Commentaire de texte
Introduction :
Le roman d’Honoré de Balzac, Le Père Goriot publié en 1835, fait parti d’un des mouvements littéraires du XIX ème siècle, appelé le réalisme. Nous pouvons étudié au début de l’œuvre un extrait qui décrit deux pièces de la maison Vauquer, le salon et la salle à manger, où leur description minutieuse et quelque peu intensive crée ce côté très « sincère » de l’œuvre. C’est d’abord par le souci d’une description fidèle que l’auteur va produire cet effet très réaliste, où toute une méthode est mis en place pour respecter cette « mission ». En plus de cela, on peut constater une forte présence du narrateur par quelques opinions donné par celui-ci ou par interpellations du lecteur. C’est donc cet intérêt de la description qui en fait un œuvre très réaliste.
Conclusion :
On peut donc conclure que pour représenter la réalité, la description loyal de ce qui nous entoure est une nécessité pour en faire un œuvre réaliste. C’est via quelques méthodes littéraires, stylistiques que cette tendance du XIXème siècle va décrire la vie quotidienne.
Les Axe :
1°) Une description réaliste
Dans cet extrait, Balzac appuie beaucoup sur la description du salon et de la salle à manger. La spécificité du salon est, selon le narrateur, son odeur. La salle à manger, elle, est présenter comme étant beaucoup plus pire. La description suit un ordre logique qui coïncide avec le déplacement du narrateur, qui va de la périphérie au centre de la pièce. Pour intéresser le lecteur et pour se rapprocher de lui, la description se fait au présent. Pour le narrateur, l’odeur du salon n’a pas de nom pour le désigner mais il lui faut cependant en trouver un. Ainsi, la première pièce est qualifier d’ « odeur de pension » (L.3), cité en italique et présenté comme un nouveau mot dans la langue. D’où la référence au néologisme. Dans un même phrase, cette odeur est constitué de quatre compositions :
Premièrement, les trois