également un duché de Varsovie, sans oser restaurer formellement l'indépendance polonaise, et soumet temporairement à son influence des puissances vaincues telles que leRoyaume de Prusse et l'Empire d'Autriche. Objet, dès son

DISSERTATION : la Pléiade Sujet : « La poétisation est une érotique de la connaissance qui passe par l'amour du langage. La poésie du XVIè siècle est une poésie de l'amour (et pas seulement « une poésie amoureuse ») déterminée par un amour de la poésie, qui se répondent, et se justifient l'un par l'autre. Comment le langage est requis pour mettre en œuvre ce double amour : c'est là toute la question. » Dans quelle mesure votre lecture des poètes de la Pléiade s'accorde-t-elle à ce jugement du critique 

Le poète formule le monde Victor Hugo disait : « un poète est un monde enfermé dans un homme » dans son poème éponyme. Le poète semble ainsi en contact avec des mondes inconnus à l’homme, des mondes oniriques, dans lesquels son imagination se complaît et se perd. Lorsque Christophe Tarkos dans ​ Ecrits poétiques écrit « le poète formule le monde », que faut-il entendre par « formuler »? S’agit-il d’exprimer tout simplement le monde réel avec des mots ? Doit-on considérer ce terme en un sens fort