Julie Taymor

de filles. La scolarité n'est cependant pas encore ni gratuite ni obligatoire. 1851 - France : le premier projet de loi proposant le droit de vote des femmes aux élections municipales voit le jour : il est dû à Pierre Leroux. 1861 - France : Julie-Victoire Daubié est la première bachelière française. 1862 - France : Elisa Lemonnier crée l'enseignement professionnel féminin, public et laïque. 1867 - France : Victor Duruy créé les cours secondaires publics destinés aux filles. 1874 -

adaptées en fonction du sexe de leurs élèves. En effet, les filles y apprennent les travaux ménagers et la puériculture. Il s’agit d’ailleurs souvent de couvents .Elisa Lemonnier crée en 1862 les premières écoles professionnelles pour jeunes filles. Julie-Victoire Daubié sollicite avec le soutien de François Barthélemy Arlès-Dufour, l’autorisation de se présenter à l’épreuve du baccalauréat qu’elle obtient à Lyon en 1861 à l’âge de 37 ans. Mouvement pour le droit de vote des femmes Royaume-Uni Au

le viol est enfin un crime, malheureusement c’est seulement le mari ou le père qui sont désavantagés. En 1836, création de l’enseignement primaire féminin. En 1861, Julie Daubié est la première femme à avoir obtenu son baccalauréat qui était réservé plutôt aux hommes, donc elle a du le préparer seule. 2.bp.blogspot.com/ ; Julie-victoire daubié Dés 1893, certains pays étrangers accordent le droit de vote aux femmes comme la Nouvelle-Zélande, premier pays au monde à l’accorder ; la Grande-Bretagne

accepte l’hospitalité du maréchal et de la maréchale de Luxembourg à Montmorency, où il séjourne de 1759 à 1762. Ces années de retraite lui permettent une intense activité créatrice marquée par la composition simultanée de ses trois grandes œuvres : Julie ou La Nouvelle Héloïse, qui connaît en 1761 un immense succès, Du contrat social (1762) et l’Emile (1762). Ce dernier livre provoque un scandale. Le 9 juin 1762, le parlement de Paris condamne l’ouvrage, notamment en raison des idées religieuses présentées

mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmJ'ai toujours cru que le beau n'était que le bon mis en action, que l'un tenait intimement à l'autre, et qu'ils avaient tous deux une source commune dans la nature bien ordonnée. (Julie ou la Nouvelle Héloïse) L'espèce de bonheur qu'il me faut, ce n'est pas tant de faire ce que je veux mais de ne pas faire ce que je ne veux pas. (Correspondance, à M. de Malesherbes) Un homme vraiment heureux ne parle guère et ne rit guère ;

Sturm und Drang, parmi lesquels le Goethe : Les Souffrances du jeune Werther (1774) et le Schiller, qui publie Les Brigands (1781), sont considérés comme des précurseurs du Romantisme. On peut aussi nommé Jean-Jacques Rousseau au XVIIIe siècle (avec Julie ou la Nouvelle Héloïse, les Rêveries du promeneur solitaire et les Confessions) ou Chateaubriand au tournant du XIXe siècle (avec Atala, en 1801, René, en 1802 et le Génie du christianisme, en 1802) ont écrit des textes où se font sentir à la fois

auteurs s’entendent pour dire que plusieurs facteurs sont en cause dans la naissance de ce nouveau courant littéraire. D’abord, il y a ceux qu’on a nommé plus tard les « préromantiques » et qui, comme Jean-Jacques Rousseau au XVIIIe siècle (avec Julie ou la Nouvelle Héloïse, les Rêveries du promeneur solitaire et les Confessions) ou Chateaubriand au tournant du XIXe siècle (avec Atala, en 1801, René, en 1802 et le Génie du christianisme, en 1802) ont écrit des textes où se font sentir à la fois

qu'elles occasionnaient entre mon père et moi, se forma cet esprit libre et républicain, ce caractère indomptable et fier, impatient de joug et de servitude qui m'a tourmenté tout le temps de ma vie." » Dans La Nouvelle Héloïse (de J.-J. Rousseau), Julie ne lira pas autrement. Non pour s'amuser et encore moins pour afficher sa culture dans les cercles mondains, mais pour se former moralement, pour vivre... REFERENCES   R. Darnton, « La lecture rousseauiste et un lecteur ordinaire au XVIIIe

"La Nouvelle Héloïse" de Rousseau, lettre XXII, tome 2 EXPLICATION DE TEXTE Julie ou la Nouvelle Héloïse est un roman épistolaire de Jean-Jacques Rousseau, écrivain et grand philosophe du siècle des Lumières. Ce roman a été conçu à la faveur d’une longue pause dans le combat philosophique et politique du « citoyen », esquissé dès 1756, puis conduit à une première version en quatre parties (1757), terminées en 1758, arrangées les deux années suivantes, enfin publiées en 1761. La Nouvelle

mettent en place un véritable réseau d’informations et de points de vue, ainsi que des effets de décalage. C’est ainsi que se crée la trame du roman,( …. ). 447-8 Lettres Persanes Julie ou la nouvelle Héloïse Dans ce roman épistolaire daté de 1761 Rousseau nous relatent les aventures de trois jeunes gens (Julie, Claire, Saint Preux) qui entretiennent une correspondance. Dans La nouvelle Héloïse l’auteur nous peint un tableau de la passion et de la vertu avec pour fond la nature omniprésente