Joseph Schumpeter

de reprendre une entreprise déjà existante ou bien d’en créer une nouvelle. Ainsi l’entreprenariat est très souvent favorable à l’économie d’un pays dans le sens où créer une entreprise contribue à la création de richesse et d’emplois. D’après Schumpeter, l’entreprenariat et l’innovation pourrait aussi être vu comme étant une « destruction créatrice », car l’arrivée d’un nouveau bien ou service viendra remplacer celui déjà présent sur le marché. La compagnie Facebook, par exemple, fût innovatrice

Toutefois la récurrence de la crise, malgré une forte compétence d’adaptation de ce système, ne met pas en déroute la vision pérenne du capitalisme ? Car en effet si le capitalisme est défendu et fait montre de progrès par des processus tel que celui de Schumpeter de « Destruction créatrice » que l’on peut relier au progrès technique et à la croissance endogène dans le même temps il est évident que depuis son développement certains se son aussi bien attaché à montrer les inégalités qu’il génère. Ainsi dès

Auteurs et sigles des chapitres Management Chapitres Auteurs Sigles Chapitre 1 J. Schumpeter : - Créateur d'entreprise, - Innovation, - Saisit des opportunités, - Prend des risques pour développer son entreprise. => « Goût du profit ». J.B. Say : Un entrepreneur est un organisateur, il coordonne les ressources pour optimiser la production.La finalité dépend de nombreux facteurs de contingences. Chapitre 2 Chapitre 3 P. Drucker : - Créer des richesses pour les parties prenantes (PP). - La finalité

Management de l’innovation Origine (théories, penseurs, inspirateurs) Dynamique du capitalisme : Schumpeter et le cycle de l’innovation technique – destruction créatrice Définition Innovation : « Processus de création, d’invention et d’exploitation des idées nouvelles par et pour les humains dans la sphère socioéconomique » (Morand et Manceau, 2009, p. 32) Processus & résultat Innovations de produit/procédé liées Invention versus innovation : • valorisation Activités Deux modèles du processus

biens de production. Des cycles à plus court terme sont dus également au mouvement des stocks (cycles Kitchin), tandis que les cycles d’innovation rythment selon Schumpeter les mouvements à long terme de l’économie (cycles Kondratiev). B. Les contradictions du capitalisme 1. La croissance capitaliste : un état de crise permanent. Schumpeter définit la croissance comme « un processus de destruction créatrice, révolutionnant sans cesse de l’intérieur la structure économique, en détruisant continuellement

nécesaires pour déceler des opportunités destinées à satisfaire un besoin ou améliorer un processus existant KNIGHT: profit est le revenu résiduel rémunérant l’entrepreneur pour assumer les coûts liés à l’incertitude I La démarche d’entreprendre • SCHUMPETER 1883-1950 (~1930) – « Tout être humain ayant vocation à entreprendre » ; – « l’entrepreneur innovateur » ; – « esprit d’entreprise » ; – « destruction créatrice ». La recherche constante de l’innovation (produits, techniques, marchés, organisation…)

- augmentation de la productivité sans varier la quantité de travail et de capital innovations des produits, des procédés de production, de l’organisation du travail Exemple : Fordisme, hausse de la productivité, gain de temps = croissance 2) Schumpeter destruction créatrice : nouvelles activités remplaçant les anciennes évolution technologique, progrès => En suivant les théories des fondateurs du progrès technique, celui-ci implique toujours la croissance. Mais en pratique, on observe qu’il

Sauvy le progrès technique est un facteur de croissance économique qui apparaît favorable à l'accroissement du pouvoir d'achat et par conséquents à l'origine d'une extension des marché et à l'adaptation de nouveaux besoins solvables. • Selon Schumpeter, d'après sa théorie de la destruction-créatrice, les gains de productivité gagnés dans une branche d'activité, grâce à la machine, suppriment des emplois mais suscitent une demande dans une autre branche d'activité qui sera génératrice de créatrice

visible des managers » à l’origine de cette modernisation de l’entreprise et de leur expansion. B/ Un manager, c’est un entrepreneur * Le manager est un agent économique dynamique et innovant motivé essentiellement par le profit. Pour Schumpeter, cette recherche constante du profit représente le moteur même du progrès technique et de la « destruction créatrice » (à travers la mise en place d’une nouvelle méthode de production, de l’exploitation de nouvelle source de matière 1ère, d’un nouveau

de limiter les risques; se mettre à son compte nécessite de l'initiative, du courage, de la volonté, et le sens du risque. Pour SCHUMPETER, l'évolution de l'économie d'une nation dépend des entrepreneurs, parce qu'ils ont la capacité de choisir parmi les innovations celles qui auront un débouché parce qu'elles satisferont une demande nouvelle du consommateur: SCHUMPETER parle de destruction créatrice. La création d'entreprise participe à la croissance économique; son rôle essentiel est de créer des