Johann Sebastian Bach

Dans un assez grand nombre d'œuvres, Bach n'a pas inventé, mais adapté. Certains textes ont été revêtus par lui d'une musique qu'il avait trouvée, auparavant, pour d'autres textes. Il y a ainsi des compositions qu'il a renouvelées, ou même simplement répétées, quand le sujet de la poésie semblait, cependant, très différent du sujet qu'il avait traité d'abord. [...] Or l'examen des œuvres où il ne crée pas, mais où il se redit, témoigne le plus souvent, du discernement avec lequel il a su faire passer

notre exposé nous allons parlé du groupe Quai n°5 mais plus particulièrement de leur façon de travailler et de faire transmettre la musique des plus grands compositeurs comme Bach ou Mozart. Nous étudierons une œuvre de J-S Bach (La Badinerie de la Suite n°2 en Si Mineur) puis l’œuvre (Fuite en Fi) qui est en réalité l’œuvre de Bach arrangée par Quai n°5 dans une ambiance plutôt Brésilienne, Amérique latine. Nous terminerons par une ouverture sur deux autres mélodies qui rappel l'oeuvre Fuite en Fi.

Petrovsky, le célèbre Chef d’orchestre, est catégorique à ce propos : « Naomie est, de loin, la virtuose la plus impressionnante de sa génération », lui a-t-il dit une fois après l’avoir religieusement écouté jouer Le concerto pour violon seul de J. S. Bach ; « Je crois que Baudelaire pensait à elle lorsqu’il a dit : son violon frémit comme un cœur qu’on afflige », ajouta-t-il avec son humour habituel. « Ça, c’est le prolongement de mon propre corps », disait-elle de son morceau de bois à quatre cordes

LA MESSE EN SI MINEUR Sans Bach, la théologie serait dépourvue d'objet,
la Création fictive, le néant péremptoire. 
S'il y quelqu'un qui doit tout à Bach, c'est bien Dieu. 
Emil Cioran, Syllogismes de l'amertume (Gallimard, 1952) Tout comme William Shakespeare pour le théâtre et Rembrandt pour la peinture, J.-S. Bach est l'un des piliers incontournables de la musique dans l'histoire de l'Art et de l'Humanité. Musicien, mathématicien, théologien, ce compositeur surgit après cinq siècles de polyphonie

| |Antonio Vivaldi - J-S Bach | | |J-B Lully - Johann Pachelbel | |Le Classicisme (1730-1820)

Biographie http://t1.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRYUZul8u2lNqltBZ6tB4FwDIjkhuvxIMS79x8vBvcehH9i03Ev Nom : Bach Prénom : Jean-Sébastien Dates : 21 mars 1685 – 28 juillet 1750 Siècles : XVII – XVIII e siècles Ses Origines Jean-Sébastien est le huitième enfant de Maria Elisabetha Lämmerhirt (1644-1694) et de Johann Ambrosius Bach (1645-1695). Sa mère est issue d'une famille de musiciens, son père est musicien municipal et violoniste à Erfurt avant de se fixer à Eisenach où il est trompettiste

naissant du choc des puissances." Kandinsky avait déjà attribué des couleurs aux sons de tel ou tel instrument à l’époque du "cavalier bleu". La fugue est l’une des formes les plus accomplies de la musique occidentale ; on la retrouve notamment chez Bach, où elle est à son apogée, chez Mozart, Beethoven, et déjà, à partir de la seconde moitié du XVIIe siècle, chez de nombreux autres compositeurs. Caractérisée par une écriture contrapuntique d’une extrême rigueur, elle s’articule en trois parties principales

LA CRITIQUE PAR LA MUSIQUE J. S. Bach : Schweigt stille, plaudert nicht, Über den Caffee, Cantate (Silence, ne parlez plus, cantate du café) BWV 211 1 – Récitatif (Ténor) 2 – Air (Basse) 3 – Récitatif (Basse, Soprano) 4 – Air (Soprano) 5 – Récitatif (Basse, Soprano) 6 – Air (Basse) 7 – Récitatif (Basse, Soprano) 8 – Air (Sorpano) 9 – Récitatif (Ténor) 10 – Chœur terzetto (Soprano, Ténor, Basse) W. A. Mozart : Ein musikalischer Spass (Une plaisanterie musicale) KV 522 1 – Allegro 2 – Menuetto

deuxième modèle qu’on retrouve les canons palindromiques. On retrouve des canons de ce genre chez Bach. 2. Canons Les mélodies sont considérées par plusieurs comme des suites de notes et de rythmes qui peuvent être transformées mathématiquement. Guillaume de Machaut, Bach, Mozart et Haydn ont utilisé le palindrome musical. On peut citer « L’offrande musicale » et « les variations Goldberg » chez JS Bach. Si on observe la partition de la symphonie 47 de Haydn, on constate que, dans « le menuet »

demeure sur le panthéisme cosmique de Giono ou sur son dionysisme, il n’empêche que l’Évangile se profile constamment à l’horizon du texte […]. » (p. 58). Le titre lui-même – tiré du premier vers du choral de la cantate BMW 147 de Jean-Sébastien Bach, mais amputé du nom de Jésus, comme l’a indiqué le romancier lui-même dans sa préface aux Vraies Richesses – dit toute l’ambivalence de REVUE D’HISTOIRE LITTERAIRE DE LA FRANCE l’ouvrage par rapport au modèle biblique, telle que la décrit J-P