Jules Simon

établissent la responsabilité du gouvernement devant le Parlement mais en revanche, aucune disposition n’établissait une quelconque responsabilité des Chambre devant le chef de l’état. Le 16 mai 1877, le président du conseil élu en décembre 1876, Jules Simon, désavoue la politique du chef du gouvernement. Suite à une lettre de blâme qu’il avait alors adressée à Mac Mahon, celui-ci démissionne malgré le fait qu’il soit soutenu par la majorité parlementaire à la chambre des députés. Le 20 mai de la même

huit ans, de 1871 à 1879, pour trouver la voie du nouveau régime. Après avoir choisi Adolphe Thiers en 1871 et Patrice MacMahon en 1873, et après de nombreuses crises liées à ces choix, nottament la fameuse crise du 16 mai 1877, l’Assemblée nomme Jules Grévy à la tête du pouvoir exécutif en 1879. Celui-ci, croyant avoir tiré lesson des erreurs de ses prédescesseurs, annonce aux Assemblées qu’il n’entrera jamais en conflit avec la volonté nationale et renonce donc à son droit de dissolution. On appele

16 mai 1877 * Conflit inévitable dans la mise en pratique des institutions prévues par les lois de 1875 * Conflit entre Mac-Mahon conservateur et Jules Simon républicain, utilisation du droit de dissolution de la chambre des députés article 5 des lois constitutionnelles du 25 février 2. L’abandon du droit de dissolution * Jules Grévy prend la suite de Mac-Mahon et abandonne le droit de dissolution de la chambre des députés * Coutume constitutionnelle non écrite mais informelle

effacement de la fonction présidentielle (A) s’ajoute une soumission de la fonction gouvernementale au Parlement (B). A. Un effacement progressif et durable de la fonction présidentielle     Le précédant de 1877 (1°) et l'initiative malheureuse de Jules Grévy (2°) seront les deux éléments centraux de la perte de pouvoir du président de la République sous les IIIème et IVème Républiques.   1° Le refus du parlementarisme dualiste   A la suite des élections législatives de 1876, une majorité républicaine

Commentaire doc 7 : Message au Sénat du Président de la République, Jules Grévy daté du 6 février 1879 S’inscrivant entre les deux guerres malheureuses, la Troisième République n’en a pas moins été le régime français le plus durable, au moins jusqu’à nos jours, le plus libéral aussi et celui qui permit au pays de surmonter de redoutables épreuves, dont celle, particulièrement terrible, de la Première Guerre Mondiale. L’installation de ce régime fut longue et difficile. En effet, il faut distinguer

qui est une salle d'attende qui représente la stabilité de la république. Elle est ornée majoritairement de trois portraits emblématiques de Jules Ferry, Jules Grévy et Jules Simon. Tous trois nés du pinceau du peintre Bonnat et de portraits de Georges Clémenceau et de Léon Gambetta. Le plus impressionant est sans doute le portrait grandeur nature de Jules Grévy, d'une part par sa taille, et d'autre part par la finesse des traits du tableau qui met en évidence l'hyperréalisme de l 'oeuvre. Nous remarquons

III à Sedan, le 2 septembre 1870 et de la capitulation de l’armée déclenche l’action des républicains. La République est proclamée, le 4 septembre, comme en 1848, à l’Hôtel de ville de Paris. Les députés de Paris, notamment Jules Favre, Jules Ferry, Léon Gambetta et Jules Simon, forment un gouvernement provisoire, présidé par le général Trochu. Le Cabinet est composé de républicains modérés et de radicaux ; leur objectif est de poursuivre la guerre. Gambetta, sorti de Paris en ballon le 7 octobre

CHARRET Stéphanie Jules Ferry « une volonté pour la république » Jules Ferry est homme politique français, il est né le 5 avril 1832 à Saint-Dié, dans les Vosges, d’un père avocat, Charles-Édouard Ferry et d’Adèle Jamelet. Il est issu d’une famille bourgeoise. Avocat de profession mais aussi journaliste à ses heures, Jules Ferry avait de grandes qualités qui en ont fait un des hommes politiques majeurs du XIXe siècle. Il fut plus qu’un orateur : il fut, suivants les évènements, homme d’État

appuie l'amendement du 30 janvier 1875 qui introduit le mot république dans la constitution ainsi que les lois constitutionelles de 1875. En 1876, les resulats des élections sont favorable aux républicains et Mac-Mahon appel des républicains comme Jules Simon. Durant la crise du 16 mai 1877, Gambetta ne reconnait pas le nouveau gouvernement dicté par l'éxecutif et s'insurge. Il fait un appel majestueux durant la séance du même jour et une grande partie de l'assemblé le suit, c'est la protestation solennelle

officiellement de responsabilité envers le Président, mais ce dernier pouvait procéder a une demande d’explication envers le président du conseil des ministres ce qui faisait peser une pression sur le conseil des ministres. Mac Mahon la eu fait avec Jules Simon, ce dernier démissionna. Après ça Mac Mahon a voulu rappeler à la présidence du Conseil Albert de Broglie, mais le parlement étant en désaccords refusa, Mac Mahon a donc dissout le Parlement. Une fois le Parlement réélit, a nouveau ce dernier refusa