John Stuart Mill

donc demander de nouvelles revendications sociales. C’est d’ailleurs ce que souhaitait Alexis de Tocqueville dans De la démocratie en Amérique. Pour lui, on allait vers une égalisation des conditions grâce à la mondialisation. Dans le même sens, John Stuart Mill qui proclamait « Heureux les pays pauvres ! » a montré que grâce à la mondialisation et au commerce international il y aurait une diffusion à l’échelle internationale du progrès technique. ▪ Ainsi, au niveau économique et social, la mondialisation

à la propriété du capital. | Les membres d’une association populaire sont donc des travailleurs qui s’unissent en ayant pour toute ressource leurs salaires de misère sur lesquels ils prélèvent une modique épargne qu’ils mettent en commun. | John Stuart Mill (1860-1873) partisan de l’association des travailleurs | Il traite les associations coopératives en les présentant comme représentatives du progrès de la société sur la production et la distribution. | Fin qui oppose le capital au travail et

contemporaine A) La théorie libérale Le libéralisme économique est né à la fin du XVIIIe siècle avec des économistes comme Adam Smith (1723-1790), Thomas Malthus (1766-1834) et David Ricardo (1772-1832). Jean-Baptiste Say (1767-1832) et John Stuart Mill (1806-1873) sont aussi d'importants théoriciens du libéralisme économique. Au XVIIIè siècle, les structures mentales se modifient sous l'influence du libéralisme et de l'individualisme. En effet, après avoir favorisé l'essor de l'économie

1867 « Des principes de l’économie politique et de l’impôt ». 2. L’école néoclassique Un français, Jean-Baptiste (1767-1832) connu pour un « traité d'économie politique » dont la 1ère édition date de 1803 et la 6e de 1848. Beaucoup plus tardif John STUART MILL (1806-1873, anglais) auteur en 1848 des « principes d'économie politique », en tant qu'économiste, il reprend les thèses de Ricardo, économiste technicien. A partir de SMITH, il y a eu une tentative de « comprendre comment ça marche indépendamment

citoyens, du moins à y contribuer. Si tous les hommes recherchent également un maximum de plaisir, alors le bonheur de l’individu doit participer à la prospérité générale. Ainsi, l’utilitarisme, doctrine philosophique menée par Jeremy Bentham et John Stuart Mill, montre que l’action moralement bonne d’un individu contribue à un bonheur pour le plus grand nombre. Egalement, en affirmant "Le bonheur est une idée neuve en Europe", Saint-Just fait du bonheur un bien non pas donné mais au contraire un bien

de discussion par Kant - le rôle des pères fondateurs des Etats-Unis par Jefferson. 1- Premiers regards sur la puissance de la presse 1830 : époque de la naissance de la presse moderne A cette époque, les idées sur le pouvoir des médias de Mill et Tocqueville portent sur l'opinion publique. Une génération plus tard, Le bon et Tarde abordent l'influence de la presse et entreprennent de définir un nouveau domaine de connaissance : la psychologie sociale, ils s'intéressent aux foules et amorcent

environnement politique qui conditionne leurs conseils à l'État. A) Les auteurs Adam Smith (Recherches sur la nature et les causes de la richesse des Nations, 1776) David Ricardo (Principes de l'économie politique et de l'impôt,1817) John Stuart Mill (Principes d'économie politique, 1848) B) La doctrine La vision du capitalisme : ordre marchand et société de classes La vision normative : « laissez-faire, laissez-passer » C) L'analyse Valeur, prix et revenus : la « méso-économie

trésor de ressource nécessaire ou utile à la vie dans toute association civile ou domestique » Jean-Baptiste Cay : « L'économie enseigne comment se forme, se distribue, et se consomme les richesses qui satisfaisant aux besoins des sociétés » John Stuart Mill : « L'économie est la science qui traite de la production et de la distribution des richesses entant que cette production ou cette distribution dépende des lois naturelles. » Edmond Malinvaud : « L'économie est la science qui étudie comment

métallique. Il ne va pas jusqu’à généraliser en prétendant que toute augmentation de la quantité de monnaie amène automatiquement une élévation des prix dans les mm proportion. Il amorce cependant une réflexion. Cette réflexion se poursuit notamment avec John Locke dans Considérations sur les conséquences de l’abaissement de l’intérêt et de l’élévation de la valeur de la monnaie (1661) puis avec David Hume. Pour Smith et Say, la monnaie ne fait que voiler les échanges de produits. La monnaie se restreint

et a besoin d’un régime autoritaire pour le guider. Jérémy Bentham est dans la même lignée de pensée puisque pour lui l’homme est égoïste et a besoin de lois et de règles pour le guider. Pour Kant ca sera l’intention qui compte alors que pour John Stuart Mill se sont les actions qui comptent, etc. Ainsi l’on remarque à travers ces quelques exemples à quel point il peut être complexe de juger un problème éthique. Nous pouvons aussi aborder la problématique du point de vu strict de « l’information »