Juridicisation Des Sociétés

gouvernementale) / politics (processus liés à la conquête et à l’exercice du pouvoir, comme la stratégie d’un parti). Politique : véhicule des significations et des connotations variées selon contexte : valorisante (politique = idéal car ordonne une société divisée) / dévalorisante (compromission, coup bas, trahison). Un politique = ensemble des régulations qui unifient un ensemble social hétérogène. Une politique = scène où s’affronte des individus et des groupes pour la conquête et l’exercice du pouvoir

xvlème jusqu’à la moitié du xvUe, en ce qui concerne la pensée, et jusqu’à 1789 pour ce qui est de la législation économique. La pensée financière de ce courant, se présente surtout comme une réflexion sur le pouvoir et la place de l’Etat dans la société. Dans cette doctrine, l’Etat affirme sa souveraineté à travers trois I modes d’intervention : la monnaie, les barrières douanières et l’impôt. La monnaie porte l’effigie royale, les barrières douanières délimitent le territoire et l’impôt constitue

dans l’espace. Cette 3ème approche a le mérite de regrouper les questions. Par Michel Offerlé : « Les mécanismes qui sont au principe de la conquête, l’occupation et de la conservation des positions de pouvoirs des nommés politiques dans une société donnée. Et donc des mécanismes qui constamment concourent à politiser, construire politiquement des problèmes sociaux. »  Les méthodes : il n’y a pas de méthodes spécifiques à chacune des disciplines. Le droit est un peu une exception. L’apprentissage

que l’on lui donne). Guillaume d’Okham créé le nominalisme car déclare que seuls les individus existent et non les idéers, différemment de Saint Thomas d’Aquin. Ainsi, nous n’aurions pas pu avoir les idées du contrat social sans subjectivisme : la société existe parce que tout le monde y participe. C’est dans le lien social que, selon HOBBES, LOCKE ou encore ROUSSEAU, sont nés les droits de l’homme. * Individualisme : un sujet doit avoir une valeur primant sur celle du groupe. La valeur ultime

Abdellah ZOUHIR, Président de la Fédération des chambres de Commerce, d'Industrie et Services du Maroc ....................................................... 20 Discours de M. Mohamed Ammine BENJELLOUN, Président de l'Association Marocaine des Sociétés (ANMA) ......................................................................................... 23 Discours de M. Mustapha EL KTIRI, Président de l'Association des Inspecteurs des Finances........................................................

d'«interpénétrations» de systèmes(13). Enfin, on a montré que «la querelle doctrinale autour du monisme et du dualisme ne reçoit pas de solution satisfaisante en dehors d'un pluralisme juridique» qui «reconnaît à la fois la multiplicité des pouvoirs et des sociétés créateurs de droit, et leur interaction»(14). La preuve en est que, s'il est de plus en plus fréquent qu'une règle de droit international soit directement applicable dans l'ordre interne et que l'Etat coopère à la prépondérance de la norme internationale(15)

l'outre-mer et donc vont intervenir par exemple dans le domaine du droit civil, social, des sociétés et donc on s'aperçoit qu'elles ne sont plus simplement des questions techniques mais que ce sont des réformes de fond par exemple la création des contrats de partenariat privé, le droit civil, l'organisation et le fonctionnement du système de santé et donc on voit ici que ce sont de véritables enjeux de sociétés qui sont adoptés par la voie des ordonnance ce qui permet de couper court à l'expression

distinctes d’autres modes d’organisation de la vie sociale. Le droit n’est pas tout le champs de la régulation sociale, ce n’en est qu’une partie. 
 
 A. La spécificité de la règle de droit.
 
 Le droit n’est pas le seul régulateur de la vie en société: l’organisation de la vie sociale est en effet l’objet de nombreuses règles qui relèvent pour certaines de la politesse élémentaire, des commandements religieux ou encore d’exigences morales.
 
 1°) L’existence de règles sans droit.
 
 a) Règles

dans le Livre I du Code civil, avec les personnes. Il est vrai que les liens entre les deux institutions sont très étroits : la famille est un groupement de personnes, le groupement de personnes par excellence (avec d’autres, comme l’association, la société) qui développe ses propres intérêts, l’intérêt de la famille, susceptible de transcender la somme des intérêts des personnes qui la composent. L’importance de la famille se manifeste sur divers plans. Social en premier lieu, le corps de règles du

dans le Livre I du Code civil, avec les personnes. Il est vrai que les liens entre les deux institutions sont très étroits : la famille est un groupement de personnes, le groupement de personnes par excellence (avec d’autres, comme l’association, la société) qui développe ses propres intérêts, l’intérêt de la famille, susceptible de transcender la somme des intérêts des personnes qui la composent. L’importance de la famille se manifeste sur divers plans. Social en premier lieu, le corps de règles du