Joute

et roi Créon, en enterrant son frère malgré les règles établies par ce dernier. Elle lui avouera son crime sans honte, car elle a suivi les lois divines, et finira enterrée vivante. Dans l’extrait présenté, Antigone et Créon se font face dans une joute verbale, chacun tentant de prendre le dessus sur l’autre. Nous nous demanderons comment la parole est représentée dans cet extrait. De quelle façon les personnages emploient-ils la parole, est-ce toujours au service de la vérité ?

qui ne peuvent pas agir dans un but lucratif. Aux opérations bancaires ainsi défini il faut rattacher les opérations de change qui sont d’ailleurs le plus souvent effectuées dans le cadre des banques et autres établissements financiers. Il s y a joute les opérations d’assurance consistant pour une société d’assurance agréée à la fois par l’Etat et la CIMA à couvrir un risque en contrepartie du paiement d’une prime. Toutefois il faut préciser que le caractère commercial n’est reconnu qu’aux seules

nom des personnages, les tirets et les marques d'oralité : la ponctuation par exemple. Pour qu'il y ai une pièce de théâtre il faut un conflit à résoudre qui va constituer l'intrigue. Par exemple, dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, c'est une joute verbale qui oppose le Comte et Figaro dans l'acte III scène 5. Figaro se joue du Comte lui faisant croire dans un premier temps qu'il ne sait rien de ses intentions montrant le plus d'enthousiasme possible à l'idée de partir à Londres à travers ses

Christian. Christian Le baron de Neuvillette a réellement existé et a bien épousé la cousine de Cyrano mais le personnage réel se prénommait Christophe. Edmond Rostand le décrit comme beau et courageux. Il se dit sot mais est capable d'esprit dans sa joute verbale contre Cyrano (Acte II, scène 9). Au départ superficiel (il est capable de bâtir une relation amoureuse sur une imposture), le personnage mûrit[] et évolue vers davantage d'authenticité. Il cherche à se libérer du pacte conclu avec Cyrano (acte

Gros JérémyTd n°201Explication linéaireLe Bourgeois Gentilhomme est une comédie-ballet écrite par le dramaturge Molière, est représenté pour la première fois le 14 octobre 1670 au château de Chambord devant le roi et la cour. C’est la dixième œuvre de l’auteur. Cette comédie fait la satire des bourgeois et plus précisément des bourgeois minaudiers, c’est-à-dire les riches gens qui ne possèdent pas de titre de noblesse depuis la naissance et qui souhaite par-dessus tout l’être. La pièce

de l’amour, c’est l’expédient du portrait qui contribue à dénouer l’intrigue : le portrait de la comtesse découvert dans sa poche, Lélio peut difficilement se dérober au soupçon, et la comtesse le presse d’avouer son amour. Suit alors une dernière joute où l’on entend pour la dernière fois le cliquetis des formules fétiches. Mais en l’espace de quelques répliques, leur pouvoir se dissipe. Les deux personnages prennent un plaisir comparable à celui de deux virtuoses qui s’exercent pour un ultime duo

resté célèbre : la flotte espagnole subit un échec total face aux vaisseaux anglais, ce qui incite Cervantès à quitter son emploi de commissaire. Cervantès connaît alors une période de répit, après avoir remporté le premier prix lors d’une joute poétique, mais se heurte rapidement à de nouvelles difficultés financières. Les abus de pouvoir des autorités le conduisent en prison, à Séville cette fois, où il se familiarise avec « la faune picaresque » qu’il côtoie en cette occasion. C’est alors

intéressé à Henriette alors qu'elle aurait voulu qu'il continue de l'aimer platoniquement. Philaminte conclut en rappelant que de toute façon, Henriette est promise à Trissotin. Celui-ci fait à son tour son apparition dans la scène 3 et se livre à une joute verbale avec Clitandre sur les mérites de la science. On apporte alors dans la scène 4 une lettre de Vadius où celui-ci avertit Philaminte que Trissotin n'en veut qu'à ses richesses. Mais elle s'entête et décide de faire venir le notaire pour conclure

pronom sujet « ça (me) gratte », répétitions… Le corps de J ne lui obéit plus… II/ Une confrontation de personnages qui pointe les dérives du totalitarisme / Une scène agonistique inquiétante, lourde d’enjeux idéologiques Un dialogue agonistique (joute oratoire) Sc de confrontation/conflit verbal ; dialogue argumentatif (B : désir de retenir J ds son état d’être humain) Stratégie de B : Convaincre : mobilise des arguments construits, de logique et de valeurs. Mise en évidence du fossé objectif

Partiel Emilien PalmierLe premier document est une histoire ecclesiastique du XIIe siècle écrit par le moine Orderic Vital. Le second document s’appelle “Historia Gaufredi, ducis Normannorum et comitis Andegavorum" écrit par Jean de Marmoutier vers 1180. Le troisième document est une lettrine issue de l’Histoire du meutre de Charles le Bon par Galbert de Bruges (1127-1128). Le quatrième document est un fragment de fresque de la chapelle templière de Cressac qui date de la fin du XIIe siècle. Le