Jugement Argumente

Nous devons nous demander si l’historien est susceptible d’être habilité à juger, et si oui, dans quelle mesure. Nous entendons par « juger », apprécier, estimer, nous pouvons ainsi reformuler la question, l’historien est-il autorisé à formuler des jugements de valeur sur le monde qui l’entoure et sur ses objets d’étude ? Ne doit-il pas plutôt rester toujours objectif et veiller à la plus grande objectivité dans ses récits. Juger suppose en outre pouvoir distinguer le vrai du faux ainsi, en ce sens,

maintenir avec si peu d'artifice et de liens entre les hommes. » Dans ce texte, Montaigne s’interroge sur ce qui nous conduit à qualifier un peuple de sauvage ou de barbare. Lorsque nous qualifions un peuple de barbares ou de sauvages, nous portons un jugement de valeur opposant le sauvage ou le barbare à l’homme cultivé, à celui qui a développé ses facultés. Le sauvage est alors celui qui est resté à un état naturel, mais nous concevons cet état naturel négativement. Vous pouvez montrer d’ailleurs en

I. Juger sa propre culture est-il possible ? A. Une culture est un ensemble complexe B. La nécessité de bien la connaître II. La valeur du jugement . Le problème de l'objectivité A. La nécessité de s'ouvrir à d'autres cultures III. La capacité de juger tout en appartenant à sa culture . Le refus du conditionnement A. La nécessité de la remise en question Résumé de l'exposé Prétendre juger la culture des autres paraît discutable dans la mesure où l'on pourrait nous reprocher de ne

censé raconter l'histoire. Auteur et narrateur ne coïncident que dans les récits autobiographiques. Quelle est la position du narrateur? ¤ le narrateur peut rester extérieur à l'histoire ¤ il peut signaler sa présence dans le texte par un jugement de valeur ou un pronom personnel ¤ il peut être un personnage de l'histoire (soit en être le héros, soit un personnage secondaire) II Qui voit? La focalisation: a) le point de vue est interne: l'auteur se place (place sa "caméra") dans le

sujet ne le dit pas, et il convient donc de préciser ce que l’historien pourrait être habilité à juger.Ici, « juger » doit être compris d’abord au sens d’apprécier, estimer, évaluer. La question est alors : L’historien est-il autorisé à formuler des jugements de valeur sur ce qu’il étudie ou sur le monde qui l’entoure ? Or, la mission de l’historien est justement de veiller à l’objectivité de son récit.Mais juger signifie aussi savoir distinguer le vrai du faux. L’historien, dans son travail, doit constamment

le dit pas, et il convient donc de préciser ce que l’historien pourrait être habilité à juger. Ici, « juger » doit être compris d’abord au sens d’apprécier, estimer, évaluer. La question est alors : L’historien est-il autorisé à formuler des jugements de valeur sur ce qu’il étudie ou sur le monde qui l’entoure ? Or, la mission de l’historien est justement de veiller à l’objectivité de son récit. Mais juger signifie aussi savoir distinguer le vrai du faux. L’historien, dans son travail, doit constamment

extérieur à la situation exposée dans le « cas » : - recul critique par rapport au point de vue des acteurs (ne pas adopter a priori le point de vue de l’un des acteurs ou sa manière de formuler le problème) - neutralité axiologique (pas de jugement de valeur par rapport aux comportements des acteurs et à leurs opinions) - souci d’empathie et de compréhension (se mettre à la place des uns et des autres pour comprendre leurs raisons d’agir) - souci de pragmatisme et d’efficacité

« Croire est-ce renoncer a l'usage de sa raison ? » Tout d’abord qu’es-que croire ?croire est une faculté de juger en fonction de ses sentiments,nous n'avons pas besoin de savoir une chose pour y croire.Croire s'oppose donc au savoir qui lui est née de la raison et est universellement communicable,et la raison c'est quoi exactement ? la raison lui est la faculté qui nous permet de distinguer le vrai du faux, elle est dite objective elle cherche a comprendre la vrai nature des

l’on ressent. Rapports possibles avec d’autres œuvres de l’artiste, avec d’autres œuvres d’art ou avec la réalité ?  Conclusion : Rappel des données présentées, les plus importantes (2 ou 3) Impression plus personnelle (mais en aucun cas jugement de valeur sur l’œuvre analysée) : Vision de l’élève sur l’œuvre, expression de sa sensibilité à l’œuvre. IV – EPREUVE ORALE Elle se déroulera les 15 et 16 mai 2014. Chaque candidat recevra une convocation individuelle à l’épreuve obligatoire

culture. On ne pourra cependant comprendre complètement la difficulté qu’avec l’analyse du mot “ juger ”. Deuxième direction : si c’est possible en a-t-on le droit. Y aurait-il un interdit moral ou au moins une difficulté morale à porter un jugement sur la culture qui m’a formé et a laquelle je dois ce que je suis. Ces deux directions peuvent être pensée indépendamment : on peut avoir la possibilité de faire quelque chose ( par exemple conduire lorsque l’ on a pas son permis ) et ne pas