Juan Antonio Samaranch

officiellement ses débuts à la télévision en couleur, et donc pour la première fois, les J.O en bénéficieront. Page 12 De plus, vingt ans après, le montant des droits de retransmission télévisuelle a été multiplié par 13, et ceci était dirigé par Juan Antonio Samaranch, l'ancien président du CIO, décédé le 21 Avril 2010. Ainsi la médiatisation des J.O devient de plus en plus coûteux. Les partenaires officiels des J.O se composent de 44 entreprises qui ont déboursé au total 700 millions de livres (891 millions

les irrégularités qui ont taché le choix d’Atlanta. La corruption des responsables du CIO a fait perdre à cette prestigieuse instance toute crédibilité. Quant au tiers monde, « il ne peut pas organiser les JO, affirme le président du CIO Juan Antonio SAMARANCH, tout simplement parce qu’il ne peut rien organiser » du moins aux tarifs du CIO. Pourquoi cette discrimination ? Parce que sont dans l’erreur ceux qui croient que le sport est un vecteur de principes qui garantissent l’union et l’égalité

lieu pour apprendre, discuter, étudier, partager ! Le Musée Olympique est à la tête d’un réseau qui regroupe d’autres musées olympiques dans le monde. Y en-a-t-il un dans votre pays ? L’idée d’un musée olympique remonte à Coubertin. C’est Juan Antonio Samaranch, 7e président du CIO qui a réalisé ce projet. Situé sur les bords du lac Léman, Le Musée Olympique est inauguré le 23 juin 1993. Pedro Ramirez Vázquez (Mexique) et Jean-Pierre Cahen (Suisse) en sont les architectes. Archives, photos, films

1 500 mètres, est immolé sur l’autel de l’amateurisme : on le radie à vie pour avoir touché de l’argent du Club athlétique de la Société générale... À partir de 1972, les présidents du CIO que sont Lord Michael Morris Killanin et, surtout, Juan Antonio Samaranch laissent l’argent envahir le sport jusqu’à le corrompre. L’affairisme, les rapports sport, argent et politique, ont conduit bien des dirigeants sportifs du stade à la prison. Les stars de la boxe, du basket, du golf, du football, du hockey

locales. A cette époque, l’Opus Dei joue un rôle important au sein du gouvernement espagnol. Avec les juntes militaires, l’Opus Dei s’identifie au parti unique. Le règne des technocrates va durer 15 ans. En 1969, Franco proclame Juan Carlos héritier de la couronne, celui-ci a été élevé par un précepteur de l’Opus Dei. Quelques mois plus tard, sur 19 ministres du gouvernement, 12 sont membres de l’Opus Dei. *

extraordinairement précieux qui sera bien géré pas ses successeurs. Pour répondre à ce succès, le mouvement paralympique se construit petit à petit. Il reçoit également l’aide du nouveau président du Comité international olympique, l’Espagnol Juan Antonio Samaranch, lui même père d’un enfant trisomique. En 1982, le Comité de Coordination International (ICC), qui devient plus tard le Comité International Paralympique (IPC) va doter l’organisation des Jeux paralympiques d’un organe unique, interlocuteur

Comité International Olympique Demetrius Vikelas, de 1894 à 1896 Pierre de Coubertin, de 1896 à 1925 Henri de Baillet-Latour, de 1925 à 1942 J. Sigfrid Edström, de 1946 à 1952 Avery Brundage, de 1952 à 1972 Lord Killanin, de 1972 à 1980 Juan Antonio Samaranch, de 1980 à 2001 Jacques Rogge, depuis 2001 Son contrôle sur les JO est presque total car le CIO défini les règles et le programme, décide des partenaires et du financement, il détient l’accès à la médiatisation mais surtout, il désigne

lentement, en raison du mode de recrutement (cooptation) et des mandats à vie. Naguère représentation miniature d’une société internationale conservatrice en voie de disparition, il est aujourd’hui devenu, après les réformes du septième président Juan Antonio Samaranch (Espagne, 1980-2001), à l’image d’une holding financière et événementielle. La mission essentielle du CIO est d’organiser les Jeux olympiques, peu importe les aléas de la situation internationale. Dès juillet 1911, il ne fallait pas être grand

italiennes étaient branchées sur la chaîne publique RAI le 10 juillet 1982 pour la finale de la coupe du monde contre l’Allemagne [12] Li Yon Yan, Asia Times Online, Courrier International du 02/09/04, « Vive le sport, vive le Parti ! » [13] Juan Antonio Samaranch, espagnol au passé franquiste et à la brève carrière de hockeyeur sur patins à roulettes, président du CIO. Déclaration faite le 7 février 2001 à Dakar. [14] Voir l’article de Francis DERON dans LeMonde du 15-16 juillet 2001 « JO : votez

de la presse écrite sont accompagnés par 7000 journalistes de l’audiovisuel. Les sponsors représentent 22% des recettes de ces Jeux. Les ventes de billets sont accompagnées de jouets, tee-shirts, pendentifs, réveils… Le président du CIO, Juan Antonio Samaranch, impose l’idée d’accueillir les vrais professionnels aux JO. Ce vœu est réalisé avec la venue de l’équipe américaine de basket-ball (sélections des meilleurs joueurs de la NBA), le « Dream Team ». Le badminton fait son entrée aux Jeux. 173