Joseph E. Stiglitz

faire faillite) signifie aussi "Too big to manage" (trop gros à gérer). provisionné leurs pertes potentielles sur les actifs toxiques que ne l’avaient fait leurs collègues européennes. 4 La Commission d’experts des Nations unies présidée par Joseph E. Stiglitz, prix Nobel d’économie et professeur à Columbia University (New York) qui vient de rendre ses conclusions, recommande la création d’un Conseil mondial de coordination des politiques économiques proche du système d’alerte préconisée par le

ROMER ET LUCAS. La nouvelle micro-économie classique: LUCAS, BARRO, SARGENT, WALLACE, MUTH. P.KRUGMAN, L.SUMMERS, A.SHLEIFER, G.MANKIW, A.ALESINA, J.TIROLE... XVIe au XVIIIe XVIIIe XVIIIe et début XIXe 1776: La richesse des nations de Smith XIX e Fin XIX e Début du XXe 1936 : « Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » 1941 « théories des dotations factorielles » Années 1955 1958 Années 1970 Années 1980-90 : La croissance endogène Les anticipations; La théorie de l'agence; La théorie

CI/GATT, OMC…  La mondialisation résulte d’une succession de choix politiques  Tous les pays ont augmenté leurs taux d’ouverture. Modification entre les deux vagues de mondialisation : le retour de l’Asie dans le commerce international. Joseph Stiglitz (Nobel 2001) : « la mondialisation est l’intégration plus étroite des pays et des peuples permise par la réduction des coûts de transport et de communication et par l’élimination des barrières artificielles aux échanges de biens, services, capitaux

Diversification de la pensée et économie islamique (XXe siècle - XXIe siècle) A. La pensée Keynésienne B. Diversification de la pensée économique 1. Les néo-keynésiens 2. Les monétaristes (école de Chicago) : Milton Friedman 3. La théorie Schumpetérienne : Joseph Schumpeter 4. L’école des choix publiques C. L’Economie islamique 1. Les notions principaux de l’économie islamique 2. Les aspects variables et contingents de l’économie islamique (le système économique islamique) 3. Principes de la finance islamique

le secteur de l’armement et la disparition d’unités militaires dans les villes de garnison ont été responsables de 40 000 suppressions d’emplois en France entre janvier et août 2009, selon une étude du cabinet France Industrialisation et Emploi (FI&E). Le secteur de la construction automobile en a supprimé 22 000, tous les autres secteurs industriels confondus 55 000 et les services à l’industrie 14 000. Emploi Taux de chômage par tranche d'âge, en % 15-24 ans 25 20 15 10 5 0 Chômage

: le keynésianisme ou macroéconomie traditionnelle la théorie du déséquilibre : Edmond Malinvaud le courant post-keynesien : Nicholas Kaldor, Joan Robinson, Roy Forbes Harrod, ... la nouvelle économie keynésienne : George Akerlof, Joseph Stiglitz, Janet Yellen, Stanley Fischer... l'école de la régulation : Michel Aglietta, Robert Boyer, Alain Lipietz... A l'occasion de la crise de 1929, John Meynard Keynes a formulé une critique cohérente de la théorie classique et prôné une certaine

dirigeants à ne pas utiliser une information utile en leur possession (par exemple une technique de production plus rentable) pour ne pas s’éloigner de ce que font leurs concurrents (Zweibel (1995) pour le cas de préoccupations de carrière, Nalebuff et Stiglitz (1983) pour le cas aversion pour le risque). 17 Le chapitre 2 fournit un nouvel inconvénient de l’évaluation relative de la performance : conduire les dirigeants à adopter des stratégies relatives, c'est-à-dire se concentrer sur la réduction

négatif » (ou revenu minimum) distribué à tous les contribuables, complété par un impôt plutôt progressif. La combinaison des deux exigences donne des formes complexes à la taxation optimale. La taxation indirecte superflue ? Anthony Atkinson et Joseph Stiglitz se sont interrogés sur l'intérêt d'avoir simultanément des impôts sur les biens et sur le revenu. Sous des hypothèses assez générales, ils montrent que la taxation sur les biens est inutile. La taxation sur le revenu est un instrument de prélèvement

éviter les coûts de rotation de la main d'œuvre qui dépendent eux-mêmes des coûts d'embauche, de formation et de licenciement, intérêt pour les firmes de « retenir » leurs salariés, spécialement dans le segment primaire du marché du travail. (J. Stiglitz). La qualité du travail est d'autant plus déterminante que le capital accumulé est coûteux. • Les acteurs en présence n'ont pas les moyens d'observer parfaitement leur environnement et ne disposent pas tous de la même quantité d'information (hypothèse

consommateur la possibilité de maximiser son utilité et de parvenir à un point d'équilibre compatible entre ses besoins et ses ressources (I). D'autre part, l'introduction de l'incertitude dans l'analyse économique suscite « une révolution » selon Joseph Stiglitz. En effet, une partie des hypothèses de la théorie néoclassique est contestée par la nouvelle approche de la théorie du consommateur des années 1960. Ici, l'agent économique modifie ses préférences et maximise non plus, une utilité liée à des