Jugement De Goût

o rapport des hommes aux productions symboliques et le rapport des hommes entre eux face aux objets symboliques.  Sociologie des pratiques culturelles = interroger jugement esthétique d’un point de vue sociologique en pensant le goût comme un fait social.  Les productions médiatiques font l’objet des mêmes procédés de jugement que les productions artistiques. I. Pratiques politiques et culturelles A. Quelques chiffres • Conclusions et pistes de réflexion : • Les pratiques culturelles

provoque une émotion et qu’elle est d’autres parts ordonnée. Toujours au XVIIIème, Kant distingue 4 types de jugement : Le jugement de l’agréable, le jugement de gout, le jugement du beau, et le jugement de la connaissance. Le jugement de l’agréable est purement subjectif et n’a aucune portée universelle. Le jugement de connaissance, lui, est objectif et a une portée universelle. Le jugement de gout est entre les deux. Il est subjectif mais il a une prétention à l’universelle. En effet, Kant a cette formule :

seconde elle y a pris goût, parce qu'après tout les femmes sont curieuses ; et ensuite la première chose qu'elle lui dit lorsqu'il rentre en robe chez lui : « Mon petit cœur, n'avez-vous fait donner aujourd'hui la question à personne ? » » Voltaire montre le risque de l'exercice de telles pratiques lorsque le juge va conter à dîner à sa femme ce qui s'est passé le matin. Puis, le récit décrit la progression de cette banalisation rapide : « à la seconde elle y a pris goût ». La femme a cessé d'être

« inconstance prodigieuse » hyperbole péjorative étonnement du regard étranger « entêté, pernicieuse » adjectifs péjoratifs critique obstination des français B. Dénonciation de l'importance de la mode « il est inconcevable » jugement exprimé par le présent de l'indicatif. Jugement nuancé et informé Dimension humoristique de la lettre. « plus sage / mieux vêtu » parallélisme de deux comparatifs une lettre comique. Satire Critique politique de cette lettre. A. Dimension historique

La force des répétitions 4. Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? Il est bon que les hommes connaissent la gloire La recette du bonheur La pulsion d’union Le goût d’exprimer en tant qu’individu Le goût de participer Le goût de créer et de transformer Créateur, créativité et création Le goût du sublime Besoins, bien-être, élans Qu’est-ce qu’un besoin ? Les besoins reposent sur les blessures du passé La ronde des béquilles Je ne veux pas écrire, je

étude de l’œuvre: - le prologue, - les trois définitions d’Hippias et les trois réfutations de Socrate, - les trois définitions de Socrate (accompagnées des trois réfutations de ses trois hypothèses) et la thèse finale: le beau n’est pas affaire de goût personnel. ( y a-t-il un concept du beau? ( le beau est-il l’essence de l’art, le critère de l‘œuvre d‘art , bref est-il tout entier dans l‘art? L’argumentation 1/ l’Hippias majeur ou le concept du beau ( Prologue// Socrate oppose les sept sages

pas les mêmes avis sur tout et sur rien. Voilà pourquoi il existe des débats où les gens peuvent venir donner leurs opinions pour tenter de convaincre leurs adversaires d’adopter la vérité que l’on défend. Définissons d’abord une opinion comme un jugement sur un sujet par la pensée. On peut maintenant s’interroger à savoir s’il existe des opinions qui soient meilleures que d’autres. Dans ce texte, on montrera qu’en effet, il en existe. On verra que certaines personnes peuvent avoir des opinions qui

(il ne se reconnaît pas dans le miroir, il est sérieux alors qu’il sourit). Etranger à quelque chose : indifférent devant son patron, devant Marie 69-70, déconcerte son avocat, indifférent à la mort de sa mère (ça m’est égal). Mais, avant son jugement, M ne se sent pas un étranger : il est en accord avec la nature (il aime la mer, le soleil). Il ne se pose pas de questions à propos des rapports humains, il les vit et s’en étonne (quand Raymond lui offre son amitié ou Marie son amour). Sa passivité

plupart des gens acceptent l'idée que les opinions personnelles en matière de goût ne se discutent pas vraiment et s'équivalent. Le goût est largement une affaire de culture et d'habitudes personnelles. La plupart des Occidentaux sont rétifs à manger des insectes comestibles, mais n'hésitent pas à croquer des crevettes. Dans certains pays, le grillon est un met de choix. On ne peut pas affirmer dans l'absolu que tel goût est supérieur à un autre. Quelles que soient les valeurs nutritionnelles objectives

sonore. Vient ensuite la présence de deux verbes d’actions (L.4-5 : « elle donne froid », « elle pénètre les vêtements »), puis le passage de la description par l’odeur au goût ( L.5-6 : « elle a le goût d’une salle où l’on a dîné ») qui donne beaucoup de réalisme puisque l’odeur est un sens intime et le faire passer au goût apporte encore plus de proximité. D’où cette sensation d’envahissement. De plus cette accroissement du verbe « sentir » (L.3) au verbe « puer » (L.6) illustre bien cette perception