Joseph E. Stiglitz

où la part du PIB attribuable aux exportations est de 31 %, dont 73 % à destination des autres pays de l’ALÉNA. Seul au Canada, où les exportations comptent pour plus de 40 % du PIB et où le commerce avec ses partenaires régionaux (principalement les É-U) est supérieur à 80 % des échanges totaux16, l’ALÉNA semble avoir contribué à la croissance du PIB par habitant17. Weisbrot, M., D. Rosnick et D. Baker, 2004, « Getting Mexico to Grow With NAFTA: The World Bank's Analysis », Centre for Economic

certains pays (ISDH), des inégalités internes (IDHI) de l’environnement et des problèmes de pollution, des libertés individuelles… " Deux autres exemples d’indicateurs qui viennent compléter le PIB. La Commission Stiglitz-Sen-Fitoussi a développé une réflexion sur la définition et la Joseph Stiglitz mesure du bien-être. Le PIB ne peut à lui seul être un indicateur suffisant des Amartya Sen performances économiques et du progrès social. Jean paulFitoussi La commission a fait plusieurs recommandations : -

von Neumann Oskar Morgenstern Arthur Charpentier Economie de l’information et de l’incertain • Les grands auteurs Application(s) en finance / assurance Harry Markowitz Merton Miller William Sharpe 1990 1990 1990 Franco Modigliani Joseph Stiglitz 1985 2001 Arthur Charpentier Economie de l’information et de l’incertain • Comment agir en situation d’incertitude ? • outils de base, la notion de « loterie » prend la valeur dans l’état survient avec probabilité prend la valeur

marché des capitaux On peut distinguer également les marchés selon leur portée géographique, du marché local au marché mondial. Sur certains marchés, les offreurs et les demandeurs ne se rencontrent pas physiquement (marché des changes). Pour Joseph E. Stiglitz, « les économistes considèrent qu’il y a marché chaque fois qu’il y a échange » (Principes d’économie moderne, De Boeck, 2007). La théorie définit le marché d’un bien donné par la rencontre de la demande collective exprimée pour ce bien par

d’un choix entre d’innombrables critiques formulées récemment sur le sujet, je citerai le Rapport 2003 du PNUD qui admet que « cette vision optimiste s’est révélée largement inopérante pour des centaines de millions de pauvres ». Mais aussi Joseph E. Stiglitz qui, après avoir démissionné de ses fonctions de vice-président de la Banque mondiale, lançait ce véritable réquisitoire : « Aujourd’hui, la mondialisation, ça ne marche pas. Ça ne marche pas pour les pauvres du monde ; ça ne marche pas pour

s'engage à Défendre la fixité du taux de change de monnaie par rapport aux autres Monnaies ou par rapport à un étalon de référence. 2 - Le régime de change flexible : régime dans lequel un pays laisse évoluer Le taux de change de sa monnaie en fonction e l'offre et de la demande, soit Totalement librement (flottement libre) soit partiellement (flottement Géré). Chaque pays est libre de fixer son régime de change en fonction de règles Bilatérales (ancrage de la monnaie nationale à une autre monnaie)

en 1936... Mais la macroéconomie moderne, comme discipline qui s'attache à comprendre pourquoi l'économie connaît des épisodes comme la Grande dépression et pourquoi l'emploi et la production fluctuent au cours du temps, commence avec Keynes. Joseph E. Stiglitz, Carl E.Walsh (2004), Principes d'économie moderne, 2e édition, Ed. de Boeck, p.490 Source : Wikipedia

e Fonds monétaire international (FMI) est une institution internationale regroupant 187 pays, dont le rôle est de « promouvoir la coopération monétaire internationale, de garantir la stabilité financière, de faciliter les échanges internationaux, de contribuer à un niveau élevé d’emploi, à la stabilité économique et de faire reculer la pauvreté[1] ». Le FMI a ainsi pour fonction d'assurer la stabilité du système monétaire international (SMI) et la gestion des crises monétaires et financières. Pour

traditionnelle * la théorie du déséquilibre : Edmond Malinvaud * le courant post-keynesien : Michal Kalecki, Nicholas Kaldor, Joan Robinson, Roy Forbes Harrod, Evsey Domar... * la nouvelle économie keynésienne : George Akerlof, Joseph Stiglitz, Janet Yellen, Stanley Fischer... * l'école de la régulation : Michel Aglietta, Robert Boyer, Alain Lipietz... VI.2. Les néo-keynésiens Article détaillé : Néo-keynésien. Paul Samuelson Le courant néo-keynésien (appelé aussi « équilibres

de demande, mais c’est une variable exogène, fixé par la banque centrale. e. L’incertitude est une composante très importante de la théorie Post-Keynésienne, plus particulièrement la théorie monétaire. Les Post-Keynésiens associe l’existence de l’incertitude avec la monnaie plutôt qu’aux banques commerciales et a l’offre de crédit. 3. Les économistes Post-Keynésiens Les fondateurs  Hyman Minsky  Joseph Shumpeter  Michał Kalecki Les partisans  Alain Parguez  Alfred Eichner