John Locke La Loi

(Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure paradoxale de la loi 9 1. Pas de loi sans force 9 2. La loi est le réglage d’un rapport de force 10

des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure paradoxale de la loi 9 1. Pas de loi sans force 9 2. La loi est le réglage d’un rapport de force 10 3. L’exception confirme la règle :

seulement utilité Bonheur (accomplissement) indissociable dimension pol. de son existence L’homme est voué à s’accomplir dans l’existence politique et de rationnaliser II. La société et les intérêts individuels John Locke => libéralisme politique (fin XVII) Adam Smith => libéralisme économique (fin XVIII) La sté : résultat du jeu des intérêts individuels => pour mieux nous satisfaire A/ La notion de société civile Société civile : - vie associative

sont pas contre la Monarchie mais la monarchie de type absolu . John Locke est un des promoteurs du libéralisme politique il a écrit «  essai sur le gouvernement civile «  en 1690 et dans ce livre il explique que la société est basé sur un contrat entre le souverain et la pop et le souverain doit respecter ce contrat , obéir aux loi. Montesquieu : Philo des Lum : «  de l’esprit des lois » 1748 s’inspirant des idées de John Locke , ouvrage considéré comme la référence du libéralisme en France.

même source la loi et le pouvoir. La prétention de la royauté absolue à reposer sur un « droit divin » avait façonné la souveraineté séculière à l’image d’un dieu à la fois tout-puissant et législateur de l’univers, c’est-à-dire à l’image du dieu dont la Volonté est loi. La « volonté générale » de Rousseau et de Robespierre est toujours cette « Volonté divine qui n’a besoin que de vouloir pour produire une loi ». Des œuvres de Cardin le Bret, de Bodin ou de Hobbes, il ressort que la loi vient du souverain

polémique à propos de l’art contemporain : est-il un imposture ou l’expression la plus élevée de la liberté ? et concrètement cette difficulté d’évaluation de l’originalité de la création ne trouverait qu’un remède extrêmement discutable qui serait la loi du marché de l’art. Le prix de vente d’une œuvre devient-il critère de sa valeur ? Selon le précepte antique de l’art, celui-ci a vocation à produire du plaisir par la reproduction humaine (nécessairement imparfaite) de la nature, selon sa forme extérieure

l’absolutisme de l’Ancien régime. En effet, au XVIIIème siècle, le régime politique de la France est celui de la monarchie absolue. En pratique, la souveraineté ne se divise pas et ainsi le Roi à « le droit de faire la loi », et de la faire exécuter. Mais la philosophie de John Locke qui consiste à dire que le peuple est le seul souverain, se répand progressivement en France, et conduit à la crise de 1789. Ainsi, le texte évoque que le Roi crée et obéit à ses propres Lois. Il parait intéressant dans

présidentiel (américain) est-il un régime où le Président est l'organe le plus puissant ? En 1748, le philosophe des Lumières MONTESQUIEU publie son ouvrage De l'Esprit des Lois, exposant sa théorie de la séparation des pouvoirs. Il s'inspire de John LOCKE qui distingue trois différents pouvoirs, indépendants les uns des autres : l'exécutif, le législatif et le fédératif. Montesquieu la modifie en remplaçant le pouvoir fédératif par le pouvoir judiciaire et en estimant que « le pouvoir arrête le pouvoir »

La Loi du 9 décembre 1905 Le 9 décembre 1905, Aristide Briand, député du Parti Républicain-Socialiste fait voter la loi qui sépara définitivement l’Église et l’État mettant par la même occasion fin à vingt-cinq années de tension entre le Saint-Siège et la République Française. Comment la séparation de l’Église et de l’État s’imposa aux politiciens du début du 20ème siècle comme seule option pour permettre la laïcité ? Nous étudieront d’abord précédant lois sur la séparation de l’Église et de

théorie de la séparation des pouvoirs a fortement marqué l'histoire. En effet, Aristote avait théorisé l’existence de trois pouvoirs sous l’Antiquité, puis s’en suivent les premières traces écrites véritables dans le “Traité du gouvernement civil” de John Locke paru en 1690. Mais, la séparation des pouvoirs sera principalement associée à Montesquieu. Charles de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu (1689-1755) est un penseur politique, philosophe et écrivain majeur des Lumières françaises. Dès