John Locke Droit Constitutionnel

présidentiel (américain) est-il un régime où le Président est l'organe le plus puissant ? En 1748, le philosophe des Lumières MONTESQUIEU publie son ouvrage De l'Esprit des Lois, exposant sa théorie de la séparation des pouvoirs. Il s'inspire de John LOCKE qui distingue trois différents pouvoirs, indépendants les uns des autres : l'exécutif, le législatif et le fédératif. Montesquieu la modifie en remplaçant le pouvoir fédératif par le pouvoir judiciaire et en estimant que « le pouvoir arrête le pouvoir »

pouvoirs : les pouvoirs ne doivent pas être concentrés dans les mains d’une seule personne. C’est dans son livre De l’esprit des lois que Montesquieu développe cette thèse. le rejet de la monarchie de droit divin ou l’absolutisme royal : Les philosophes des Lumières rejetaient la monarchie de droit divin, notion selon laquelle le roi est une représentant de Dieu sur terre, et donc en tire ses pouvoirs. Mais ils ne rejetaient pas le régime monarchique. Les grands philosophes du siècle des lumières

Par la suite, Rousseau n’a pas participer physiquement mais mentalement à la révolution française. Durant la révolution, on passe d’une monarchie absolue à une monarchie constitutionnelle. Donc le pouvoir n’appartient pas seulement au roi mais du peuple aussi. Un autre bienfait de cette révolution est la déclaration des droits de l’homme. Cette déclaration prononce tout simplement que tous sont égaux aux yeux de la loi, que tous sont libre. Et là encore Rousseau y apporte du bon, parce que des articles

Les libertés publiques La définition du concept des libertés publiques pose de sérieux problèmes juridiques, le droit positif français ne la définit pas d'une manière claire et précise même en examinant la constitution française de 1958(art34 utilise le terme de garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l'exercice des libertés), tandis que les pays arabo-musulmans ont cherché à trouver un fondement à caractère religieux dans leurs traditions politiques. L'importance du cours est de refléter

Droit constitutionnel : l'impact de la théorie de la séparation des pouvoirs sur le régime politique de la France sous la Ve République « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution » affirme l'article 16 de la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen (1789), elle-même figurant dans le préambule de la Constitution de la Ve République (1958). Déjà envisagé par Aristote, imaginé par John Locke (Second

l’Etat a besoin pour agir… (exécutif). Le troisième embrasse les offices de juridiction (judiciaire). » Ainsi, dès le IVème siècle avant notre ère, Aristote a-t-il lancé l’idée de la distinction des pouvoirs. Beaucoup plus tard, au XVIIème siècle, John Locke, hostile à l’absolutisme, réaffirme qu’il est nécessaire de distinguer le pouvoir législatif du pouvoir exécutif. En effet, l’homme est trop ambitieux pour posséder tous les pouvoirs sans que cela ne débouche sur le despotisme ou l’arbitraire.

Commentaire Article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen La naissance de l’état républicain français sa rattache a une longue évolution dont l’origine remonte aux cultures judéo-chrétienne et gréco-latine. Malgré le fait que cette époque pose les bases de l’idée républicaine, c’est après la révolution française de 1789 que la première république a été mise en place (1792-1804). Elle se manifesté par l’abolition de la royauté ainsi que ses privilèges, posant de ce fait

potestas Status rei romanae Status rei publicae (statut fier de la chose publique) Status res publicae « cum » « statuere » (établir, mettre, poser, mettre debout, être fier) Hommo homini lapus Droit public : ensemble des règles et des principes tendant à ordonnancer la vie politique et garantir les droits et libertés de chacun dans la « société ». La société est un fait de nature selon Aristote (IVème siècle), c’est une « réalité », elle est au nombre des réalités qui existent naturellement. L’Homme

à la fin du XVIIIe siècle pour discréditer la monarchie3. Jacques Ellul révèle quatre caractéristiques communes au concept d'absolutisme4: « le pouvoir se conçoit lui-même comme étant sans limites, que ces limites soient externes (corps, droit, traités, morale...) ou internes (freins institutionnels). Le souverain absolu est maître des personnes et des biens. Le pouvoir se fonde sur une valeur absolue comme Dieu. Mais cela peut aussi être la raison d'État. la raison d'être du pouvoir

prime à bord, il est primordial de relever que le système démocratique est basé sur le respect de valeurs essentielles dont notamment celle de la tolérance qui conditionne son fonctionnement optimum. Parce que la démocratie suppose le pluralisme et le droit à la différence, il ne peut donc se concevoir sans la valeur essentielle de tolérance favorable à ses attributs primaires. La notion de tolérance est fondamentalement une notion morale, devenue avec le temps une notion politique et juridique. Elle