Joseph E. Stiglitz

déréglementation et à l’apport des nouvelles technologies de la communication. La finance est ainsi devenue un monde qui permet l’enrichissement d’individus sans qu’il y ait nécessairement création de richesse. Plusieurs études le démontrent (Krugman, 2012; Stiglitz, 2010; Roubini et Mehm, 2010), l’industrie financière a été le principal facteur d’accroissement des inégalités dans le monde et, par le fait même, premier responsable de la crise. Le processus de financiarisation que nous avons connu au cours

.................................................................. 36 Les conséquences mondiales ................................................................................ 41 Critiques des politiques du FMI réalisées par A.H. Meltzer et J. Stiglitz. .............. 45 Chapitre 2: La crise asiatique et les politiques du FMI............................................................ 21 Chapitre 3: Les conséquences de la crise asiatique et la critique des actions du FMI ............ 35

Innovation Social Société Énergies & Environnement Recherche économique ENTREPRISES & MARCHÉS Finance & Marchés High Tech & Médias Industrie Management Services La Coulisse des marchés Bilan 2010 Médi@bullition LES ECONOMISTES DE PROJECT SYNDICATE Joseph E. Stiglitz Nouriel Roubini Kenneth Rogoff J. Bradford DeLong Jeffrey D. Sachs Dominique Moïsi Autres auteurs ENTREPRENEUR Création d'entreprise Social RH Fiscalité Juridique Compta-finances Marketing Internet Développement Innovation LIVRES Critiques Bonnes

du canal de distribution, selon qu’interviennent entre le producteur et les consommateurs un grossiste, une centrale d’achats, un détaillant. Plus récemment, avec le développement des réseaux informatiques, et plus spécialement d’internet, et donc du e-commerce, progressent de nouvelles formes d’échanges et donc de marchés: le B2C : « business to consumer » pour échanges directs entre les entreprises et leurs clients; le B2B : « business to business » pour les échanges entre entreprises; le C2B : «consumer

désignée parle le terme de sélection adverse. Il s'agit de l'opportunisme ex-ante. Cette situation se présente lorsqu'il y a tricherie avant la passation du contrat. Les transactions se réalisent alors sur les mauvais agents (Coriat, 1995 P55). Stiglitz et weiss (1981) étudient ce phénomène dans la relation de crédit. La sélection adverse désigne pour le prêteur le fait de sélectionner pour le crédit des projets de mauvaise qualité. Ce risque est relatif à l'état de la nature et peut se subdiviser

critiquent sévèrement le FMI. Certains d’entre eux «l’accuse de privilégier les intérêts de son "principal actionnaire", les États-Unis, avant ceux des pays en difficulté. D'autre part, prenant pour exemples la crise asiatique et la transition russe, Stiglitz démontre que les politiques d'ajustement structurel préconisées par le FMI ont souvent aggravé les problèmes, entraînant des conséquences sociales dévastatrices et un accroissement de la pauvreté.[19]» D’autre qui voit dans le FMI, la Banque mondiale

bonne ni mauvaise. Elle a le pouvoir de faire énormément de bien et, pour les pays d’Asie qui l’ont embrassé à leurs conditions, à leur rythme, elle a été un immense bienfait […] Pour bien des gens, elle s’apparente plutôt à un désastre absolu » J. Stiglitz Même si la théorie du libre échange a été mise en place pour permettre un meilleur développement des pays dans le monde, comme le montre la théorie des avantages comparatifs, de nombreuses inégalités persistent. Ainsi, le commerce international

n’investissent pas : Etat)  Multiplicateur d’investissements (ou keynésiens) : si on injecte de l’argent dans l’économie (infrastructures, aides) on va avoir un PIB multiplié k fois. Le PIB sur réagit par rapport à l’investissement initial. C E 100 80 20 80 64 16 64 52 12 52 … … … … … … … … Pour Keynes contrairement à Malthus, il faut aider les ménages pauvres. Les ménages les moins aisées auront tendance à consommer plus. Y = C + I + G  équation macro-économique

Versailles, Éd. de Paris : 2008. Cote(s) CUJAS : 526.884 BIU CUJAS ― 2 rue Cujas, 75005 PARIS ― cujasacq@univ-paris1.fr 2 BULLETIN DES NOUVELLES ACQUISITIONS Numéro 6 – Mai 2010 BITTAR, Eduardo Carlos Bianca. — O direito na pós-modernidade (e reflexoes frankfurtianas). — Rio de Janeiro, Forense Universitária : 2009. Cote(s) CUJAS : 525.969 BRUGGER, Winfried ; NEUMANN, Ulfrid ; KIRSTE, Stephan. — Rechtsphilosophie im 21. Jahrhundert. — Frankfurt am Main, Suhrkamp : 2008. Cote(s) CUJAS : 115

qualité de vie des ménages en comptabilisant leur revenu brut et donc leur pouvoir d'achat. En cela le RNB est mieux approprié pour évaluer le bien être d'une population que le PIB. La notion de destruction créatrice est forgé par l'économiste Joseph Schumpeter , elle est selon lui indissociable de la croissance et il permet de la comprendre. Selon lui la croissance est dut aux créateurs, aux entreprises, aux entrepreneurs qui innovent sans cesse créant et distribuant de nouveaux produits sur