John Stuart Mill

comparative est plus forte, ou ce qui revient au même, celle dont le coût comparatif es le + faible ». Ricardo a corrigé une faiblesse de la théorie de Smith. Mais autre problème : n’y a t-il pas de désavantages en terme de prix des marchandises ? 3°) John Stuart Mill et les vertus correctives du libre-échange : Non seulement il n’y a pas d’avantage, mais le L-E le corrige. Tout peut se réduire à un certain nombre d’heures de travail. Les pays riches finissent par être punis de leurs richesses car ils produisent

illimitée. » (L 2) ; notons dès maintenant que jusqu'en 1889 (la morale anarchiste) et même après , la liberté sera l'une de ses préoccupations privilégiées : il la mettra en relief en l'opposant à l'utilitarisme de Bentham et au libéralisme de John Stuart Mill accusant les deux théoriciens de la corrompre tout en s'en revendiquant. De la même manière, quelques lignes plus tard on peut entrevoir l'ombre de Jean-Jacques Rousseau et de son contrat social : « du libre contrat » (ligne 11). Il s'agit de

Économie Histoire de la pensée Histoire de la pensée économique Les mercantilistes (du XVIe au XVIIIe siècle) Les physiocrates (à partir du XVIIIe siècle) L’école classique (début du XIXe siècle), avec Adams Smith, David Ricardo, Malthus, John Stuart Mill L’école néoclassique (fin du XIXe siècle), avec Leon Walras, Vilfredo Pareto, . . . L’école Keynesienne Les monétaristes Le marxisme ... Économie Histoire de la pensée Les mercantilistes Vision un peu simpliste de l’économie

Le document suivant est tiré de l'ouvrage L'Économique moderne John Eatwell & Joan Robinson (1903-1983) traduction française, Michèle Blotnikas, Hubert de Carpentier, revue et annotée par Georges Bensaïd. Traduction de : An Introduction to modern economics Paris ; New York ; Londres : Ediscience-Mac Graw-Hill, 1975; XIII-438 p. : ill. ; 23 cm 2. L'économie politique classique La montée de l'industrie rendit désuète la vision des physiocrates ; néanmoins leurs successeurs - l'école classique

* Les classiques Ils apparaissent lors de la révolution industrielle et pendant le développement du capitalisme. * Adam smith (1723-1790) * David Ricardo ( 1772-1822) * Thomas Malthus * Jean-Baptiste Say (1762-1832) * John Stuart Mill sera celui qui fera la synthèse de toutes les idées de ces prédécesseurs. L’idée de division du travail (que l’on retrouve chez Smith) qui démontre que la production permet l’augmentation des richesses de la nation et le bien être économique

baisse ; et si on emprunte, l’argent est mal utilisé. Thomas Malthus * La population augmente plus vite que les richesses (« le peuple est la cause de la misère »). * Critique de la redistribution * Défense de l’investissement public John Stuart Mill * Valeur travail importante * Amortissement des machines * Rôle de la demande dans les échanges internationaux * Capitalisme tempéré * Egalité des sexes * Considéré comme le premier social libéral Les néoclassiques

peu et les valeurs éthiques semblent prendre de plus en plus d‟importance dans la société de consommation actuelle. Les consommateurs se retrouvent désormais confrontés aux notions de développement durable, de commerce équitable et de morale. John Stuart Mill disait à son époque en 1848, « Il y a autre chose à attendre de la vie que de faire des pieds et des mains pour réussir ». Il introduisit ici la notion d‟épanouissement de l‟Homme, par la culture de l‟esprit et le progrès social et moral. On

vision macroéconomique et aux néoclassiques une vision microéconomique. Ainsi définie, la période classique est amorcée avec la publication de la Richesse des nations (1776) et prend fin avec la publication des Principes de l’économie politique de John Stuart Mill –auteur de transition- (1886). LA VISION SMITHIENNE DE LA SOCIETE ET DE L’ECONOMIE La métaphore de la main invisible. Adam Smith présente le champ d’étude de l’économie comme un domaine où s’entrecroisent des intérêts purement privés. Le

nature et la dynamique de ces forces. On peut regrouper les différentes contributions en trois catégories selon les forces particulières qu'elles s'attachent à mettre en relief. À l'opposé des économistes classiques (Adam Smith, David Ricardo, John Stuart Mill...), qui considèrent l'individu comme toujours mû par la recherche de son propre intérêt et donc à la recherche systématique des produits qui, dans la limite de son budget et des prix pratiqués, lui procureront le maximum de satisfaction, les

un environnement politique qui conditionne leurs conseils à l'État. A) Les auteurs Adam Smith (Recherches sur la nature et les causes de la richesse des Nations, 1776) David Ricardo (Principes de l'économie politique et de l'impôt,1817) John Stuart Mill (Principes d'économie politique, 1848) B) L'analyse L'ouvrage d'Adam Smith, La Richesse des nations, suggère une première définition de l'objet de la connaissance économique, comme « science des richesses » (définition substantive) Pourquoi