John Locke La Loi

écrits. régime : nature du gouvernement au sens de l’article 89-5 de la constitution. Nature du système (régime présidentiel, parlementaire) Paragraphe 1 : La typologie posée par Montesquieu Deux sources d’inspiration : l’empirisme (avec John Locke) et l’antiquité (Aristote et Polybe). Montesquieu est le premier à systématiser le « bon » gouvernement, la fin c’est l’instauration d’un gouvernement modéré, et les moyens avec la séparation des pouvoirs. pour lui bon système => gouvernement

Hobbes écrit dans léviathant en 1651, la théorie contractuelle suivante : l’ « Etat de nature » (= loi du plus fort) est évité par la conception d’un pacte entre l’Etat et le peuple où le monarque n’est pas un protagoniste du contrat, donc n’a pas de responsabilité en cas de non respect de celui-ci, le peuple lui doit quoi qu’il en soit obéissance (peut importe ses agissement donc) Plus tard, John Locke écrit en 1690, dans traité sur le gouvernement civil que la violation du contrat par le monarque

droit naturel et la propriété § 1. John Locke et les fondements du libéralisme. § 2. Le mythe du «communisme primitif» : Diderot, Mably, Morelly, le curé Meslier, Babeuf. § 3. Jean-Jacques Rousseau et la primauté de la loi. Section 2. La Révolution Française et la propriété. § 1. La propriété dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1798 : une définition ambiguë. A. Un point d'histoire méconnu : la ou les propriété(s) ? B. La propriété, entre Locke et Rousseau § 2. La propriété

sont confiées à différentes composantes de ce dernier. Aucune théorie n’a autant marqué l’histoire constitutionnelle que la séparation des pouvoirs ; on peut trouver ses permisses dès la fin du 12eme siècle dans l’essai sur le gouvernement civil de John Locke," POUR QU’ON NE PUISSE PAS ABUSER DU POUVOIR, IL FAUT QUE PAR LA DISPOSITION DES CHOSES, LE POUVOIR ARRETE LE POUVOIR" c'est ce que Montesquieu a défendu dans son œuvre 'l’esprit des lois' paru en 1748 avec son célèbre chapitre 6 du livre 11 « de

peut aboutir à un absolutisme monarchique. À l’inverse, dans son Essai sur le gouvernement civil (1690), John Locke fait de l’État un moyen d’accéder à un bonheur plus grand que celui déjà présent dans l’état de nature. Le contrat qui unit les hommes au monarque et par lequel naît l’État est garant du respect des libertés individuelles sous peine de rébellion. Attention La pensée de Locke est celle que traduit l’article 2 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 : « Le but

légalité. La légalité a besoin de légitimité pour s’imposer par autre chose que par la force. Mais la légitimité n’aurait pas de force de loi sans le secours de la légalité. La légalité passe par le respect des lois et règlement en vigueur. Un acte est légal s’il est conforme aux lois en vigueur dans un système juridique donnée. La légalité est établie par des textes de loi, des décrets, des arrêtés, … Le non-respect de celle-ci peut entraîner des sanctions juridiques ou des conséquences légales. En droit

XVIIe siècle et XVIIIe siècle avec John Locke et Montesquieu, qui introduisent le principe de séparation des pouvoirs ; ainsi lorsque l’on parle de peuple souverain, on sous entend par la que la souveraineté est détenue par le peuple constitué en un corps politique appelé nation : une entité abstraite, unique, collective et indivisible. De 1789 à 1958, la tradition constitutionnelle française rejette catégoriquement l’idée d’un contrôle de constitutionnalité. La loi, « expression de la volonté

Il vaut mieux être sujet d'un monarque que libre et eêtre à la mercie de la loi du plus fort et éviter une guerre de tous contre tous. Voilà le but du contrat social. Selon John Locke (1632-1704), l'Etat de nature pour les hommes est un Etat (une situation) pacifique. Les inidividus rentre dans la société pour confier leur liberté au monarque (ex: les anglais). En revanche selon Rousseau (1712-1778), comme John Locke, les hommes sont dans leur origine. Mais la civilisation génère une inégalité

L’instauration de la « République gouvernementale » Section II - La Constitution comme « instrument de limitation du pouvoir §1) La constitution comme opposition au pouvoir absolu A/ Locke et Montesquieu, les deux pères fondateurs du constitutionnalisme 1/ John Locke, père fondateur du constitutionnalisme moderne 2/ Montesquieu ou la conception libérale de la conception « organique » ou « institutionnelle » de la constitution B/ L’œuvre de Sieyès ou le triomphe

autres ; ou encore qu’on ne pourrait pas déclarer injustes ceux qui, en obéissant à des lois, ont commis les crimes que ces lois autorisaient. Suffit-il donc d’obéir aux lois établies pour être juste ou bien existe-t-il d’autres critères que la loi en vigueur à respecter ? Existe-t-il d’autres lois, d’autres droits à observer ? Lesquels ? Plus que d’obéissance, la justice n’est-elle pas aussi affaire de discernement et d’équité ? Telles sont les questions que la réflexion sur le sujet nous invitent