Joseph Stiglitz Le Commerce Sera Equitable

des richesses. Selon Aristote, l'accumulation de la monnaie pour la monnaie est une activité contre nature et qui déshumanise ceux qui s'y livrent : suivant l’exemple de Platon, il condamne ainsi le goût du profit et l'accumulation de richesses. Le commerce substitue l’argent auxbiens ; l’usure crée de l’argent à partir de l’argent ; le marchand ne produit rien : tous sont condamnables d'un point de vue philosophique. Bien qu'Aristote traite de la chrématistique comme ensemble de ruses et de stratégies

domaniale : du déclin de l’empire romain au Xème siècle 29  Une économie constituée de « domaines » : des paysans qui mettent en valeur la propriété foncière, sous la domination des seigneurs, ou de l'église sur de petites portions de terres ;  Le commerce en occident a beaucoup reculé après le déclin de l’empire romain à cause de l’insécurité. 24/05/2012 7 Chapitre 1 : Développement de la pensée économique 1. Un peu d’histoire A. Le moyen âge A. 2. L’économie Féodale : du Xème siècle à la

je souhaiterais adresser mes remerciements les plus sincères aux personnes qui m'ont apporté leur aide et qui ont contribué à l'élaboration de ce mémoire Je tiens à remercier tous mes professeurs du Département français de l’École supérieure de commerce extérieur (ESCE) de m’avoir donné́ de bonnes connaissances dans le domaine économique, et de m’avoir aidé́ à rédigé ce mémoire. J'exprime ma gratitude à tous les auteurs des documents de référence que j’ai déjà consultés. À travers ces documents

correspond à une aire économique et culturelle identifiable. Elle contient un centre, une périphérie et des marges. Au sein même du centre, il existe un ou plusieurs cœurs, c’est-àdire des villes-monde qui tirent leur puissance de leur intégration au commerce mondial. Ainsi, « la splendeur, la richesse, le bonheur de vivre se rassemblent au centre de l'économie-monde, en son cœur. C'est là que le soleil de l'histoire fait briller les plus vives couleurs, là que se manifestent les hauts prix, les hauts

fait entre riches et pauvres, qui sont inévitables et qu'on ne peut réduire qu'en empiétant sur la liberté et en réduisant la prospérité globale. Pour eux, la meilleure façon de combattre la pauvreté est d'assurer la libre entreprise et le libre commerce pour tous et de laisser opérer les initiatives de charité privée, qui sont plus efficaces et mieux justifiées moralement que les programmes étatiques de transfert de la richesse.           Les libertariens croient que la seule façon d'assurer

croissance régulière grâce au respect des grands équilibres macroéconomiques (stabilité des prix, équilibre du commerce extérieur et des finances publiques, équilibre de l’emploi). Croissance déséquilibrée : c’est celle qui privilégie l’investissement dans certains secteurs et qui inévitablement génère des déséquilibres et des fluctuations (de la production, des prix, de l’emploi, du commerce extérieur). Syndrome : croissance cyclique, irrégulière, inégalitaire (ex : modèle de croissance soviétique

inégalités. De quoi s’agit-il le concept de mondialisation ? Quelles sont les différentes approches théoriques de ce phénomène et quels sont ses impacts ? Première Axe : Mondialisation : définitions et aspects 1. Définition Selon Joseph Stiglitz « la mondialisation est L’intégration sans cesse plus étroite des pays et des peuples du monde qu’ont réalisée d’une part, la baisse continue des coûts du transport et des communications et, d’autre part la réduction des barrières douaniers et

Fiche de lecture d’après prépa-hec.org Un autre monde. Contre le fanatisme du marché de Joseph-E Stiglitz (2006)   Un autre monde est possible Accueillie avec enthousiasme au début des années 90, la mondialisation est déjà sévèrement critiquée en 99 à Seattle. « La mondialisation devait apporter la prospérité à tous » mais finalement elle « avait réussi à unir les populations du monde entier…contre la mondialisation ». Elle créerait des pays riches encore plus riches mais aux peuples pauvres

pitié ni de charité. Le respect, la solidarité internationale et les moyens de lutter à armes égales peuvent contribuer pour beaucoup à l’avènement d’une nouvelle ère sur le continent africain. (...) L'Afrique doit également avoir un accès plus équitable aux marchés pour être en mesure d'exporter ses produits sans obstacles ». Ainsi, la politique d'aide publique au développement, constituée surtout les dons de pays développés vers des pays moins avancés est toujours largement controversée et d'autres

écologique. Pourtant, ces courants de pensées qui se veulent en opposition avec la croissance ne remettent pas en question l'idéal même du processus économique de la croissance, elles ne peuvent que « l'améliorer » vers un capitalisme plus juste et équitable et plus raisonnable dans l'exploitation des ressources. Toutefois, il existe un mouvement alternatif au capitalisme appelé décroissance. En particulier, la décroissance n’est pas la croissance négative, expression antinomique et absurde qui voudrait