John Stuart Mill

faisaient de l’agriculture la principale source de richesse, comme François Quesnay (1694-1774) et les économistes libéraux du XIXe, qui défendaient la liberté du commerce et de l’entreprise comme les britanniques David Ricardo (1772-1823) et John Stuart Mill (1806-1873), à une période où la Grande Bretagne était la première puissance mondiale et était confronté à un problème de débouchés pour ses produits. Plusieurs types d’accords internationaux ont été signés avec pour objectif de favoriser le

pensée anthropomorphique antérieure. Mais la pensée reste prisonnière de concepts philosophiques abstraits et universels. On rapporte la réalité à des principes premiers. C'est la « Méthode du philosophe », écrit Auguste Comte. Comme l'explique John Stuart Mill dans son livre sur Auguste Comte5, « le signe diagnostique universel du mode métaphysique de penser, dans le sens Comtien du mot » correspond à « celui d'ériger une pure création de l'esprit en règle, ou norma de la vérité externe, et de donner

avaient inauguré une conception de la justice fondée sur le mérite, quoiqu’Aristote précise qu’« on ne s’accorde pas communément sur la nature de ce mérite » (EN,V, III, 7). Chez Platon comme chez Aristote, on trouve cette idée qui sera systématisée par John Rawls (1971) selon laquelle, si les règles sont justes et connues de tous car définies clairement, il ne peut y avoir de tensions sociales. Pour Platon, les individus étant inégaux, il faut organiser leur sélection pour constituer les classes supérieures

the existence of the other. In his book The Future of Liberalism, Alan Wolfe evokes a liberal tradition that makes reference to some of the 18th century figures, such as Adam Smith and Immanuel Kant, and others of the 20th century, such as John Stuart Mill and some of his contemporaries. He, therefore, equated two different eras to talk about two contexts: American context and that of the World of Enlightenment, in which liberalism was developed. He did so to persuade his readers “that classical

majorité que toute la pensée libérale redoute. Tocqueville en a donné le diagnostic le plus précis et la critique la plus vive. » Dans la pensée libérale, l’esprit de l’individu doit être préservé même dans l’opposition , c’est ce qui faisait dire à John Stuart Mill dans De la liberté : « Si tous les hommes moins un partageaient la même opinion, ils n’en auraient pas pour autant le droit d’imposer silence à cette personne, pas plus que celle-ci, d’imposer silence aux hommes si elle en avait le pouvoir. »

sont avancées. Dans Jus et le Code civil : Jus ou la cuisine romaine de la norme, Robert Jacob[4] propose une étymologie formée à partir du mot « jus » (la sauce en latin), lié alors à la symbolique sacrificielle. Le philosophe britannique, John Stuart Mill[note 2] estime que le terme « justice » est dérivé du verbe latin « jubere » - « ordonner, décréter » - ce qui permet d'établir un lien entre l'ordre qui énonce le droit et le juste qui lui est conforme. La philologie moderne porte intérêt aux

deux générations : • première génération : Malthus, Ricardo, Robert Torrens, James Mill (ous fondateur du London Political Economy Club) and HenryThornton 9 • seconde génération : John Stuart Mill, McCulloch, Nassau Senior, Cairnes Nous nous arrêterons sur Malthus et Ricardo : les deux Dioscures du libéralisme de Manchester. (enfants de Zeus, surnom de Castor et Polux) (cité dans Gonnard) Mais aussi J.S. Mill. Sont ils réellement les enfants de Smith ? Différences : • ils sont plus déductifs

bonheur peut être accompagné d’autres plaisirs, mais aussi d’autres déplaisirs. La pureté du bonheur, si celui n’est ne pas mêler à des peines. John Stuart Mill successeur de la théorie utilitariste a rajouté un point dans la théorie hédoniste de Bentham qui est le critère qualitatif du plaisir. L’utilitarisme que j’utiliserais sera l’utilitarisme idéaliste de Mill. Pour en suivre avec l’application avec la problématique. Tracy à un âge mental d’un bébé de deux ans, elle est incapable de se nourrir et

d’une façon de plus en plus claire les avantages du libre échange. 1- La théorie classique : SMITH, RICARDO, STUART MILL : En fait, aux XVIIIème et XIXème siècle, trois économistes libéraux ont établi ce que l’on peut appeler la théorie classique du libre-échange : il s’agit de l’Écossais Adam SMITH (1723-1790), des Anglais David RICARDO (1772-1823), et John STUART MILL (1806-1873). Pour ces partisans du libre-échange, Cette nécessaire division du travail entre les nations grâce à

un  nationalisme frustré par la défaite de 1870 l'occasion d'une reconquête du rang de  grande puissance ; c’est l’objectif des républicains Gambetta et Ferry (Cf. discours de                                                          3  Cf. John Stuart Mill (1862) : "Cette théorie fausse de politique coloniale […] qui regardait les colonies  comme  précieuses,  parce  qu'elles  fournissaient  pour  nos  productions  des  marchés  que  nous  pourrions  garder  pour  nous  seuls :  un  privilège